Web sémantique

cette unité lexicale de départappartient à une certaine classe morphologique (substantif, verbe, …) - le ou les affixes (suffixes ou préfixes) susceptibles de se combiner avec la base; les affixes présentent un signifié, donc une certaine valeur sémantique; - la classe grammaticale dans laquelle s’inscrit le mot qui résulte de la dérivation; lemot dérivé présente une signification nouvelle par rapport au mot de base, significationrésultée de la combinaison du signifié de la base (au moins partiellement)

Extrait de Donner du sens. Actes du colloque international organisé par l’Association Suisse de Sémiotique (ASS/SGS), Zurich, 11-12 avril 2003, Ursula Bähler, Evelyne Thommen et Christina Vogel (éds), Paris, L’Harmattan, 2005 (collection « Sémantiques »), pp. 145-164 (avec l’autorisation de l’éditeur) 8 Lire le prologue du Chevalier de la Charrette de Chrétien de Troyes Ursula Bähler Université de Zurich A la mémoire de Karl D. Uitti 1. Point de départ - hypothèses de lecture Au moins

l’information retournés à l’émetteur ou du destinataire. La préparation du terrain désigne les messages préfaçant d’autres messages. Les parasites sont tout ce qui déforme le message ; ils sont plus ou moins présents dans toute communication, (physique, sémantiques, psychologique et visuel). La communication produit toujours un effet. Les effets peuvent être cognitifs, affectifs ou psychomoteurs. L’éthique de La communication concerne la moralité ou l’immoralité d’un message et fait partie intégrante de

LANGUE L’un des codes verbaux de l’homme dans lequel et à travers lequel se réalise la faculté du langage. L’ensemble des propriétés qui définit une langue comme un code comprend la créativité syntaxique et sémantique ainsi que la linéarité ou l’ordre linéaire des signifiants dans les messages ou les énoncés, et la double articulation des messages ou des énoncés (à savoir le fait que l’on peut diviser en unités successives minimales dotées d’une signification, ou monèmes, divisibles à leur tour

L’auteur n’attache aucune importance à l’ordre dans lequel les différentes catégories apparaissent dans les deux grammaires, mais cela indique qu’il existe des divergences importantes de critères. Wagner-Pinchon s’attarde sur la morphologie et la sémantique tandis que Bonnard se base sur des critères formels ou fonctionnels. Étant donné que chaque catégorie est le fruit d’une réflexion, celle-ci peut être remise en cause à chaque instant. Ensuite, pour rappeler les discordances qui existent, Gary-Prieur

• Constituée de morphèmes (lexicaux et grammaticaux), associés de manière incrémentielle les uns aux autres, selon des règles de bonne formation syntaxique. • Niveaux d’analyse pertinents: la syntaxe (règles de formation de la phrase) et la sémantique (contenu de la phrase). • Contenu de la phrase : la signification, produit de la signification des morphèmes (lexicaux et grammaticaux) qui la composent (signification dite, de ce fait, compositionnelle). Enoncé : l'unité pragmatique minimale

tendue nous mène vers une fin inévitable, ici la mort. Baudelaire a même réussi à présenter ce dernier vers encore plus brutal et choquants en interrompant son évocation par un tiret : « - Et le ver rongera ta peau comme un remords. ». Le champ sémantique, indique la même évolution. Baudelaire s’est au début surtout servi d’euphémismes, de métaphores et d’oxymores : « Lorsque tu dormiras, ma belle ténébreuse » ; mais plus on avance dans le poème plus le langage devient direct, non déguisé. I finit

les mots pleins des mots vides. Il définit les premiers comme étant chargés d’une valeur sémantique bien déterminée, à titre d’exemple il cite le mot français cheval. Les mots pleins sont les substantifs, les verbes, les adjectifs, et les adverbes (en faisant remarquer que ces appellations ne correspondent pas toujours aux définitions traditionnelles) En contrepartie, les mots vides n’ont pas de valeur sémantique propre, et constituent de simples outils grammaticaux, cette catégorie se spécifie en :

leurs utilisateurs : l’usage qu’en font les utilisateurs en situation de communication 3. Le niveau sémantique qui se rapporte aux relations entre les signes et symboles et ce qu'ils représentent, leur signification et interprétation. Théorie et 'étude des signes et symboles, en tant qu’ éléments de langage ou éléments d’autres systèmes de communication, composées des règles sémantiques, pragmatiques et syntactiques, sont connues sous le nom de sémiotique. La communication est l'interaction

sur .Les documentalistes sontexcellent en codification d’entretiens : ce sont les mêmes compétences d’analyse qui sont ici nécessaires. Dans un autre registre, les outils linguistiques (Lexiquest, Tropes, Umap, etc.) permettent des traitements sémantiques poussés, non seulement sur le lexique mais aussi sur la syntaxe des phrases. Ils tiendront difficilement compte du contexte propre à chaque entretien tel qu’il a été perçu par l’enquêteur et s’appliqueront davantage à des corpus textuels plus volumineux