Voyage Au Bout De La Nuit Bardamu Et Les Femmes

La nuit a «ses beautés, ses effets pittoresques, ses magies et ses séductions» déclare Théophile Gauthier. Commentez cette affirmation et illustrez vos arguments avec des exemples appropriés. Introduction : Dans tous les domaines de l’art, la nuit avec sa symbolique multiple a été souvent utilisée par les romanciers, les poètes, les photographes et même les peintres qui comme Van Gogh pensaient "que la nuit est encore plus richement colorée que le jour". Pour Théophile Gauthier, la nuit n’est

mis en valeur. D’abord, il s’agit des personnes qui vivent dans ce milieu urbain. On trouve des travailleurs « les balayeurs » (l.3), des « marchands de vin » (l.11), «les « décrotteurs » (l.11) les épiciers » (l.12) et également des passants « des femmes » (l.13), la « foule » (l.15). Ensuite, les véhicules de plus en plus nombreux dans le Paris de l’époque sont décrits. Le vocabulaire utilisé est d’ailleurs très technique « palonniers, trais » (l.1), « tombereaux, cabriolets, omnibus » (l.5), « fiacre

dames (le commerce parisien et les femmes), La Curée (le milieu immobilier parisien), Cycle des Rougon-Maquart 3/ Un être en mouvement : le personnage en action Le personnage est au centre du monde et du roman à partir du pré-romantisme (Rousseau) et du romantisme. Personnages ascensionnels ▪ Maupassant, Bel Ami : ascension par les femmes. Milieu du journalisme. ▪ Stendhal, Le Rouge et le Noir Ascension de Julien Sorel par les deux femmes qu’il rencontre Mme de Rénal et

personnages hors du commun bien que pas toujours admirables. La Marquise de Merteuil est une femme indépendante et libertine deux adjectif qui sont associé en règle général a des hommes à cette époque et non a des femmes. C’est qui la rend hors du commun, car elle n’est pas représentative des femmes et de leurs situation au 18 ème siècle.Les personnages ne sont pas réellement nuancés c’est-à-dire qu’ils sont soit bons ou mauvais. Ils ne sont que très peu compris, si l’on garde la Marquise de Merteuil comme

par-dessus des tas de morts et de mourants, et gagna d’abord un village voisin ; il était en cendres : c’était un village abare que les Bulgares avaient brûlé, selon les lois du droit public. Ici des vieillards criblés de coups regardaient mourir leurs femmes égorgées, qui tenaient leurs enfants à leurs mamelles sanglantes ; là des filles, éventrées après avoir assouvi les besoins naturels de quelques héros, rendaient les derniers soupirs ; d’autres, à demi brûlées, criaient qu’on achevât de leur donner

Moreau, jeune provincial de dix-huit ans venant faire ses études à Paris. Il connaîtra l’amitié indéfectible et la force de la bêtise, l’art, la politique, les révolutions d’un monde qui hésite entre la monarchie, la république et l’empire. Plusieurs femmes traversent son existence, mais aucune ne peut se comparer à Marie Arnoux, épouse d’un riche marchand d’art, dont il est éperdument amoureux. C’est au contact de cette passion inactive et des contingences du monde qu’il fera son éducation sentimentale

protagonistes, le père et le fils, qui entrent dans une maison habitée mais vide. Il observe les lieux à la recherche d’un peu de nourritures avant le retour des propriétaires. Par curiosité, ils descendent à la cave, laquelle recèle des hommes, des femmes et des enfants en captivité, enfermés comme ‘’garde-manger’’ qui tentent de s’échapper lors de la venue des visiteurs. Cette effroyable scène montre l’horreur extrême que l’homme est apte à réaliser. On sacrifie de cette manière la vie d’innocents

partiellement pris par un autre groupe. Nous avons donc préféré étudier la Première Guerre mondiale, nous avons ensuite décidé de traiter la guerre de tranchée et les conditions de vie des soldats des différents fronts plutôt que l’arrière, c'est-à-dire : les femmes pendant la guerre, les hôpitaux et les « gueules cassées ». Au début de ce travail, nous pensions faire une étude comparée des conditions de vie des combattants allemands et français pendant la Première Guerre mondiale. Or, au cours de nos recherches

1912 procède de cette vision de la Terreur. L'histoire n'est pas une science, c'est un art; comme tout art, elle doit accorder la plus grande importance à l'existence des hommes. A côté du fanatique révolutionnaire Evariste Gamelin, les hommes et les femmes des Dieux ont soif, entraînés par le mécanisme tragique d'un pouvoir épris d'absolu et altéré de sang, nous sont décrits, au cœur d'une situation d'urgence, avec leurs soucis et leurs plaisirs quotidiens. Mais les responsables de la Terreur, menant

y a un texte écrit en 1876 par l' Amiénois Jules Verne, Michel Strogoff, un autre, Voyage au bout de la nuit, principal œuvre de l'auteur Céline, puis un extrait du roman Aurélien d'Aragon, et enfin, un extrait de l'Extension du domaine de la lutte, écrit par l'auteur controversé, Michel Houellebecq. Nous allons nous concentrer sur les deux premiers textes, c'est à dire sur Michel Strogoff et sur le Voyage au bout de la nuit.Dans ces deux textes, et comme dans chaque roman, il y a un personnage principal