Voltaire Le Taureau Blanc

condom, ont exhumé le « vivre comme frère et sœur ». « Ma sœur, la vache ; la femme, miel empoisonné » Sachant depuis belle lurette que François d’Assise ne voyait que des frères et des sœurs dans la création : « Ma sœur la vache, mon frère le taureau », j’ai été estomaqué, en lisant le Frère François de Julien Green5 : « L’ennemi, disait François, c’est le corps » (p. 129). Plus loin, il renchérit : « Je n’ai pas pire ennemi que mon corps » (p. 182). Sur la fin de ses jours, le frère qui le

l'épître dédicatoire : A. Le genre : 1 Quelles sont les caractéristiques du genre de l'épître dédicatoire telles qu'elles apparaissent ici ? 2 Pouvez-vous déterminer le rôle de ce texte préliminaire ? B. Le style oriental : 1 Par quels moyens Voltaire compose-t-il un « style oriental » ? 2 Comment et pourquoi le dénonce-t-il sans cesse par l'humour et l'ironie ? C. Le personnage de la sultane Sheraa : 1 Relevez les qualités que l'auteur attribue à l'épître dédicatoire. 2 Montrez qu'une,

les changements. Il désire pour la décoration de la chambre de la duchesse de Bourgogne un air juvénile et intime. Même dans sa chambre d'apparat à Versailles on découvre les premières marques du nouveau style. Elle a été rédécorée en 1701 en or et blanc et ornée avec les glaces vénitiennes. Quoiqu’on considère que l'usage abondant des glaces est un signe distinctif du style rococo, il était déjà un élément considérable pendant l'époque de Louis XIV. Son premier architecte Jules Hardouin-Mansart

sur les images, en particulier les images animalières : Stanislas se livre à des « agaceries de coq » (193), M. de Sénonches est comparé à un « sanglier » (195), M. du Hautoy à « un bichon de marquise » (196), Adrien « beugl[e] » ses airs, comme un taureau (194), Amélie « fai[t] la roue avec sa tête chargée de plumes en été [...] », comme un paon (193). Parce que les images animalières s’enracinent dans un arrière- plan physiognomonique (elles renvoient à une tradition à la fois populaire et semi-savante

d’œil les joueurs lurent sur le visage du novice...” jusqu’à “Sortez ! ”, première partie “Le Talisman”. 2) Le pacte : “Je vais vous révéler en peu de mots...” jusqu’à “pour écouter Dieu ! ”, premier chapitre “Le Talisman”.3) L’excipit : “Vêtue de blanc, la tête penchée...”, “L’Agonie”.Parcours associé : les romans de l’énergie, création et destruction 1) “Dès le lendemain, Saccard...”, L’Argent , Emile Zola (1891) 2)

fait la description d’un endroit enchanteur. Son pouvoir d'évocation est fondé sur le contraste entre la sévérité de la montagne et la douceur du «cirque naturel». Par un choix de mots appropriés («parfaitement ombragé», «halte agréable», «sable blanc comme la neige», «rafraîchis par la source», «épais ombrage», «herbe fine», «lit meilleur»), il nous amène à partager le plaisir qu'il prit à cette découverte. Mais, si Mérimée a certainement vu au cours de ses voyages de telles oasis, il a pu aussi

nue. Du haut du ciel dès qu’il l’a voit la convoite, il va tenter de la séduire, il va prendre la forme d’un magnifique taureau blanc avec des cornes en forme de quart de lune et il décide de se diriger vers le rivage et s’étendre vers Europe. Europe est d’abord impressionnée par cet animal qu’il l’effraie. Puis il s’approche peu à peu par sa façon de se comporter le taureau lui donne toutes les raisons de la rassurer. Ensuite Zeus va entreprendre des manœuvres pour la séduire. On ne peut absolument

gazonnées divisent les quartiers neufs. Le marronnier de quinze ans suit les tilleuls centenaires. Un carrefour lance au loin des trottoirs jeunes et nus. Et sous la grappe de fruit qui pend au beau lampadaire, De ses mains gantées de blanc, le casque blanc sur la tête, Un policier cambré conduit la rue comme un orchestre. Tu n’oses pas t’avouer qu’on est heureux tout de même. Tu as peur d’être amoureux des villes que tu as faites. Tu t’émerveilles pourtant que ces belles soient tes filles

S’élève à gros bouillons une montagne humide ; L’onde approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi des flots d’écume, un monstre furieux. Son front large est armé de cornes menaçantes ; Tout son corps est couvert d’écailles jaunissantes ; Indomptable taureau, dragon impétueux, Sa croupe se recourbe en replis tortueux. Ses longs mugissements font trembler le rivage. Le ciel avec horreur voit ce monstre sauvage, La terre s’en émeut, l’air en est infecté ; Le flot qui l’apporta recule épouvanté. Tout fuit

fenêtre La couleur : le rouge, le brun Couleur du coté de la femme : le vert et le rouge ( couleurs complémentaires ) ces couleurs ont été utilisées par l’artiste pour donner du relief au tableau et faire ressortir la femme grâce aussi à son voile blanc. La bougie et le cierge sont des symboles importants en peinture Les fruits : ils évoquent le possible pêcher et l’infidélité Dans le fond on voit un collier en corail : symbole de fidélité et de pureté. Le petit chien : symbolise la fidélité