Voyage Au Bout De La Nuit Description Ferdinand Bardamu

: Le roman et ses personnages : visions de l’homme et du monde. CORPUS TEXTE A. Stendhal, Le Rouge et le Noir, 1re partie, chapitre V, « Une négociation », 1830. TEXTE B. Victor Hugo, Quatrevingt-treize, 1874. TEXTE C. Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932. TEXTE D. André Malraux, La Condition humaine, 1933. ÉCRITURE I. Vous répondrez d’abord à la question suivante. Question (4 points) Après avoir repéré dans les différents extraits les personnages qui expriment un refus

héroïque ». Les descriptions sont très crues, pour dénoncer la barbarie guerrière. Quant à Stendhal, il tourne en dérision Fabrice Del Dongo et se moque de lui car les pensées de son antihéros sont en décalage par rapport à la situation, il éprouve de la gloire, alors qu’il se trouve au milieu du champ de la bataille de Waterloo, au cœur d’une défaite militaire : « Me voici un vrai militaire ! » « Il n’y comprenait rien du tout. » Dans l’extrait de Voyage au bout de la nuit, Ferdinand Bardamu a, au tout

quotidiennes de la vie, avec leurs forces morales et leur instinct de survie ( personnages germinal) vulgarité des personnages, anti-héros (cf ferdinand bardamu dans voyage au bout de le nuit) l'auteur s'inspire d'hommes réels, ou de leurs vies (dans aurélien, le personnage principal incarne le mal du siècle, qu'a vécu louis aragon dans sa jeunesse) avec des descriptions détaillées et réalistes des personnages dans manon lescaut, l'auteur, l'abbé prévost, s'est sans aucun doute identifié a des grieux

À quoi bon les descriptions ? Documents A – Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale, 1869. B – Émile Zola, L’Assommoir, chapitre 1, 1877. C – Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932. D – Jean-Marie Gustave Le Clézio, Désert, 1980. Ces quatre descriptions mettent-elles en valeur les mêmes aspects de la ville ? (3 points) m 2. Quels sentiments des personnages ces descriptions reflètent-elles ? (3 points) Après avoir répondu à ces questions, les candidats devront traiter au

L'imaginaire Nombre de pages: 122 Bibliographie: Louis-Ferdinand Destouches, aussi appelé Louis-Ferdinand Céline, est l'auteur, entre autres, de SEMMELWEIS. Ce livre, contenant 122 pages, fut publié le 5 Octobre 1999 par Gallimard . Cet ouvrage reprend la première édition publiée en 1936, qui était issue de la thèse de médecine soutenue le 1er Mai 1924. Présentation de l'auteur: Le 27 Mai 1894, à Courbevoie, naît Louis-Ferdinand Auguste DESTOUCHES. Issu de famille modeste, il s'engage dans

comprend : Texte A : Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale, 1869. Texte B : Emile Zola, L’Assommoir, 1877. Texte C : Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932. Texte D : Jean-Marie Gustave Le Clézio, Désert, 1980. Vous pouvez télécharger le sujet complet (séries Techno) ainsi que les textes du corpus ici. QUESTIONS 1) Ces descriptions mettent-elles en valeur les mêmes aspects de la ville ? Justifiez votre réponse. (3 points). Ce qu’il fallait éviter : Une réponse

1/7 Objet d’étude Le roman et ses personnages : visions de l’homme et du monde Le sujet comprend : Texte A : Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale, 1869. Texte B : Emile Zola, L’Assommoir, 1877. Texte C : Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932. Texte D : Jean-Marie Gustave Le Clézio, Désert, 1980. 10FRTEME1 2/7 Texte A : Flaubert, L’Éducation sentimentale Frédéric Moreau, jeune provincial étudiant à Paris, est épris de Mme Arnoux, épouse d’un marchand

pouvait voir avant. Il rend l’identification au héros plus facile car comme nous des êtres humains il a des défauts. Comme Julien Sorel qui est faible physiquement et son ambition sociale peut être vu à la fois comme une qualité et un défaut. La description autant morale que physique est de plus en plus développée. L’identité du héros est complexe et évolutif grâce au développement du personnage. Cela permet de mieux les comprendre, de mieux savoir qui ils sont. Julien Sorel est un héros très développé

aussi des indications qui donnent aux personnages un environnement matériel crédible. Le roman multiplie ainsi ces « effets de réel ». Ici, dans l’incipit, l’histoire se passe sur la grande route de Marchiennes à Montsou. De plus, nous avons une description physique qui rend réaliste le personnage principal ; « Il marchait d’un pas allongé, grelottant sous le cotons aminci […] Des mains gourdes que les lanières du vent faisaient saigner » Pour finir, les personnages permettent de mettre en évidence

alors à la fois le fruit dramatique de sa victoire mais aussi le témoin héroïque de sa hardiesse. Victor Hugo présente lui aussi des héros à travers la scène topique de la lutte révolutionnaire. Leur engagement total est mis en avant par une description vivante de la bataille. Les héros se battent « corps à corps, pied à pied, à coups de pistolet, à coups de sabre, à coups de poing, de loin, de près, d’en haut, d’en bas, de partout » : leur courage n’a pas de limite. Ici aussi, la mort n’est pas