Vénus Cabanel

 « Vénus anadyomène » INTRODUCTION : - situation : sonnet qui est précisément daté du 27 juillet 1870, écrit lors du séjour de Rimbaud à Douai chez son ancien professeur Izambard. Ce poème a pour sujet le corps féminin mais notons que « Vénus anadyomène » fait suite à plusieurs poèmes qui explorait déjà la thématique de la femme comme « Ophélie » ou encore « Comédie en trois baisers ». Néanmoins la « Vénus anadyomène » fait entendre une discordance qui contraste fortement avec les deux poèmes

Lecture analytique « Vénus anadyomène » Introduction : Lorsqu'il évoquait sa démarche poétique, Charles Baudelaire expliquait parfois qu'il prenait de la boue pour en faire de l'or, ouvrant ainsi la poésie sur le monde du laid. Dans son sonnet de 1870 intitulé « Vénus anadyomène », extrait du recueil des Cahiers de Douai, Rimbaud s'inscrit dans cette voie et propose un traitement personnel et iconoclaste du motif mythologique de la naissance de Vénus, universellement connu par ses expressions

l’abstrait, le nu vulgarisé. Michel Blazy : « patman » 2006, composition organique à base de pâtes de soja : vanité Piet Mondrian : « Composition II in Red, Blue, and Yellow », 1930, cubisme composition abstraite Alexandre cabanel : « La naissance de Vénus » ou « Venus anadyomède »,1863, nu de divinité ( peau anormalement lisse, pas de poils …) Edouard Manet : « olympia », 1863, nu de femme du peuple, ni extrêmement jolie ni laide. Gustave Courbet : « un enterrement à Ornans », 1849

la nouvelle école. L’œuvre de Claude qui suscite le scandale s’intitule «plein air», et fait référence explicitement au « déjeuner sur l’herbe » de Manet. Le roman de Zola est en effet un parallèle avec la vie de vrais artistes comme Cabanel (« la naissance de vénus ») , Courbet, Monet, Sisley, Bazille, Renoir puis Pissarro et Cézanne. Allusion est faite dans le roman à la première exposition de la« Société anonyme des artistes, peintres, sculpteurs et graveurs » -les impressionnistes- organisée

demande des artistes, les œuvres rejetées au Salon officiel, que le Déjeuner sur l’herbe suscite de vives critiques de la part d’un public, notamment l’Impératrice, offusqué devant cette jeune femme nue. Pourtant cette même année, La Naissance de Vénus de Cabanel, à l’attitude bien plus langoureuse, lascive connait, elle, un immense succès (Napoléon l’achète). Le fait est que la représentation en est idéalisée, alors que Manet, lui, transpose son sujet dans la réalité. Les spectateurs de l’époque seraient

place à une bourgeoisie entreprenante : cette dernière cherche à imposer ses vertus d'ordre et de moralité. En 1863, sur l'ordre de Napoléon III, les œuvres rejetées par le Salon officiel, où triomphait cette année-là « La naissance de Vénus » d'Alexandre CABANEL, furent présentées au public dans le fameux « Salon des Refusés ». 3°) DESCRIPTION et ANALYSE de l'œuvre : « Le déjeuner sur l'herbe » de Manet a provoqué un scandale lorsque le tableau a été présenté pour la première fois au Salon des

référence directe et avouée à d’autres modèles classiques, témoignage de la culture de Renoir. On retrouve en effet dans la position des deux femmes au premier plan une origine dans plusieurs tableaux de Titien, comme la Vénus endormie (qu’il peint avec Giorgione) vers 1507, la Vénus d’Urbino, peinte en 1538, Danaé peinte en 1545-46, ou encore La Bacchanale des Andriens (1518-1523). A la fin de sa vie, Renoir veut se mesurer aux grands exemples passés, tels Titien ou Rubens, qu’il a pu admirés au Louvre

colorant les transparents des croisées et des kiosques, courant sur les façades en baguettes, en lettres, en dessins de feu, piquant l’ombre d’étoiles, filant sur la chaussée, continuellement. La Curée • Comparer La Naissance de Vénus, d’Alexandre Cabanel (1863), avec Olympia, d’Édouard Manet (couleurs, techniques, traitement du sujet), en s’appuyant sur les textes critiques de Zola. En s’inspirant de son argumentation, imaginer un dialogue entre l’écrivain et un membre du jury officiel

plusieurs œuvres littéraires connues dont ''le Diable amoureux'' de Jacques Cazotte,''La fée aux miettes'' de Nosier et plus tard, ''Le Horla'' du célèbre Guy de Maupassant.Entre temps en 1835, alors qu'il avait 34 ans, Prosper Mérimée écrit ''la Vénus d'Ille'', une nouvelle fantastique inspirée d'une légende médiévale, de ses souvenirs de tournées archéologiques dans le Roussillon et d'un opéra créé en 1831 qui raconte la vengeance d'une statue à laquelle un corsaire a passé une bague au doigt.

de faiblesse et par conséquent de soumission par rapport aux hommes. Il s'agit aussi de rendre la femme attirante, séduisante, pour l'homme et ce en valorisant ses atouts naturels, qui sont ceux que l'on retrouve dès les premiers âges, avec les Vénus. Poitrines avantageuses, bassins larges sont des symboles de fécondité – qualité dite essentielle de la femme, même si elle devient coquette comme c'est le cas au XIXème siècle, puisque toute sa vie se voit consacrer à la fondation d'un foyer et à