Vérité Et Filiation

profanée et déserte… ». L’atmosphère étouffante des cloîtres, les couloirs obscurs, la séquestration et la torture, l’atmosphère surnaturelle des romans frénétiques anglais s’intègrent naturellement aux fictions sur l’Inquisition. Mais dans cette filiation non plus nous ne pouvons pleinement situer l’origine du personnage du Grand Inquisiteur : dans les romans gothiques, l’Inquisition, loin d’être le tribunal inique que dénoncent les philosophes des Lumières, est une instance juste, qui châtie les

....36   §  9  L’établissement  de  la  filiation............................................................................................................................................36   L’établissement  de  la  filiation  maternelle ................................................................................................................37   L’établissement  de  la  filiation  paternelle  (252  CC)............................

définir cette notion de façon ancienne, la doctrine définie deux ou trois cercles concentriques permettant de définir la famille. Au sens large: On pourrait englober toutes les personnes réunies par un lien de parenté ou d'alliance (mariage et filiation). Dans une définition étroite, la famille serait limitée aux personnes qui vivent sous le même toit. Dans un sens intermédiaire où la famille comprend les parents et enfants vivants ensemble ou non. B. Les fonctions de cette famille

que son Œdipe connaît l’oracle dès le début du texte. Bien qu’il se montre prudent face à lui et décide de chercher l’assassin de Laïus, quand la vérité lui-vient du monde souterrain, il ne l’accepte pas d’emblée. Cette rationalisation du personnage le conduit à supposer un complot entre Tirésias et Créon, si bien que le dévoilement de la vérité est moins encore en jeu que l’acceptation de sa 




























































 1 À ce sujet, cf. J. Dangel, « Devanciers

v. 228), affirme-t-il à propos de sa curiosité face à Polyphème. Ainsi dresse-t-il un bilan mis en lumière par des formules de vérité générale : « moi je ne connais rien de plus beau que cette terre », dit-il au sujet d'Ithaque, « car il n'est rien pour l'homme de plus doux que sa patrie » (IX, v. 28 et 34). Les Phéaciens, attentifs, écoutent Ulysse narrer ces vérités du héros blessé par son expérience sans pareille. Ainsi, Homère montre toute l'ambiguïté d'un héros humain ou d'un homme aux qualités

alors reconnu et pleinement délégué : le disciple se voit instituer en autorité musicale. La filiation se trouve apaisée. Happy end plus appuyé que dans le roman , qui sublime une sorte de réconciliation posthume entre les deux violistes et boucle davantage le récit en fermant la parenthèse ouverte par le flashback. Le film répond au lois du biopic ou film autobiographique. II- A chq narrateur sa vérité A-    Une histoire de point de vue La rupture est forte entre le générique et l’incipit du

rétrospective : son absence de tristesse (p.40), ou sa peine, partagée avec Rudy (p.73, p.84), son amour pour sa mère (p.16). Par ailleurs, il éclaire de la sagesse gagnée au fil des ans événements ou émotions de son enfance, utilisant alors le présent de vérité générale : « certaines émotions se révèlent si puissantes que, heureuses ou malheureuses, elles nous brisent » (p.119) ou « en temps de guerre, le pire des dangers est l’habitude » (p.134). Le ton amusé de certains passages laisse aussi transparaître

profanée et déserte… »7. L’atmosphère étouffante des cloîtres, les couloirs obscurs, la séquestration et la torture, l’atmosphère surnaturelle des romans frénétiques anglais s’intègrent naturellement aux fictions sur l’Inquisition. Mais dans cette filiation non plus nous ne pouvons pleinement situer l’origine du personnage du Grand Inquisiteur : dans les romans gothiques, l’Inquisition, loin d’être le tribunal inique que dénoncent les philosophes des Lumières, est une instance juste, qui châtie les

en conservant son esprit d’initiative, sa liberté d’entreprendre, sa puissance créatrice. Le travail de chacun vaut ce qu’il vaut. Chaque F M transmet ce qu’il reçoit et apporte ce qu’il peut. Aucune limite ne peut- être mise à la recherche de la Vérité. Point de toit car point de dogme : ni philosophique, ni scientifique ni social.  A l’échelon de l’atelier, chaque travail est consigné comme un évènement marquant qui fait date, le temps est rapide, à l’échelle humaine.  Au niveau de la GLFF

balance. -Cela requiert l’impartialité et l’objectivité du juge. -Symbole : le glaive sert à trancher les litiges. La déesse aveugle (bandeau sur les yeux) est au-dessus et tranche sans considération. Le Droit et la Justice cherchent la Vérité. -elle est une et immuable, inconnu. Trop parfaite pour l’homme. Cela rejoint la morale. -le Droit fixe les limites du bien et du mal. -Il cherche le bien de tous. Il organise la vie des hommes en société. -Parfois le législateur peut agir en