Vraisemblance

célèbre mais elle a également provoqué la querelle du Cid. Dans le texte qui suit, il sera question de l’œuvre de Pierre Corneille et de son son contenu , mais plus précisément du fait que ce livre ne respecte pas les règles des trois unités, de la vraisemblance et finalement de la bienséance. Pour commencer, la règles des 3 unités a été crées par l’Académie française, mais plus exactement par l’abbé d’Aubignac. L’académie française , récemment constitué , reproche a Corneille le non-respect de la règle

chose d'irréel tout en le persuadant qu'il s'agit bien de la réalité. Assurément l'illusion théâtrale, à travers l'excès et le grandiose, contribue à notre plaisir du théâtre, mais ce plaisir de l’illusion théâtrale n’est-il pas également dû à sa vraisemblance ? Pour commencer, nous pouvons observer que l’illusion théâtrale est en grande partie produite par les fondements du théâtre classique, et plus particulièrement les excès : les excès des émotions procurées dues aux caractères et situations excessifs

normes de comportements, les trois unités du théâtre, à savoir, unités de temps, de lieu et d’action faisant partie de la structure du texte. La notion de vraisemblance, également très importante en théâtre, exige que ce qui est raconté semble véridique, une ressemblance avec la réalité doit d’établir. D’ailleurs, d’après Nicolas Boileau, la vraisemblance est encore plus importante que el vrai, étant donné que « le vrai peut quelque fois n’être point vraisemblable ». Dans l’extrait qui nous intéresse

par Maupassant. A- Plan : | I- La position et le travail du critique II- Distinction entre un critique (esthète) et un lecteur (homme) III- Le droit de l’artiste IV- L’arrivée de l’école réaliste ou naturaliste V- Vérité et vraisemblance dans le roman VI- Distinction entre le roman d’analyse pure et le roman objectif VII- Impossibilité du nouveau et éloge du travail | I- La position et le travail du critique : Un bon critique pour Maupassant est une personne qui après

mouvement littéraire adopté dans plusieurs domaines. Parmi ces domaines, on distingue la sculpture, l’architecture, le théâtre, la musique, le roman, la peinture… Ce courant prône l’imitation des Anciens et le respect de certaines règles de vraisemblance et de bienséance. Dans le domaine de l’écriture, le classicisme se base essentiellement sur l’usage de la raison à tel point qu’il fut influencé par le rationalisme de Descartes. Or, les adeptes de la tendance classique sont loin d’être rationnels

l’instabilité, la métamorphose, l’illusion ou le mouvement, l’extravagance et la mise en avant des personnages. Alors que le classicisme représente la grâce, la véracité et la vraisemblance des faits. Au théâtre on retrouve les 5 règles classiques ; l’unité de lieu, de temps, d’action, la bienséance et la vraisemblance. Comme le dit Boileau : « qu’en un jour, qu’en un lieu, un seul fait accomplit tienne jusqu’à la fin le théâtre remplit », de plus on retrouve des caractéristiques dans les pièces

succès contraignit les formes dramatiques plus libres, et sur lesquelles le poids des traditions et des théories n'était pas aussi lourd, à se conformer peu à peu, comme la tragi-comédie et même la comédie, aux fameuses règles : les unités, la vraisemblance et les bienséances, lesquelles eurent pour objectif essentiel et commun de créer au mieux l'illusion théâtrale ou scénique. Ceci dit, une relative indépendance à l'égard de la doctrine, encore en gestation, caractérise le premier XVIIème siècle

Corneille et Racine qui indique que « l’action doit se dérouler en un seul jour et un seul lieu » (Survol p. 238). Les deux pièces se passent dans une journée et le cadre n'est pas en divers endroits. Cependant, Corneille n'accepte pas la règle de la vraisemblance. Il préférait placer ses personnages dans des situations exceptionnelles parce qu'il croyait que la tragédie peut être belle sans une situation vraisemblable. Cela est évident dans Le Cid de la quantité des développements de l'intrigue qu'il met

drame. De la péripétie, considérée comme moyen dramatique. I. Il est évident, d'après ce qui précède, que l'affaire du poète, ce n'est pas de parler de ce qui est arrivé, mais bien de ce qui aurait pu arriver et des choses possibles, selon la vraisemblance ou la nécessité.
II. En effet, la différence entre l'historien et le poète ne consiste pas en ce que l'un écrit en vers, et l'autre en prose. Quand l'ouvrage d'Hérodote serait écrit en vers, ce n'en serait pas moins une histoire, indépendamment

L’EPOQUE CLASSIQUE : Introduction : I. Définition et origine : II. Caractéristiques: III. Les genres théâtraux : 1. La tragédie : 2. La comédie 3. Le drame : IV. Les règles du théâtre: a. La bienséance : b. La vraisemblance: c. Les trois unités : Conclusion : Les exposants : * Djiby Sow * Ndeye Aminata fall * Moustapha Timbo * Astou Sarr * François –k- Mendi * Fatou Mboup * Mariama Ba EXPOSE: Le théâtre à l’époque classique: