Vérité éternelle

déchu; Quand il fait ses recherches l'homme de science aura toujours «une idée derriére la téte» aprés la quéte de la vérité le scientifique recherchera alors la gloire et la reconnaissance pour pouvoir se vanter par la suite (exemple de l'homme qui fait le tour du monde). Pascal critique et dénonce ce comportement vaint de l'homme qui croit tout savoir et qui s'éloigne de la seule vérité : l'existence de Dieu. La quéte du savoir ou de la renommée sont bon pour de jeunes gens immatures et les sciences

plaisir ce matin à rencontrer les personnes de votre voisinage parce que je me suis aperçue que beaucoup avaient des croyances très différentes sur Jésus. D’après vous, est-il important de connaître la vérité à son sujet ? Mumu : Oh vous savez, en tant que croyante, je pense que je sais déjà la vérité au sujet de Jésus et d’ailleurs je l’ai accepté comme celui qui me sauve. Lola : Je suis heureuse d’apprendre que vous croyez en Jésus, parce qu’à notre époque de nombreuses personnes ne réfléchissent

populations de l’antiquité et encore moins celle de la préhistoire. Autrement dit dire que l’histoire est un éternel recommencement revient à sous estimer la réflexion et l’intelligence des Hommes sur leur passé. Mais que signifie ici le terme d’ « esprit scientifique »? Ce terme correspond ici à un esprit rationnel qui fait appel à la logique et qui met en question son passé historique pour chercher la vérité et n’accepte pas un propos sans avoir les arguments et des preuves. Ainsi il n’y a véritablement progrès

a t-il des vérités définitives? Le problème de la vérité est une question avant tout humaine. En général, l'homme essaie de tout maîtriser dans sa vie, c'est pour cela qu'il recherche la vérité afin de pouvoir sortir de l'ignorance. Cependant, la vérité étant un discours créé par l'homme, peut-il y avoir des vérités définitives puisque nous-mêmes ne sommes pas éternels? Nous verrons dans un premier temps qu'il existe des vérités temporaires, puis nous étudierons le cas des vérités durables et

abondantes qui soulignent l’alternance du temps : « nuit », « jours », « âges », « année », « heures », « moment ». Beaucoup de ces termes sont accompagnés d’indications qui les précisent. Cette valorisation se fait surtout avec les adjectifs : « éternelle », « propices » , avec l’emploi du pluriel : « l’océan des âges », ou encore avec des métaphores qui font du temps un univers obscur, dangereux : « océan des ages ». b) L’alternance des temps verbaux : Cette présence constante du temps est marquée

serait infini. Il est le premier à amener le concept d’apeiron, ce qui signifie infini, et qui permet d’expliquer la réalité d’une toute nouvelle façon. Anaximandre voyait que plusieurs choses étaient muables, les gens vieillissaient, n’étaient par éternel. Le feu s’éteint, l’eau s’évapore. De ces changements, il déduit que la base de l’univers doit être quelque chose d’immuable, d’où sont concept d’infini. La réalité d’Anaximandre est différente de celle de Thalès, car selon Anaximandre la terre serait

mesure où elle fournit une vérité indépendamment de l’expérience sensible. Cependant, l’interprétation du cogito manifeste de profondes divergences chez l’un et l’autre. Descartes y voit la première des idées claires et distinctes, non seulement intuitive mais innée, la seule dont la certitude précède la garantie divine. Par ailleurs les sens n’ont pour lui nulle valeur scientifique. Pour Saint Augustin en revanche, le cogito est un cas remarquable parmi les vérités éternelles. Celles-ci ne sont pas

montre l’ espoir d’ un amour avenir. II) LE TEMPS QUI FUIT 1) Un présent éternel « Sous le pont Mirabeau coule la Seine » : Vérité générale, présent immuable. Répétition du vers comme un refrain : rassurant, immuable. Certains adverbes renforcent cette éternité : « toujours » ; les deux négations « Ni temps passé ni les amours reviennent » jouent le même rôle. Rien ne revient, tout s’échappe. Enfin nous avons les « éternels regards ». Le pont est immuable, solide, inébranlable à l’opposé de cet amour

pensée, sans dépendre de rien de ce qui existe dans l’univers. Même s’il n’y avait jamais eu de cercle ou de triangle dans la nature, les vérités démontrées par Euclide conserveraient pour toujours leur certitude et leur évidence. Les faits, qui sont les seconds objets de la raison humaine, on ne les établit pas de la même manière ; et l’évidence de leur vérité, aussi grande qu’elle soit, n’est pas d’une nature semblable à la précédente. Le contraire d’un fait quelconque est toujours possible,

Aussi, connaissant tous les avantages de l’exercice de la sainte présence de Dieu, il nous le recommande avec insistance dans la Sainte Règle, non seulement comme un moyen très puissant de sanctification, mais comme un devoir nécessaire basé sur la vérité de la présence de Dieu, et en même temps sur l’obligation où nous sommes de rendre à notre Créateur l’hommage de notre attention. Au chapitre IV de la Règle, Des instruments des bonnes œuvres, il nous dit que : « Il faut savoir et tenir pour certain