Vénus Cabanel

différents courants en classe qui, il faut avouer, ne m’encourageait pas à choisir cette artistes, j’ai tout de même pris le risque de choisir Bouguereau. Pas à cause du personnage mais bien à cause de ses oeuvres et plus particulièrement La Naissance de Vénus. En effet, je ne comprends pas pourquoi les académiciens ont été mis de coté aussi longtemps et même que l’on ait pu méprisé ce courant artistique car, pour ma part, sa toile fait partie des plus belles. Elle est extrêmement détaillée et bien pensée

un flot continu de Savoyards, de Dauphinois, d'Auvergnats, de Suisses et d'Italiens se porte sur Lyon. Et l'accroissement se poursuit d'une façon régulière. Chaque jour des industries nouvelles se créent, recrutant sans peine des milliers de bras venus de tous les points de l'immense région que parcourent le Rhône, la Saône et la Loire. L'invention du fil aérien et la possibilité d'amener des Alpes la force emmagasinée par la houille blanche ont donné un élan inouï à la création de lignes de tramways

un flot continu de Savoyards, de Dauphinois, d'Auvergnats, de Suisses et d'Italiens se porte sur Lyon. Et l'accroissement se poursuit d'une façon régulière. Chaque jour des industries nouvelles se créent, recrutant sans peine des milliers de bras venus de tous les points de l'immense région que parcourent le Rhône, la Saône et la Loire. L'invention du fil aérien et la possibilité d'amener des Alpes la force emmagasinée par la houille blanche ont donné un élan inouï à la création de lignes de tramways

courant, un marchand, une question d’histoire de l’art. Ensuite ce que l’on doit retenir relève des cours de cette année, des avant-gardes et des liens que l’on peut faire entre les artistes du XIXème. En commençant par l’académisme (Venus de Cabanel) pour aller vers du pointillisme (Entrée du port de la Rochelle de Signac) en passant par les célébrissimes tableaux de Manet avec le déjeuner sur l’herbe en exemple à l’impressionisme, ou encore Courbet et l’enterrement à Ornans, Van Gogh et

moyen de présenter l’empire sous un nouveau jour. Il aimait peindre des nus, car peindre un nu est difficile, la chair doit refléter la carnation et doit vivre. Cette femme qu’il peint au centre de sa toile, contrairement à, par exemple à la Vénus de Cabanel, est nonchalente et possède un regard sûr. Cette femme sait qu’elle est nue, ce qui fait toute la différence aux yeux de l’époque. Il a voulu donné une vision contemporaine, aux antipodes de la représentation mythologique ou biblique de la nudité

travers l’art académique Zola critique l’esthétique second empire qui est vulgaire, pour lui la beauté est dans d’autres représentations. « Nana » de Manet : on est dans la peinture à la Zola (chapitre 5). Un des peintres officiels, Cabanel, il représente Vénus cela vulgarise la mythologie. Représentation du corps féminin stéréotypée. Les représentations de la nudité féminine sont artificielles. Tout le premier chapitre montre la représentation des opérettes qui mettent en avant la beauté idéale

oeuvres conformes à ces codes. Par exemple en 1863, lors d’une exposition, deux tableaux représentant une femme nue étaient exposés, l’un (le Déjeuner sur l’Herbe de Monet) fut jugé obscène et censuré tandis que l’autre (La naissance de Vénus d’Alexandre Cabanel) eut un grand succès. L’oeuvre dite moralement mauvaise montrait deux hommes habillés et deux femmes lors d’un pique-nique. Une des femmes était nue, assise près des hommes, et c’était amoral parce qu’elle était dessinée avec trop de réalisme

Radeau de la Méduse de Géricault en 1819 qui frappe l'opinion, étant vu comme une charge contre le régime royal, et La Barque de Dante d'Eugène Delacroix exposé au salon de 1824, et qui se voit confronté à la dernière toile de David Mars désarmé par Vénus. Delacroix à la mort de Géricault devient le chef de file des peintres romantiques, avec des toiles d'inspirations politiques et engagées telles les Scène des massacres de Scio, ou la Liberté guidant le peuple, et des thèmes exaltant la mort ou la

l’avoir traité dans Hippolyte voilé aujourd’hui perdu. Dans la pièce conservée, le héros est poursuivi par la déesse de l'amour, Aphrodite, qui dès les premiers vers clame sa fureur d'être délaissée par le jeune homme au profit d'Artémis. Dans Phèdre, Vénus s'acharne contre la famille de la reine dont l'ancêtre, le Soleil, avait révélé les amours coupables de la déesse et de Mars. La fatalité prend ainsi la forme de cette haine implacable attachée à toute la descendance du Soleil. Sénèque, philosophe

l’avoir traité dans Hippolyte voilé aujourd’hui perdu. Dans la pièce conservée, le héros est poursuivi par la déesse de l'amour, Aphrodite, qui dès les premiers vers clame sa fureur d'être délaissée par le jeune homme au profit d'Artémis. Dans Phèdre, Vénus s'acharne contre la famille de la reine dont l'ancêtre, le Soleil, avait révélé les amours coupables de la déesse et de Mars. La fatalité prend ainsi la forme de cette haine implacable attachée à toute la descendance du Soleil. Sénèque, philosophe