Voyage Au Bout De La Nuit Le Défilé Des Morts

voyageur admis à son foyer. En Bessarabie aussi. - Au nord de la Perse, et chez les peuplades du Caboul, qui vivent dans de très anciens tombeaux, si, ayant reçu, dans quelque sépulcre confortable, un accueil hospitalier et cordial, vous n'êtes pas, au bout de vingt-quatre heures, du dernier mieux avec toute la progéniture de votre hôte, guèbre, parsi ou wahabite, il y a lieu d'espérer qu'on vous arrachera tout bonnement la tête, - supplice en vogue dans ces climats. Les actes sont donc indifférents en

des choses qui n'existent pas. Je crois. Je ne suis toujours pas convaincue à cent pour cent que j'hallucinais la nuit où le sol de ma chambre d'hôpital s'est transformé en un tapis de serpents grouillants. J'utilise une technique que m'ont suggérée les médecins. Je pars des certitudes les plus simples pour aller petit à petit vers les plus compliquées. La liste commence à défiler dans ma tête... « Je m'appelle Katniss Everdeen. J'ai dix-sept ans. J'ai grandi dans le district Douze. Je participais

juste une hypothèse à tester, puis cela devient un chemin obsédant à explorer. Tout commence en général par cette simple phrase : « Que se passerait-il si… » Ce qui a donné : « Que se passerait-il si l’on pendait les pollueurs ? » (Allons au bout de l’idée d’écologie.) « Que se passerait-il si… les humains se reproduisaient comme des fleurs ? » « Que se passerait-il si on obligeait les gens à oublier le passé ? » « Que se passerait-il s’il n’y avait plus que des femmes sur Terre ? » Dans

..............................................9 EXTRAITS................................................................................11 CHAPITRE I Mirages ............................................................ 31 CHAPITRE II Le sac de voyage ............................................38 CHAPITRE III L’Auberge du Souffleur.................................43 CHAPITRE IV Le couvre-lit ..................................................62 CHAPITRE V Le petit déjeuner .................

dans le vague, il se représentait ce décor oublié là-bas, le téléphone au fond du couloir, la maison isolée, vide peutêtre, par distraction il revisitait mentalement l’endroit mais finalement ce coup-ci on décrocha, une petite voix de môme à l’autre bout du fil qui lui lança : — Allô, c’est qui ? Cette intonation solaire, cette voix de gosse improbable, elle lui fit tout de suite penser à celle de son frère, mais ça ne se pouvait pas, bien sûr que ça ne se pouvait pas, il y avait bien longtemps qu’Alexandre

affreux sans lassitude ; Farouche, il était là, ce témoin de l’affront. Je montais, et son ombre augmentait sur mon front. Et tout en gravissant vers l’âpre plate-forme, Je disais : Il attend que la terre s’endorme ; Mais il est implacable ; et, la nuit, par moment Ce bronze doit jeter un sourd rugissement ; Et les hommes, fuyant ce champ visionnaire, Doutent si c’est le monstre ou si c’est le tonnerre. J’arrivai jusqu’à lui, pas à pas m’approchant... 16 J’attendais une foudre et j’entendis un chant

après quarante-huit heures de garde, j’avais descendu quelques verres de trop au Zanzi Bar avec Veronika Jelenski, l’infirmière la plus bandante et la moins farouche du Massachusetts General Hospital. La belle Polonaise avait passé une partie de la nuit avec moi, mais avait eu la bonne idée de décamper deux heures plus tôt, emportant son petit sachet d’herbe et son papier à cigarette, s’évitant ainsi un télescopage fâcheux avec mon père, l’un des pontes du département de chirurgie de l’hôpital dans

retrace les difficultés quotidiennes de Béni, jeune adolescent de seize ans, d’origine maghrébine, mal dans sa peau et qui rêve de s’intégrer à la vie française (convaincre ses parents de fêter Noël, pouvoir entrer au Paradis, aller dans une boîte de nuit). Avec humour, l’auteur traite des thèmes qui lui tiennent à cœur : la discrimination raciale, la recherche d’identité, l’école comme moyen de réussir. Prix Radio Beur,1989. Prix Falep du Département du Gers, 1990. A.Begag, Le Gone de Chaâba Azouz

côté droit Oh non Ce chat a quelquechose que je ne parviens pas à expliquer Lucifer va à la mer Sois un chat branché, sois la mascotte d'un bateau Quelque part, n'importe où Ce chat a quelquechose que je ne parviens pas à expliquer Rodant la nuit, examinant le sable Tâtant le sol un peu partout, il sera découvert Quand tu seras à proximité Ce chat a quelquechose que je ne peux pas expliquer La Mère De Mathilda Il y avait un Roi qui régnait sur la terre Sa majesté commandait Avec

premières œuvres du poète, mais à une époque très avancée de sa vie : Quand Ordener la se retourna, mousse, Ethel pâle, comme il vit, sur le roc bruni par une statue d'albâtre sur un piédestal noir. Han Dieu, caché dans la d'Islande, 113 (IX). nuit de cet être souffrant, Brille et fait resplendir son sourcil transparent, L'albâtre laisse voir la lumière immortelle, Son front luit. Toute la Ivre, II, 17-18 (V, vi). Laïs Et sur son cou d'albâtre nue avait moins d'escarboucles luisant