Voyages A Pied Rousseau L Emile

Prof. Antoine MANGA BIHINA Maître de Conférences à l’Université de Yaoundé I Année académique 2009-2010 DÉDICACE À mes feus parents Françoise et Luc NGBWA NGO’O, mes frère et sœur René et Adeline, maman Lucie, de vénérée mémoire. Et à toute la famille NGBWA NGO’O. REMERCIEMENTS Nous tenons d’abord à remercier le Seigneur Dieu Tout-Puissant qui, à travers feus Françoise et Luc NGBWA NGO’O, nous a fait le don gracieux de la vie. À notre Directeur de mémoire, le Professeur Antoine

façon inéluctable par notre atavisme génétique et culturel. Marcel Proust illustre ce constat en peu de mots : «  Nous tenons de notre famille aussi bien les idées dont nous vivons que la maladie dont nous mourrons. » Si la formule est lapidaire, elle a le mérite de poser des questions fondamentales : Qui sommes nous ? D’où venons-nous ? Lorsqu’en cette année 1875, Maurice Ravel et Ricardo Viñes voient le jour quel est le patrimoine de chacun ? Dans la mesure des connaissances actuelles, que pouvons-nous

littéraire et culturel qui se développe pendant cette période. Des écrivains se retrouvent autour d’intérêts communs et marquent par leurs œuvres un tournant fondamental dans l’évolution de la langue et de la littérature française et européenne. A En rupture avec le Moyen Âge ? Les éléments de rupture S’il est difficile de dater précisément les débuts de la Renaissance, on peut noter des changements remarquables dès le XIVe siècle et surtout le XVe  siècle en Italie et aux Pays-Bas. En

2011, SÉRIES S, ES Texte 1 Le narrateur rencontre Carmen pour la première fois et en fait le portrait à une de ses connaissances. J’étais donc le nez sur ma chaîne, quand j’entends des bourgeois qui disaient : « Voilà la gitanilla ! » Je levai les yeux, et je la vis. C’était un vendredi, et je ne l’oublierai jamais. Je vis cette Carmen que vous connaissez, chez qui je vous ai rencontré il y a quelques mois. Elle avait un jupon rouge fort court qui laissait voir des bas de soie blancs avec plus d’un

SÉRIES S, ES Texte 1 Le narrateur rencontre Carmen pour la première fois et en fait le portrait à une de ses connaissances. ½¼ ½ ¾¼ J’étais donc le nez sur ma chaîne, quand j’entends des bourgeois qui disaient : « Voilà la gitanilla ! » Je levai les yeux, et je la vis. C’était un vendredi, et je ne l’oublierai jamais. Je vis cette Carmen que vous connaissez, chez qui je vous ai rencontré il y a quelques mois. Elle avait un jupon rouge fort court qui laissait voir des bas de soie blancs avec

REMERCIEMENTS La Direction des Ressources Humaines remercie toutes les personnes qui ont participé à l’élaboration des fascicules de la FCD, particulièrement les rédacteurs, les membres de l’Équipe Technique Nationale, les directeurs et formateurs des EFI, qui en plus de leurs charges au niveau de leur structure, se sont entièrement donnés pour la réalisation de ce travail. Les remerciements s’adressent aussi à tous les Partenaires Techniques et Financiers notamment l’Agence Canadienne de Développement

REMERCIEMENTS La Direction des Ressources Humaines remercie toutes les personnes qui ont participé à l’élaboration des fascicules de la FCD, particulièrement les rédacteurs, les membres de l’Équipe Technique Nationale, les directeurs et formateurs des EFI, qui en plus de leurs charges au niveau de leur structure, se sont entièrement donnés pour la réalisation de ce travail. Les remerciements s’adressent aussi à tous les Partenaires Techniques et Financiers notamment l’Agence Canadienne de Développement

Texte 1Incipit de La Princesses de Clèves | L’auteur | - Mme de la Fayette - Née à Paris en 1634, de son vrai nom Pioche de la Vergne. - Education soignée littéraire et mondaine. - Fréquentation hâtive des salons mondains. - Propriétaire de son propre salon où elle réunit les membres de la haute société (Henriette d’Angleterre, Mme de Sévigné, La Roche Foucault…). - Type même de la femme savante, cultivée et dotée d’une parfaite maîtrise des codes de l’aristocratie. - Femme

absolu a cela de commode qu’il sanctifie tout aux yeux des peuples », en effet, le détenteur du pouvoir, et encore plus du pouvoir absolu est craint, parfois même vénéré par l’ensemble de la population, car à la manière du Prince de Machiavel, il sait se parer du masque du Lion et du Renard, agir avec force et ruse, afin d’affirmer son pouvoir et le rendre souverain, unique. Le Roi Soleil agissait de tel façon qu’il ne refusait aucune contradiction quant à son statut de monarque absolu, et il a achevé

Professeur, Université de Strasbourg Remerciement J'exprime ma profonde gratitude à Monsieur le professeur Michel HAU, qui a dirigé mes travaux. La confiance qu'il m'a témoignée, le temps qu'il m'a consacré, et les conseils qu'il m'a donnés tout au long de mes travaux, m'ont largement aidé à mener à bien cette thèse. Je tiens à exprimer toute ma reconnaissance à M. Jérôme GRONDEUX, à M. Etienne THEVENIN et à M. Luc FRAISSE qui ont accepté d’être les rapporteurs de cette thèse. Ce travail