Voltaire Carème

amie de Voltaire. Il traitait son prisonnier à sa table et lui permettait de recevoir tous les visiteurs qui se 7 présentaient. De ce nombre fut Jean-Jacques Rousseau, avec qui Diderot se lia, et sur qui son influence fut réelle, car il l’amena à prendre parti contre les lettres et les arts dans le fameux Discours à l’Académie de Dijon, et à se poser, dès le début de sa carrière, en ennemi de la civilisation. C’est alors aussi que Diderot entra en correspondance avec Voltaire, à propos

une boîte d’acajou carrée une pendule au large cadran, aux gros chiffres, aux heures lourdes. À côté deux flambeaux, faits de trois cygnes argentés tendant leur col autour d’un carquois doré, étaient sous verre. Près de la cheminée, un fauteuil à la Voltaire, recouvert d’une de ces tapisseries à dessin de damier que font les petites filles et les vieilles femmes, étendait ses bras vides. Deux petits paysages d’Italie, dans le goût de Berlin, une aquarelle de fleurs avec une date à l’encre rouge au bas

I-Le personnage porteur de message 1)Présentation de personages idéalisés philosophiques, inculquant des valeurs philo : le lecteur sa'ppuie sur cet idéal. ex : indien de suppl au voy. de BG : 2)Présentation des "antihéros" arrivant en tant qu'étrangers à l'utopie, ils critiquent car ils sont jaloux : le lecteur se remets en question. ex : le roi des Scythes princesse de babylone 3)Présentation de personnages dont on suit le raisonnement philosophique psycho tout au long de son parcourt, il

moraliser et non à susciter son rire. Elle propose des intrigues romanesques. Le terme, employé à l’origine par les critiques pour dévaloriser cette sorte de comédie, lui est resté attaché et à éloigné les lecteurs de ce genre. Certaines pièces de Voltaire comme L’Enfant Prodigue ou Nanine, en offrent un bon exemple. La commedia dell’arte : cette espèce de comédie, née en Italie au milieu du XVIème siècle s’est vu attribué son nom par Goldoni en 1750. Plus qu’un genre, il s’agit d’un type de spectacle

s’ajoute qu’il ne croit pas au péché originel et que, pour lui, « tous ces vices n’appartiennent pas tant à l’homme qu’à l’homme mal gouverné. » Sa pensée est en fait assez complexe et elle a été souvent réduite, caricaturée et tournée en ridicule. Voltaire n’a pas été le dernier à cette entreprise de discrédit. Sa pensée a été condamnée à Paris et à Genève, et maints ouvrages de Rousseau ont dû être imprimés en Hollande. Les trois « fausses » affirmations généralement attribuées à Rousseau

meilleur: nous l’allons monter tout à l’heure “ ; On utilise donc ici le registre didactique. On peut également introduire une moral de façon implicite, dans un récit semblant purement naratif, bien qu’il soit didactique, come la fait par exemple Voltaire, dans son conte philosophique Micromégas : “ Les voila donc revenus d’ou ils étaient partis, après avoir vete mare, presque imperceptible pour eux, qu’on nomme la Méditéranée…” ; Ou encore comme Montesqieu dans Les lettre Persanes : “ Les habitans

Dialogue du Chapon et de la poularde, Voltaire, 1763. Chapon : coq castré pour être plus facilement engraissé Poularde : id pour la poule I. Un dialogue parodique (imitation visant à faire rire) Dialogue didactique dt les interlocuteurs sont des animaux ( héroï-comique ?) 1) poularde ignorante joue le rôle de l’élève  sa 1ère répliq montre qu’elle ignore pourquoi on l’engraisse et le sort qui l’attend  brèves interventions  s’exclame et interroge  interventions marquées

des Pensées, fragment d'une oeuvre inachevée, notes receuillies après sa mort but :convaincre les hommes de la nécessité de se tourner vers Dieu. Le divertissement - condition humaine: homme faible et misérable, tragique de l'homme sans Dieu Voltaire: "montrer l'homme dans un jour odieux, il s'acharne à nous peindre tous méchants et malheureux" - homme exclave de son amour propre et de ses passions - peur de la mort : fuir sa condition à l'aide du divertissement. - ennnui: impossiblilité de

Voltaire dénonce certaines réalités contemporaines pour lui telles que la guerre, l’intolérance religieuse... La guerre est pour l’auteur définie par trois points : - les victimes, la mort : il prend soin, dans le troisième chapitre de compter les morts précisément, afin d’alourdir le bilan... La Guerre tue, c’est bien sûr une évidence, mais pas pour Candide ! Lui, tel un enfant, découvre l’horreur de la guerre. Ce regard innocent de Candide permet à Voltaire d’insérer quelques scènes dans

croyants extrémistes étant capable des pire atrocités au non d’une religion. Mais les crimes commis au cours des âges au nom d’un dogme ont semblent ils ralentissent l’ardeur humaine à les soutenir. C’est aux XVIIIème siècle que le philosophe déiste Voltaire montre le coté contradictoire des religions et proposera a la fin de son conte philosophique, un concept de religion unique, intergénérationnelle rendant hommages aux hommes et non aux dieux, une religion tellement empreinte de positivisme qu’elle