Véronèse

costumes et la lumière. Soldat qui dort : effet de raccourci. Laisse penser qu’Antonio da Messina a vu les œuvres de Mantegna. Vittore Carpaccio, Histoire de sainte Ursule : départ de sainte Ursule, 1495, huile sur toile, 280*611, Venise, Accademia, Véronèse, (Noces de Cana, Louvre) Apparaissent à la fin du XVème siècle des cycles de peintures narratives, qui ne sont pas des fresques, commandées par les scuole. Vittore Carpaccio, Histoire de Sainte Ursule : Songe de sainte Ursule, 1495, huile sur toile

prohibitum (1559)= lexiques des ouvrages interdits But : empêcher de lire des livres critiquant l’Eglise.  Suppression après le Vatican II. Cesse d’être une liste officielle en 1966. La censure des images : Guidizio Universale de Michel Ange ou Paolo Véronèse qui fût convoqué car la représentation qu’il avait fait du dernier repas n’était pas acceptable. Il avait fait des modifications personnelles (perroquets, chiens,..), et comme le tableau était trop grand, il le renomma simplement en « repas chez

etc.). Contre-plongée : Angle de vue tel que le sujet photographié ou filmé, peint, dessiné, etc. est perçu depuis un point situé au- dessous de lui. La contre-plongée donne l'impression que ce sujet nous domine (Les plafonds en trompe-l'œil de Véronèse ou Le Tintoret à Venise ; très utilisé dans les films d’Orson Welles comme La soif du mal). Copier : Imiter, reproduire en un ou plusieurs exemplaires. Corps : Figuré (nu ou vêtu) ou en acte (performance), le corps humain est un sujet récurrent

seconde moitié du xvie s. Doc. 2 :  aul Véronèse (1528-1588), P Les Noces de Cana Paolo Caliari, dit Véronèse puisqu’il est né à Vérone, s’installe à Venise en 1556, à l’âge de 28 ans. Ce tableau était destiné à dé© Hachette Livre corer le réfectoire du couvent de San Giorgio Maggiore à Venise. Véronèse a représenté les Noces de Cana, un célèbre épisode rapporté par l’Évangile selon Jean, au cours duquel Jésus change l’eau en vin. Véronèse (1528-1588) est un des grands peintres vénitiens

Dans mon tableau Le Café la nuit j’ai cherché à exprimer l’idée que le café est un endroit où l’on peut se ruiner, devenir fou, commettre des crimes. Alors j’ai cherché, par des contrastes de rose tendre et de rouge sang, de doux vert Louis XV et Véronèse, contrastant avec les jaune et les vert-bleu durs, tout cela dans une atmosphère de fournaise infernale, de soufre pâle, à exprimer comme la puissance des ténèbres d’un assommoir. Et en même temps, avec un apparence de gaieté japonaise et

papier d’or, des biscuits joyeux comme des pioupious 1900, de l’huile dans du plastique moulé en forme de carafe Ming, du vin rutilant de décorations comme un général congolais, et une dizaine de paquets divers « conditionnés » en rose pastel, en vert Véronèse, bleu Tahiti Ŕ ou des mers du Sud Ŕ et blond norvégien, à croire, ma parole, que ladite ménagère avait refusé d’acheter la marchandise empaquetée dans la couleur qui aurait déparé son bouquet. C’est bien ainsi d’ailleurs que le lyrique rédacteur

Dans mon tableau Le Café la nuit j’ai cherché à exprimer l’idée que le café est un endroit où l’on peut se ruiner, devenir fou, commettre des crimes. Alors j’ai cherché, par des contrastes de rose tendre et de rouge sang, de doux vert Louis XV et Véronèse, contrastant avec les jaune et les vert-bleu durs, tout cela dans une atmosphère de fournaise infernale, de soufre pâle, à exprimer comme la puissance des ténèbres d’un assommoir. Et en même temps, avec un apparence de gaieté japonaise et la bonhomie

Dans mon tableau Le Café la nuit j’ai cherché à exprimer l’idée que le café est un endroit où l’on peut se ruiner, devenir fou, commettre des crimes. Alors j’ai cherché, par des contrastes de rose tendre et de rouge sang, de doux vert Louis XV et Véronèse, contrastant avec les jaune et les vert-bleu durs, tout cela dans une atmosphère de fournaise infernale, de soufre pâle, à exprimer comme la puissance des ténèbres d’un assommoir. Et en même temps, avec un apparence de gaieté japonaise et la bonhomie

d’or, des biscuits joyeux comme des pioupious 1900, de l’huile dans du plastique moulé en forme de carafe Ming, du vin rutilant de décorations comme un général congolais, et une dizaine de paquets divers « conditionnés » en rose pastel, en vert Véronèse, bleu Tahiti Ŕ ou des mers du Sud Ŕ et blond norvégien, à croire, ma parole, que ladite ménagère avait refusé d’acheter la marchandise empaquetée dans la couleur qui aurait déparé son bouquet. C’est bien ainsi d’ailleurs que le lyrique rédacteur

pouvoir identifier, d’une façon ou d’une autre, l’auteur à travers l’œuvre. Cette originalité se manifeste notamment par un style distinctif, certains éléments récurrents, par exemple, l’utilisation d’une nuance particulière de vert dans une œuvre de Véronèse ou encore l’utilisation d’un certain type de langage « parlé »dans les romans de Louis Ferdinand Céline. Le troisième facteur prend en compte le cas des œuvres de collaborations et les œuvres collectives. Dans ces hypothèses, l’œuvre est le résultat