Voûte

Nationale Propriété privée HÔTEL DE BERNIS L'hôtel de Bernis figure les plus anciennes et les plus belles maisons nîmoises. Sa façade gothique, du XVe siècle, est pourvue de belles fenêtres à meneaux. Sa cour du XVIIe s. est remarquable. La voûte en plein cintre du rez-de-chaussée abritait une échoppe au Moyen Age. La charmante cour intérieure s'inspire des Arènes avec ses arches où s'insère un puits. Les façades sur cour, réaménagées sous le règne de Louis XIII, ont, elles, emprunté le style

regard qu’on porte sur l’autre qui va être dénoncé, pouvoir prendre du recul. Rôle de la ville : vivre dans un environnement urbain, stérile, milieu facile donc favorise la pauvreté donc le mépris. Avachisse : laideur, cause de la déchéance : « vouté le dos » (v.22), « affalé » (v.24), « couchée » (v.33), la ville qui avachit l’Homme si bien qu’il se retrouve assis. L’exil comme un élément qui explique le regard péjoratif. II) Ce portrait est un miroir A. référence à l’albatros Ce déclic

nave ; s Kirchenschiff colonne : column ; e Säule - Gothique Angevin = milieu du XIIe siècle - Voûtes du XIIIe siècle - Vitraux ajoutés en 1988 lors de restaurations -MH : 1840 pour la salle des malades ; 1862 pour l’ensemble voûte : vault ; s Gewölbe clé de voûte : keystone ; r Dreh- und Angelpunkt tas de charge : chapiteau : capital ; s Kapitell supporter : to be supported by sth ; auf etw. DAT ruhen/stützen doubleau : vitrail : stained-glass window ; s buntes Kirchenfenster chauffage par

résistant. La nef, malgré cela, semble extrêmement légère et s'amincit de bas en haut : grandes arcades, fausse tribune, fenêtres hautes et enfin, dans un style typiquement normand, le lambris de bois de la voûte. L'architecture romane est caractériser par la réinterprétation de la voûte romaine antique, généralement en plein cintre. Les colones qui supportent les arcs typiquement cylindriques et surmontées de chapiteaux souvent sculptés avec des représentations d'animaux ou de plantes ou

circulait, dominant tous les parfums, une odeur de friture qui était comme l'encens de cette fête. Au bout, à l'extrême bout de la rangée des baraques, comme si, honteux, il s'était exilé lui-même de toutes ces splendeurs, je vis un pauvre saltimbanque, voûté, caduc, décrépit ; une ruine d'homme, adossé contre un des poteaux de sa cahute ; une cahute plus misérable que celle du sauvage le plus abruti, et dont deux bouts de chandelles, coulants et fumants, éclairaient trop bien encore la détresse. Partout

II. Entre architecture et ornements A- L’organisation architecturale de la Chapelle 1. Description générale (plan et élévation) Construite sur deux niveaux. Le niveau inférieur se compose d’une salle voutée en berceau. La chapelle haute, possède une nef de trois travées voûtée d’un berceau légèrement brisé. 2. Un témoignage unique. Elle témoigne du niveau très élevé de l’art clunisien à son apogée, mais reste cependant unique du fait de la disparition de l’abside de Cluny III qui

croire qu’elle n’as pas de fond. Vers 21 : « Et comme une Sirène, avec sa voix puissante, » C’est une comparaison, le poète compare l’espérance à une sirène. Vers 23 : « Mais la vague bientôt croule comme une voûte, » C’est aussi une comparaison entre cette fois-ci une vague et une voûte. On peut mettre en lien différents vers avec les thèmes principaux comme les vers suivant pour le doute : « Parfois il s’arrêtait, las de chercher la rive, De voir toujours la mer et rien à l’horizon, Et

ferveur religieuse entraîne un foisonnement de créations artistiques.  III.2. L'art roman (X°-XI° siècles) On reconnaît facilement une église de style roman pour laquelle l'architecte doit résoudre le problème du poids de l'édifice : voûte en berceau (1/2 cercle) ou voûte d'arêtes, murs épais pleins et bas, lumière faible, puissants contreforts extérieurs pour empêcher l'écartement des murs porteurs. Les décors constituent de véritables livres d'images qui permettent une meilleure connaissance des

dans les bras du préfet de police Mayott, un homme riche et puissant, mais qui était dévoré par l'orgueil et l'ambition. Un soir, Raoul, accompagné par Émile, devais faire une livraison dans la serre du Jardin des Plantes. C’était une grande pièce voûtée toute en verre par laquelle on pouvait apercevoir les étoiles étincelantes. En l'absence du professeur qui y travaillait, ils commencèrent à fouiner dans le laboratoire du professeur, Raoul aperçu une sorte de table de travail et des étagères remplis

soutenait de sa tête et de ses mains la voûte du ciel. Hercule lui demanda quel était le moyen de s'emparer des pommes convoitées. Le géant s'offrit d'aller les cueillir, mais à deux conditions: La première était qu'Hercule le débarrasse du dragon Ladon, le monstre à cent têtes, gardien du jardin. La seconde était que le héros le décharge de son fardeau pendant qu'il irait cueillir les pommes. Hercule accepta, il tua le monstre aux cent têtes et soutint la voute céleste. Puis il prit les pommes d'or