Vérité Et Erreur

Sujet : L'erreur a-t-elle un rôle dans l'élaboration de la vérité ? Aperçu du corrigé : L'erreur a-t-elle un rôle dans l'élaboration de la vérité ? Ce corrigé vous sera utile pour ces autres sujets voisins •L’erreur peut-elle être féconde ? •L’erreur a-t-elle une valeur ? •L’erreur peut-elle avoir plus de valeur que la vérité ? •erreur : Affirmation fausse. A la différence du mensonge, l'erreur implique la bonne foi; l'erreur, dit Platon, est une ignorance double, c'est-à-dire une ignorance

Une erreur collective est-elle préférable à une vérité isolée ? 20/20 Scepticisme cherche la vérité en examinant les arguments. Or dès qu’on croit qu’on a trouvé une vérité, le sceptique montre que c’est une erreur. Donc il suspende leur jugement mais ne dise pas que la vérité n’existe pas (nihilisme) Le sceptique pratique vit comme tout le monde Attention : le sceptique ne veut pas douter il veut la vérité Exemple dans le banquet de Platon pour l’allégorie de la caverne : La beauté en soi est

pour de petits êtres fasçonnés par des vérités souvent trop lointaines de la réalité. -Le mot «vérité » en philosophie signifie une connaissance authentique, fondée sur la concocordance de la pensée avec la réalité, or, -une vérité « première » sera donc assimilée a une notion fondamentale, une vérité dont la véracité nous semble évidente. Seulement Descartes condamne ces « pseudo-savoirs », qui ne donnerait plus l'apparence de la vérité que la vérité elle-même. Comment distinguer le vrai

de ne pas répéter les erreurs du passé. Pourtant même si l’homme reconnait ses erreurs cela ne l’empêche pas de les reproduire.   D’après l’affirmation de Hegel « l’unique leçon que l’on peut retenir de l’histoire est que l’histoire n’a jamais été réellement retenus par les hommes. Si nous ne serions pas capables de dépasser nos erreurs les sociétés humaines ne pourraient évoluer.   Ici on peut donc se demander dans quelles conditions pouvons nous apprendre de nos erreurs ou encor est-ce qu’il

faut une première esquisse ; il faut un contour fermé. (...) Toutes nos erreurs sont des jugements téméraires, et toutes nos vérités, sans exception, sont des erreurs redressées. On comprend que le liseur ne regarde pas à une lettre, et que, par un fort préjugé il croit toujours l'avoir lue, même quand il n'a pas pu la lire, et si elle manque, il n'a pas pu la lire. Descartes disait bien que c'est notre amour de la vérité qui nous trompe principalement, par cette précipitation, par cet élan,

s'être trompé pour parvenir à la vérité ? Socrate dit : « Je sais que je ne sais pas. » Or, poser la question « Faut-il d’abord s’être trompé pour parvenir à la vérité ? », contient le présupposé, que nous pouvons parvenir à la vérité. La question semble en contradiction avec le philosophe. De plus, la question semble paradoxale : l’accession à la vérité passerait nécessairement par l’erreur. Le bon sens dirait : « On peut se tromper, pour découvrir la vérité. Mais on peut aussi la découvrir

revenir, de ne point s' obstiner. Toutes nos erreurs sont des jugements téméraires , et toutes nos vérités, sans exception, sont des erreurs redressées. On comprend que le liseur ne regarde pas à une lettre, et que, par un fort préjugé, il croit toujours l'avoir lue, même quand il n'a pas pu la lire. Descartes disait bien que c'est notre amour de la vérité qui nous trompe principalement. Cette vue va à pardonner l'erreur, et il est vrai que toute erreur est humaine et belle. Dans ce texte

L'Homme, par nature et indépendamment de sa volonté, est en perpétuel apprentissage, et par extension en perpétuelle recherche de vérité, plus ou moins poussée. Cela commence dès l'enfance, lors de l'éducation et de la scolarité, où les professeurs sollicitent sa pensée et l'exercent. Cependant, l'erreur inopinée est le lot quotidien, inévitable et commun de l'exercice de l'esprit. Les élèves et professeurs le savent bien ; ils y sont sans cesse confrontés. Elle est parfois redoutée par les

un être de conscience qui, tout au long de sa vie, commet des erreurs et s'égare dans sa recherche de vérités, dans sa recherche d'une meilleure connaissance de soi, et se voiler la vérité, c'est se détourner de ce savoir. Par se mentir à soi-même, entendons le fait pour l'Homme de tromper sa propre... définir tous les termes dès l’intro, on peut les définir dans la suite du sujet. On peut y souligner un ou quelques termes pour insister dessus ( on peut aussi faire ça dans la suite du devoir)

est-ce s'éloigner de la vérité ? Certains disent qu’il faut éviter l’erreur pour accéder à la vérité, d’autre disent qu’elle est nécessaire pour une bonne quête de vérité. L’erreur (épistémologiquement) est l’inadéquation du discours à la vérité. C’est une inattention de la raison. En se trompant, on « passe à côté » de la vérité car l’erreur nous en éloigne. Le mathématicien qui se trompe sur les mesures au cours de la construction d’une tangente n’atteindra pas la vérité dans le résultat. Se tromper