Voyages De Gulliver Les Personnages

philosophiques où ils mettront en scène des personnages étrangers dits exotiques. Nous nous demanderons donc dans quels buts les philosophes des Lumières recourent-ils fréquemment à ce genre de personnages. Pour répondre à cette question, il s’agit d’abord de s’intéresser au relativisme culturel mis en œuvre dans les ouvrages philosophiques des Lumières et ensuite de s’intéresser au côté plaisant de ces ouvrages. Tout d’abord, le fait d’exposer des personnages exotiques permet à l’auteur de critiquer

limites de l'efficacité de la fiction pour « inciter à réfléchir », mais vous pouvez les évoquer rapidement (ouverture en fin de devoir). Chercher des idées Pour trouver des idées et construire le plan, répertoriez les éléments d'une fiction : personnages, péripéties, éventuellement merveilleux... Puis, prenez plusieurs points de vue : celui du créateur (la fiction donne plus de liberté à l'auteur, elle permet d'intéresser en divertissant, donc de s'adresser à un lectorat plus large) ; celui du

des leçons de vie. Par la suite je vais vous montrer comment les contes merveilleux évoquent le monde réel à l’aide ces thèmes. Les contes merveilleux recourent au surnaturel, ils nous font voyager dans un monde magique qui s’oppose au réalisme. On y trouve entre autres des animaux qui parlent, des personnages qui vivent des événements impossibles. En tant que lecture nous ne sommes pas étonnés de voir ce genre d’aventures. Malgré tout cela, ces univers imaginaires sont très proches de nous. Ne serait-ce

(La réception de l’Ingénu à la cour de Versailles), dans L’Ingénu de Voltaire  • « La dent d’or », dans les Histoires des oracles de Fontenelle Lecture cursive = Lecture personnelle, au choix : • Les Voyages de Gulliver • Voyage à Lilliput de Jonathan Swift • Voyage à Broddingnag de Jonathan Swift • Zadig de Voltaire • Jeannot et Colin de Voltaire • Memmon de Voltaire • Micromégas de Voltaire • Le Barbier de Séville de Beaumarchais LECTURE D’IMAGE

Micromégas de Voltaire, l'exemple d'un apologue a temps des Lumières. Introduction : 1--- Sources littéraires au 18ème siècle : → Romans pastoraux, baroques, fantaisistes. → Romans picaresques. → Récit de voyages (Les Voyages de Gulliver)-(Voyage de Bougainville)-(Lettres Persanes)... Voltaire s'inspire de tout ces ouvrages pour créer une nouveauté : → Nouveauté : Un conte philosophique. Première version en 1739 pour Frédéric II. 2--- Contexte historique et

de Montesquieu); — le théâtre (L’île de la Raison, de Marivaux); — l’essai (Tableau de Paris, de Mercier), la maxime (Caractères et anecdotes, de Nicolas Chamfort); — le conte philosophique (L’ingénu, Zadig, Micromégas, de Voltaire; Voyages de Gulliver de Swift); — l’entretien et le dialogue (Entretien d’un philosophe avec la Maréchale de *** de Diderot). • Le conte philosophique occupe une place importante parmi les genres littéraires adoptés par les philosophes du XVIIIème siècle

1759. L’auteur du livre est Voltaire, qui faisait parti du courant littéraire des Lumières. Ce conte date du 18ieme siècle qui est en fait l’époque des philosophes. Dans Candide, Voltaire a voulu montrer que le Mal est universel, à travers ses personnages. Martin affirme que le diable qui constitue le mal est partout et il n’est pas sur que le bon existe et s’il existe, il ne le connait pas. Mais je vous avoue qu’en jetant la vue sur ce globe, ou plutôt sur ce globule, je pense que Dieu l’a abandonné

philosophes l’ont beaucoup critiquée car elle n’était pas menée pour de grandes idées mais pour des choses souvent sans but concret. Un autre sujet beaucoup critiqué par les philosophes était la colonisation. On retrouve cette critique dans Supplément au Voyage de Bougainville, écrite par Diderot en 1772. Le texte évoque une société tahitienne utopique, mais Diderot met en question les principes de la société. Il soulève également le problème du colonialisme. Il dénonce une société colonisatrice, injuste

utiliseront-ils. Le "mythe du bon sauvage" est un sujet récurrent chez des auteurs comme Rousseau ou Diderot. En effet, les philosophes du 18ème siècle utilisent ce thème afin de critiquer les récits de voyage, qui se multiplient avec les nombreux voyages autour du monde. Dans Le supplément au voyage de Bougainville paru en 1796, Diderot critique l'image pure et simple des sauvages diffusées par ces récits : des hommes généreux, libres de toute contrainte sociale ou politique, non corrompus par les

Thomas More correspond à une description (voir para-texte) de la ville imaginaire nommée Utopie (étymologie grecque « ou » et « topos » signifiant respectivement « non » et « lieu »). Ce texte est donc un texte utopique. Le document B, Les voyages de Gulliver écrit par Jonathan Swift, est lui aussi un récit utopique. En effet, l'auteur raconte les aventures de son héros chez les Houyhnhnms qui sont en réalité un « peuple de cheveux extraordinaires ». On peut donc remarquer dès le para-texte que cette