Véronèse

dieu de la Guerre. Celui-ci, pour se venger, envoie contre Adonis un sanglier qui le blesse mortellement. Les gouttes de sang versées sur le sol au moment de sa mort donnent naissance à une plante nouvelle à fleur rouge, l'anémone (ou la rose). Véronèse déploie dans cette toile l'ampleur de sont talent coloriste. La légèreté et l'intimité de l'atmosphère au sein de ce décor naturel sont restituées avec une grande délicatesse grâce à la maîtrise des jeux de lumière et l'harmonie des tons. Point

littéraires : -Prologue p46-48 -Nouvelle 4 : P69-71 -Nouvelle 5 : Débat en entier -Nouvelle 10 : p117-118 Image : Véronèse, Repas chez Levi Textes complémentaires : Rabelais, « Prologue Gargantua » Rabelais « Pantagruel » Chapitre 7 Agrippa d’Aubigné, les tragiques

qu’à son imagination. Au couvent non plus elle ne semble pas s’être frottée à la société. Il n’est fait mention ni des religieuses ni des camarades. Suit un portrait physique de Jeanne comparée à un tableau de peintre. « elle semblait un tableau de Véronèse ». Cette description a une fonction esthétique et symbolique. Elle est méliorative ; une série d’adjectifs laissent à penser que Jeanne est charmante. « blond luisant, chair d’aristocrate, velours (étoffe précieuse et douce) ». Cette description

une tendance de l'art italien au XVIe siècle et qui est caractériser par le raffinement et la mise en évidence de l'artifice. Titien a eu une grande influence sur la peinture vénitienne et sur les peintres des époques suivantes comme Tintoret et Véronèse. En 1525, il épouse Cécilia Soldano, qui lui donne trois enfants : Pompinio, Orazio et Lavinia. Les deux premiers deviendront peintres.

d’autres licences, non moins dangereuses. Ainsi Véronèse, en 1573, répond de ses choix devant le Saint-Office après avoir transformé « la Cène », destinée au couvent dominicain des Santi Giovanni e Paolo, en un banquet plus joyeux que tragique. Le tribunal de l’Inquisition l’accusa d’avoir brouillé le passage biblique sous l’éclat mondain d’une scène animée de personnages plutôt indifférents au drame. Sommé de se justifier, la réponse de Véronèse est célèbre : « Nous, les peintres, prenons la liberté

liberté guidant le peuple I L’auteur : Eugène Delacroix est né le 26 Avril 1798 à Charenton-St Maurice et il est mort le 13 Août 1863 à Paris. Il commence par copier de grands peintres de la Renaissance (14é au 17siecle) comme Raphael, Rubbens ou Véronèse et emprunte à Géricault sa manière de peindre de forts contrastes d’ombres et de lumière. En 1816, sous l’influence de peintres anglais (Lawrence, Constable) Delacroix se familiarise avec l’art de l’aquarelle qui lui permettra de restituer toutes

il vont attacher beaucoup plus d’importance à la couleur qui v alors primer sur le dessin. Ils vont également être plus sensible a traduire des effets d’atmosphères et de climat. Parmis les pus conus, on retrouve Giorgione, Titien, Tintoret et Veronese. GIORGIONE « La tempête » Petit tableau, sans doute car il n’a pas un sujet important ; il ne comporte pas de récit, on observe essentiellement un paysage. Les personnages sur le tableau ne sont pas identifiables et n’expriment aucun contenu

unies, à prédominance bleue ; le sol est de couleur terre battue plus ou moins foncée ; les fruits sont rouges vifs ; le feuillage est vert tendre. « Malgré les passages de ton, l’aspect du paysage est constamment d’un bout à l’autre bleu et vert Véronèse » disait Gauguin du paysage du tableau, qui garde cette prédominance dans les nuances de couleurs entre le vert et le bleu, couleurs froides mais calmes. Une analyse rapide de l’utilisation de ces couleurs pourrait nous faire penser que le bleu symbolise

peinture et sculpture. Choisissez trois de ces peintres et trouvez la reproduction d’une de leurs oeuvres. Analysez-les en quelques lignes. Bosch ; Botticelli ; Bruegel ; Durer ; Goujon ; Le Gréco ; Holbein ; Michel-Ange ; Raphaël ; Léonard de Vinci ; Véronèse 10) Les guerres de religion à la fin du siècle : que doit-on savoir sur…? le protestantisme ; Réforme / Contre Réforme ; l’édit de Nantes ; Montaigne ; A. d’Aubigné ; Calvin et Luther ; l’Inquisition

Jean-Marc Irollo (2004) réédition en 2010. Les sentiments dans la peinture de Marie-Thérèse Caille et Jean-Marc Irollo (1999) Mémoire en aquarelles : Châteaux et parcs disparus des Hauts-de-Seine de Christian Bénilan et Jean-Marc Irollo (2001) Véronèse et le miracle des noces de Jean-Marc Irollo et Musée du Louvre. Service culturel (1992) Livre de poche de Jean-Marc Irollo, 206 pages, chronologie, bibliographie, index, 8 € chez Tempus, une subdivision de Perrin. Jean-Marc Irollo consacre