Völuspá

nord de l'Europe, est très ancienne, et est passé assez vite de la pratique orale à la pratique écrite avec de grandes poésies qui racontent ces mythes, environ autour du VIIIème siècle comme par exemple l'EDDA, vaste poème complexe qui comprend le Voluspâ qui raconte l'origine du monde, qui a été traduit pour la première fois au XIXème siècle. Le mythe scandinave raconte l'origine comme d'un néant entouré de glace et de flamme qui se rencontrent pour donner naissance à deux êtres : un géant et une

naissance de Sîtâ (« sillon »), héroïne du Ramayana : son père Janaka (« progéniteur ») l’a trouvée sur son champ pendant qu’il labourait. La végétation, symboles et rites du renouvellement Dans la mythologie scandinave (la völva, prophétesse du Völuspâ) - ainsi que dans d’innombrables autres traditions - le cosmos est vu sous forme d’un arbre géant (Yddgrasil). Multivalence du symbolisme de l’arbre rituel. Plusieurs groupes : L’ensemble pierre-arbre-autel, qui constitue le microcosme effectif

sanguinaire, omniscient et autoritaire. Il est le dieu de la victoire. Il ne renonce à rien et est prêt à tout pour parvenir à ses fins. Le personnage de Wotan est donc clairement défini. Enfin, il serait impardonnable de ne pas évoquer le poème de la Volüspá. Issu de l’Edda poétique, autre manuscrit eddique au côté de l’Edda de Snorri Sturluson, constitue une eschatologie de la mythologie nordique. Ce poème est constitué - 11 - d’un long monologue d’une magicienne qui raconte l’histoire du monde et

cependant elle diffère de sa descendance future. Les ancêtres antédiluviens de l'éléphant et du lézard actuels étaient, peut-être, le mamouth et le plésiosaure. Pourquoi les aïeux de notre race humaine n'auraient-ils pas été les "géants" des Védas, du Vôluspa et du Livre de la Génèse ? S'il est positivement absurde de croire que "la transformation des espèces" ait eu lieu dans le sens adopté par les évolutionnistes les plus matérialistes, il est fort naturel de penser que chaque espèce, en commençant par

avait causé sa mort ; ou bien il n'aurait pas dû le donner comme otage, ou bien il devait tenir ses engagements. N'eussions-nous pas une seule autre trace de l'organisation gentilice chez les Germains, cet unique passage suffirait. Un passage de la Völuspâ, chant norois sur le crépuscule des dieux et la fin du monde, est encore plus décisif, parce que postérieur d'environ huit siècles. Dans cette « vision de la prophétesse », dans laquelle s'entremêlent aussi des éléments chrétiens, comme cela a été

vieil arbre de vie qui apparaît dans la Kabbale ou dans les légendes de la création chez les aborigènes Makiritare qui professent le culte yekuana dans les forêts amazoniennes. C’est l’arbre du monde qui relie le ciel et la terre et qui, dans votre Völuspà islandaise, est l’Yggdràsil… Ainsi, ce livre présente une sorte de plan, de carte des états intérieurs dans lesquels peut se trouver une personne au cours de sa vie. Les états de confusion, de vengeance, de désespoir sont traduits allégoriquement