Voyages Du Compagnon Les Grands Initiés

période du compagnonnage est utilisée pour approfondir et s’astreindre à des efforts permanents afin de pouvoir aider à la construction des murs du temple personnel et universel. Le compagnon va pour ce faire utiliser des outils qui lui sont présentés lors des cinq voyages de l’élévation au deuxième degré. Ces cinq voyages sont interdépendants et indispensables à la progression du récipiendaire. Ainsi nos sens permettent-ils d’appréhender les secrets de l’architecture à travers 5 ordres Dans un

A la gloire du Grand Architecte De l’Univers, Très Vénérable et vous tous mes Frères en vos grades et qualités. A l’adolescence, mes deux passions étaient le modélisme et les sciences naturelles. La première se mit au service de la seconde le jour ou j’entrepris, à l’aide d’une fine scie, la découpe d’une coquille d’escargot perpendiculairement à son axe. Ce gastéropode fort commun et si emblématique de notre département me révéla alors une spirale aux proportions si harmonieuses que je garde

LE MIROIR Pour une majorité des frères présents, l'idée d'une planche sur le miroir s'apparente au cabinet de réflexion or comme mes frères apprentis et compagnons qui comme moi on été initiés au rite écossais rectifié celui ci n'apparait qu'au grade de compagnons accompagné de cette maxime « Voyez vous tel que vous êtes » Mais que reflète-il ce miroir? Que réfléchit-il?et vers quelle méditation va-t-il m'amener? car il me donne un reflet de moi, mais un reflet complexe vu que mon image est

mesure Tesson transforme-t-il un pèlerinage en une épopée dans son récit de voyage Bérézina ? Dans son récit de voyage, Bérézina , Sylvain Tesson conjugue ses passions. En effet, en amoureux de la langue russe et de sa terre, il parcourt les contrées de la Russie en side car sur les traces de Napoléon et de son armée lors de la retraite de Russie. Ce voyage est un véritable pèlerinage initié dans le dessein de rendre hommage au génie d’un homme, Napoléon, et au courage

Mes Frères me reconnaissent comme telL’ACACIAL’Acacia est un des grands symboles du grade de Maitre.La légende d’Hiram, support de la cérémonie d’élévation au grade de Maitre, raconte que les Frères découvrent l’emplacement où il a été enterré grâce à une branche d’acacia plantée à proximité d’un tertre fraichement remué. C’est ainsi que l’Acacia est devenu la marque de reconnaissance des Maitres Maçons. Ce que le Rituel nous rappelle dans le passage suivant :« Seriez-vous donc Maitre ? L’Acacia

 A LA GLOIRE DU GRAND ARCHITECTE DE L'UNIVERS VENERABLE MAITRE ET VOUS TOUS MES FRERES EN VOS DEGRES ET QUALITES Mon frère 1° surveillant m'a proposé pour ma planche d'élévation de travailler sur le tableau de loge du Compagnon, en m'intéressant notamment aux apports de ce tableau vis à vis de celui du premier degré, le but étant de relever les modifications intervenues plutôt que de dresser un état exhaustif des symboles présents dans l'un et l'autre. Je me propose de reprendre de manière succincte

sans dommage pour elle-même : agencer et maîtriser la matière. J’en viens donc à vous parler au fur et à mesure des outils du comp\ en essayant de reconstruire le chemin maçonnique lors de mon passage au 2ème degré. Lors de ma réception au GRADE DE COMPAGNON après avoir lu mon morceau d’architecture on me communiqua le M\P\ en tenue d'App\ et le V\M\ dit : F\ Expert, faites maintenant exécuter au Récipiendaire son dernier travail d'App\. L'Expert amène le Récip\ auprès de la P\B\ Il lui remet le Maillet

la sorcellerie. Des éminents chercheurs l’ont déjà fait, sans être d’accord sur l’une ou l’autre présomption. La sorcellerie est un domaine occulte, subjectif et une société initiatique fermée. Ce domaine ne peut être connu et abordé que par ses initiés ou par ceux qui de nature possèdent un pouvoir spécial. Nous ne sommes cependant ni l’un ni l’autre. Notre objectif, ce midi, qui demeure spéculatif et intellectuel, n’est pas de vous instruire sur les pratiques sorcières, ni de démontrer matériellement

fortunés, le gant reste l’accessoire indispensable lors de sorties officielles ou des évènements importants de la vie. Le gant connait cependant à partir de la seconde moitié du siècle un certain déclin. Peu à peu délaissé au quotidien, ce sont les grands couturiers qui vont faire du gant un incontournable des podiums. Pour tout couturier, le gant est chargé d’une symbolique forte ; il est à la fois « synonyme d’un très beau geste » (Nina Ricci), « le souvenir de toutes les héroïnes » (Guy Laroche)

intellectuel, l’invisible patience du véritable artiste. « Notre regard est attiré par le profil du visage aux yeux baissés, nettement découpé sur la tenture vert sombre, et par la finesse des mains occupées à rédiger. Holbein a d'ailleurs porté un grand soin à la description de ces mains, comme nous le montre une feuille d'étude conservée au musée du Louvre. La composition est sobre afin de refléter l'attention du modèle qui se concentre exclusivement sur son activité littéraire. Le choix d'un profil