Werner de Habsbourg

Après 1438, l'empereur porte le titre d'un « empereur élu » après son élection formelle par les sept « électeurs » de l'Empire à Francfort. À l'époque moderne, le Saint Empire compte plus de 300 États qui n'obéissent que de très loin à l'empereur Habsbourg. Au XVIe siècle, la réforme luthérienne continue à diviser l'Allemagne. En 1546, l'empereur Charles Quint entre en guerre contre les nombreux princes et villes allemands qui se sont convertis au luthéranisme. Son échec à réduire le protestantisme

Congrès de Berlin [pic] [pic] Le Congrès de Berlin. Tableau d'Anton von Werner (1881). Le Congrès des Nations de Berlin est une conférence diplomatique tenue à Berlin, du 13 juin au 13 juillet 1878, par les représentants des puissances européennes, suite aux efforts de Benjamin Disraeli visant à réviser le traité de San Stefano. Le contexte historique Après la victoire de l'Empire ottoman contre la Serbie en 1876, le tsar de Russie, qui se voulait protecteur des chrétiens sujets du Sultan

bassins houillers de la Ruhr et de la Sarre lui permettent un essor économique considérable et surtout de mettre en place le Zollverein, une structure d'apparence économique, mais qui en réalité relèguera graduellement au second plan l'autorité des Habsbourg en Allemagne en quelques décennies. L'unité allemande, proposée entre autres par le Baron vom Stein, aurait pu être faite d’ailleurs lors du Congrès de Vienne mais, du fait des réticences des rois et des princes, elle a été retardée d’un demi-siècle

dernière est détruite lors d’un incendie en 1007. Les autorités strasbourgeoises décident alors d’entamer des travaux titanesques pour édifier une nouvelle cathédrale sur les ruines de l’édifice carolingien.   En 1015, l’évêque de Strasbourg, Werner de Habsbourg, pose la première pierre de la construction de style ottonien. Mais la malchance habite décidément les lieux : un deuxième incendie détruit la construction dont les nefs sont recouvertes d’une charpente en bois. Après ce sinistre, Henri de

Après 1438, l'empereur porte le titre d'un « empereur élu » après son élection formelle par les sept « électeurs » de l'Empire à Francfort. À l'époque moderne, le Saint Empire compte plus de 300 États qui n'obéissent que de très loin à l'empereur Habsbourg. Au xvie siècle, la réforme luthérienne continue à diviser l'Allemagne. En 1546, l'empereur Charles Quint entre en guerre contre les nombreux princes et villes allemands qui se sont convertis au luthéranisme. Son échec à réduire le protestantisme

Florence Stoker, de l'attaquer en justice et d'obtenir la destruction des négatifs originaux ainsi que la plupart des copies, ce qui ne fut pas fait. Ce premier Nosferatu a fait l'objet d'un remake spécifique : Nosferatu, fantôme de la nuit de Werner Herzog en 1979 avec Klaus Kinski, Isabelle Adjani et Bruno Ganz. Bela Lugosi jouant Dracula en 1931. Dracula de Tod Browning[modifier | modifier le code] Dracula film de Tod Browning, en 1931, avec Bela Lugosi qui joue pour la première fois

Florence Stoker, de l'attaquer en justice et d'obtenir la destruction des négatifs originaux ainsi que la plupart des copies, ce qui ne fut pas fait. Ce premier Nosferatu a fait l'objet d'un remake spécifique : Nosferatu, fantôme de la nuit de Werner Herzog en 1979 avec Klaus Kinski, Isabelle Adjani et Bruno Ganz. Bela Lugosi jouant Dracula en 1931. Dracula de Tod Browning[modifier | modifier le code] Dracula film de Tod Browning, en 1931, avec Bela Lugosi qui joue pour la première fois

acharné, il accomplit sa tâche de roi avec bon sens et s’entoure d’hommes ayant une grande puissance de travail comme Louvois ou Colbert. Il s’informe de tout, car il dit :« tout homme qui est mal informé ne peut que mal raisonner ». Le Roi Soleil par Werner Très sensible, il apprend progressivement à dissimuler cette sensibilité et ses passions. Il affiche une grande passion pour les femmes, et ses maîtresses seront nombreuses. Marie Mancini, Henriette d’Angleterre, Louise de La Vallière, Mme de Montespan

administratif doit faire face au double défi, d’une part, de mettre en place une administration wébérienne soumise à la règle de droit (Rechtstaat), conformément à la tradition administrative pré-communiste hongroise (c’est-à-dire, historiquement, Habsbourg austro-hongroise, voir Horvath dans ce volume, voir aussi Soos 2003 : 242) ; et, d’autre part, parce que le contexte du processus de transformation était dès le départ marqué par le discours international et (ouest-) européen alors dominant, de la

changement Conte La légende qui a plus marqué les Suisses est celle du « Serment de Grütli ». Elle relate l’union des trois représentants des cantons contre les Habsbourg dans la prairie de Grütli. Ce conte mythique est souvent confondu avec le pacte fédéral de 1291 qui fut signé par les trois confédérés qui d’après la légende sont, Werner Stauffacher pour Schwytz, Arnold de Melchtal pour Unterwald et Walter Fürst pour Uri. Ce pacte a était longuement considéré comme l’acte fondateur de la Suisse