Véronèse

manifestations de ce style au Salon. Sujet d’histoire, critique déguisée de la décadence de son propre temps –tiré d’un texte antique de Vénal. Scène d’orgie, critique des mœurs du 19ème. Jeu avec des références : scène de banquet dans un palais (Véronèse), opposition volontaire entre le 1er plan et le fond (débauche contemporain confronté avec les statues anciennes (Rome ancienne vertueuse : opposition). Fond très rigoureux, dessiné. // Devant : plus coloré, plus de matière ( mélange des genres

seule. Elles étaient toute sous le choc mais ce n'était qu'un début en apprenant le verdicts, elles allaient être encore plus surprise. Alors que le groupe de fille se remettaient seulement de leurs émotions,elles entendirent au micro/ « Charlène Véronèse et Anaïs Gallé sont convoqué au bureau du la dirigeante des pom-pom grils au sujet de leur audition. -Vous avez entendu,il faut que vous y allez .Répondit Maureene -Oui, allons-y Anaïs. Dit Charlène » Le groupe de jeune fille se dirigèrent vers

du « plein air ». Gustave Courbet est l'autre source artistique du jeune Zola qui restera toujours, pour l'écrivain, un de ses modèles. Il le qualifiera de « seul peintre de notre époque », ajoutant « qu'il a pour frères, qu'il le veuille ou non, Véronèse, Rembrandt, Titien »127. La petite population d'artistes se retrouve au quartier général de ce nouveau mouvement, le célèbre café Guerbois, aux Batignolles. Aux beaux jours, le groupe se déplace dans le petit village de Bennecourt près de Mantes-la-Jolie

du « plein air ». Gustave Courbet est l'autre source artistique du jeune Zola qui restera toujours, pour l'écrivain, un de ses modèles. Il le qualifiera de « seul peintre de notre époque », ajoutant « qu'il a pour frères, qu'il le veuille ou non, Véronèse, Rembrandt, Titien »127. La petite population d'artistes se retrouve au quartier général de ce nouveau mouvement, le célèbre café Guerbois, aux Batignolles. Aux beaux jours, le groupe se déplace dans le petit village de Bennecourt près de Mantes-la-Jolie

exerçant une fonction subalterne dans le système judiciaire : clercs, huissiers ... Ludovico Ariosto, dit L'Arioste, était un poète italien de la Renaissance, auteur notamment de l'Orlando furioso Peintre espagnol du XVIIe siècle Paolo Caliari, dit Véronèse : peintre maniériste italien du XVIe siècle Fondateur de la lignée maudite des Atrides, père d'Agamemnon, Atrée sera assassiné par son neveu Égisthe Fils d'Agamemnon, frère d'Électre, il vengera son père en assassinant sa mère Clytemnestre et sn

du « plein air ». Gustave Courbet est l'autre source artistique du jeune Zola qui restera toujours, pour l'écrivain, un de ses modèles. Il le qualifiera de « seul peintre de notre époque », ajoutant « qu'il a pour frères, qu'il le veuille ou non, Véronèse, Rembrandt, Titien »[119]. La petite population d'artistes se retrouve au quartier général de ce nouveau mouvement, le célèbre café Guerbois, aux Batignolles. Aux beaux jours, le groupe se déplace dans le petit village de Bennecourt près de Mantes

Naples, Bologne et Gênes. Son triomphe en Europe date de la seconde décennie du XVIII° s. Ce changement de fortune est lié au nom de Sebastiano Ricci (1659-1734). La nouvelle manière de Ricci est le résultat d’une réinterprétation intelligente de Véronèse et de l’étude attentive de Luca Giordano. Voyages à Londres (1712-16) et Paris (1716). Ricci est le type même du virtuose extraverti du XVIII° s., et c’est pourquoi le brillant de sa manière peu paraître quelque peu superficiel. Il fallait le talent

sacrifice[16]. Ce tableau, copié à plusieurs reprises, a influencé Michel-Ange, Raphaël et Andrea del Sarto[5] et, à travers eux, Pontormo et Le Corrège. Le style de la composition a été adopté en particulier par les peintres vénitiens Le Tintoret et Paul Véronèse. Dessins et croquisArticles connexes : Paysage de la vallée de l'Arno (Léonard de Vinci), Homme de Vitruve et La Vierge, l'Enfant Jésus avec sainte Anne et saint Jean Baptiste. Le carton La Vierge, l'Enfant Jésus avec sainte Anne et saint Jean

de noblesse qui reste est encore fastueux et fier; on ne démolit pas les palais, on les laisse tomber. Au milieu de ces murailles chargées de trophées et d'écussons, sous ces plafonds armoriés, en face de ces aïeux de Leoni peints par Titien et Véronèse, les uns graves et sévères sous leurs manteaux fourrés, les autres élégants et gracieux sous leur justaucorps de satin noir, je comprenais cette vanité du rang, qui peut être si brillante et si aimable quand elle ne décore pas un sot. Tout cet

voyait réellement son personnage: « qu’on apercevait un peu quand le soleil la caressait », « qu’on les distinguait à peine ». À ce procédé, qui vise à renforcer l’illusion romanesque, s’ajoutent le verbe « sembler » « elle semblait un portrait de Veronese », «  sa voix semblait parfois trop aigue » et la comparaison « on aurait dit », qui donne l’impression d’un regard subjectif sur la jeune fille. Malgré la fadeur de l’aspect de la jeune fille, l’auteur ne fait pas un portrait figé d’elle, en effet