Voltaire Pot Pourri

de gâteaux et une bouteille de madère achetée chez l’épicier. Il dut ressortir pour se procurer deux assiettes et deux verres ; et il disposa cette collation sur sa table de toilette, dont le bois sale fut caché par une serviette, la cuvette et le pot à l’eau étant dissimulés par-dessous. Puis il attendit. Elle arriva vers cinq heures un quart, et, séduite par le papillotement coloré des dessins, elle s’écria : « Tiens, c’est gentil chez vous. Mais il y a bien du monde dans l’escalier. » Il l’avait

gâteaux et une bouteille de madère 168 achetée chez l’épicier. Il dut ressortir pour se procurer deux assiettes et deux verres ; et il disposa cette collation sur sa table de toilette, dont le bois sale fut caché par une serviette, la cuvette et le pot à l’eau étant dissimulés pardessous. Puis il attendit. Elle arriva vers cinq heures un quart, et, séduite par le papillotement coloré des dessins, elle s’écria : « Tiens, c’est gentil chez vous. Mais il y a bien du monde dans l’escalier. » Il l’avait

gâteaux et une bouteille de madère 168 achetée chez l’épicier. Il dut ressortir pour se procurer deux assiettes et deux verres ; et il disposa cette collation sur sa table de toilette, dont le bois sale fut caché par une serviette, la cuvette et le pot à l’eau étant dissimulés pardessous. Puis il attendit. Elle arriva vers cinq heures un quart, et, séduite par le papillotement coloré des dessins, elle s’écria : « Tiens, c’est gentil chez vous. Mais il y a bien du monde dans l’escalier. » Il l’avait

sac de gâteaux et une bouteille de madère achetée chez l'épicier. Il dut ressortir pour se procurer deux assiettes et deux verres; et il disposa cette collation sur sa table de toilette, dont le bois sale fut caché par une serviette, la cuvette et le pot à l'eau étant dissimulés par-dessous. Puis il attendit. Elle arriva vers cinq heures un quart, et, séduite par le papillotement coloré des dessins, elle s'écria: "Tiens, c'est gentil chez vous. Mais il y a bien du monde dans l'escalier." Il l'avait

de gâteaux et une bouteille de madère achetée chez l’épicier. Il dut ressortir pour se procurer deux assiettes et deux verres ; et il disposa cette collation sur sa table de toilette, dont le bois sale fut caché par une serviette, la cuvette et le pot à l’eau étant dissimulés par-dessous. Puis il attendit. Elle arriva vers cinq heures un quart, et, séduite par le papillotement coloré des dessins, elle s’écria : « Tiens, c’est gentil chez vous. Mais il y a bien du monde dans l’escalier. » Il l’avait

bouteille de madère achetée chez l'épicier. Il dut ressortir pour se procurer deux assiettes et deux verres ; et il disposa cette collation sur sa table de V 76 Bel-Ami toilette, dont le bois sale fut caché par une serviette, la cuvette et le pot à l'eau étant dissimulés par-dessous. Puis il attendit. Elle arriva vers cinq heures un quart, et, séduite par le papillotement coloré des dessins, elle s'écria : « Tiens, c'est gentil chez vous. Mais il y a bien du monde dans l'escalier. » Il l'avait

et une bouteille de madère achetée chez l’épicier. Il dut ressortir pour se procurer deux assiettes et deux verres ; et il disposa cette collation sur sa table de 63 toilette, dont le bois sale fut caché par une serviette, la cuvette et le pot à l’eau étant dissimulés par-dessous. Puis il attendit. Elle arriva vers cinq heures un quart, et, séduite par le papillotement coloré des dessins, elle s’écria : « Tiens, c’est gentil chez vous. Mais il y a bien du monde dans l’escalier. » Il

sac de gâteaux et une bouteille de madère achetée chez l'épicier. Il dut ressortir pour se procurer deux assiettes et deux verres; et il disposa cette collation sur sa table de toilette, dont le bois sale fut caché par une serviette, la cuvette et le pot à l'eau étant dissimulés pardessous. Puis il attendit. Elle arriva vers cinq heures un quart, et, séduite par le papillotement coloré des dessins, elle s'écria: «Tiens, c'est gentil chez vous. Mais il y a bien du monde dans l'escalier.» Il l'avait prise

draps non lavés d’hôpital, celui qui s’intitule lui-même le Créateur ! Il tenait à la main le tronc pourri d’un homme mort, et le portait, alternativement, des yeux au nez et du nez à la bouche ; une fois à la bouche, on devine ce qu’il en faisait. Ses pieds plongeaient dans une vaste mare de sang en ébullition, à la surface duquel s’élevaient tout à coup, comme des ténias à travers le contenu d’un pot de chambre, deux ou trois têtes prudentes, et qui s’abaissaient aussitôt, avec la rapidité de la flèche

123. J. EISSEN, A propos des bévues cadastrales. Onomastica II (1948), 223-224. 124. H. ESCOFFIER, Les noms propres de la géographie et leur prononciation. Paris, 1912, 12 pp. (Extrait de : Rev. de l'Ecole, mars-avril 1912). 125. G. ESNAULT, "La Voltaire". Français moderne XVIII (1950), 261-262. L'article dans les noms de rues. 126. Ch. ESTIENNE, La guide des chemins de France. Paris, 1553, 256 pp. (Réédité par J. Bonnerot : Paris, 1935, 2 vol.) 127. K. von ETTMAYER, Auguste Longnon, les noms