Wim Wenders

Ne manquez pas le dernier film de Wim Wenders sur le travail de la danseuse et chorégraphe allemande Pina Bausch ! L'utilisation de la 3D est à la fois subtile et indispensable pour rendre compte de la mise en espace des corps dans la ville, sur scène ou en pleine nature. Allez vite regarder des extraits. Mais surtout, à déguster en grand-format... Ce corps qui danse semble ignorer ce qui l’entoure. Il semble bien qu’il n’ait affaire qu’à soi-même et à un autre objet, un objet capital, duquel

Wim Delvoye Wim Delvoye est un plasticien belge. Son travail consiste à ouvrir la porte à toutes sortes de réflexions par la juxtaposition d'univers et le contre-emploi. Il fait partie d'une génération d'artistes flamands qui ont révolutionné l'art contemporain. Il est le créateur de 9 muses (2001), une série de vitraux pornographique réalisés avec des plaques d'imagerie médicale aux rayons X. Il a réussit à faire exposer un homme trois semaines par an par la seule valeur de son tatouage, acheté

Wim Vandekeybus est un metteur en scène, photographe, danseur et chorégraphe né le 30 juin 1963 à Herenthout en Belgique. Il commence ses études à Louvain dans le domaine de la psychologie mais ne les termine jamais. Cependant il a su profiter de cette expérience et garder des enseignements sur le sens d'un lien entre corps et esprit. Il s'oriente ensuite vers une carrière artistique au contact du metteur en scène flamand Paul Peyskens, et prend des cours de théâtre et de danse. En 1985, il auditionne

contestation sociale. La contre culture aux États-Unis (opposition au viêt-nam, prise de conscience du problème noir, Woodstock, …) - 1968 1968 - Le Road Movie devient un genre cinématographique avec Easy Rider de Denis Hopper 1970-auj - Cinéma de Wim Wenders 1995 - Dead Man Ligne du temps artistique Films à la Fiche - Dead Man 3 Contextes Contexte historique Aucune scène du film ne mentionne un événement historique précis. Seul le contexte narratif indique que l’action se déroule dans

film Psychose ou encore Wim Wenders. – «Room in New York», d'Edward Hopper (1932). «Quand Hopper n’arrivait plus à peindre, raconte un ami, il allait au cinéma, souvent chaque jour pendant des semaines. Les images de cinéma sont les moments les plus sereins dans son œuvre. (…) On lit clairement dans les tableaux de Hopper qu’il aimait le cinéma et que la toile blanche devant laquelle il s’est si souvent tenu dans son atelier lui était familière, était son alliée», Wim Wenders – Hotel Room», d'Edward

Eichmann à Jérusalem, la philosophe Hannah Arendt parle de la « banalité du mal » : l’expression, qui déclencha une très vive polémique, ne le dédouanait pourtant en rien. La mort d’Hitler Scandalisé par la vision de La Chute, le cinéaste allemand Wim Wenders a exprimé tout le mal qu’il pensait du film dans le magazine Die Zeit (dont Libération a traduit de larges extraits). Il a le mérite d‘attaquer le film non seulement sur le plan des idées mais aussi sur la manière cinématographique de les avancer

ultramoderne du minimalisme new-yorkais. Une des œuvres les plus célèbres de Hopper est Nighthawks, inspiré d’une nouvelle d’Hemingway. Ce tableau sera la source d’inspiration de nombreuses œuvres : le cinéma – de Scorsese à Antonioni, d’Hitchcock à Wenders -, la photographie, la littérature américaine, la BD, sans oublier des séries télé comme Mad Men. Et Nighthawks inspire encore un titre à Tom Waits, un albumconcept au guitariste des Stone Roses John Squire, ou la pochette de l’album Crush du groupe

PA R I S , T E X A S un film de Wim Wenders Dans l’histoire, Walt fait des panneaux publicitaires. C’est d’ailleurs sur son lieu de travail qu’on le voit pour la première fois. Le premier plan où il apparaît, il est au téléphone devant une image, qui donne l’impression d’un décor de cinéma. On installe le personnage dès le début dans du « faux ». Contrairement à Travis qui apparaît perdu dans le désert Mojave. Certains plans de Walt rappellent se qu’on pourrait appeler un inconscient collectif

Le Sel de la Terre : Film documentaire franco-italien-brésilien réalisé par Juliano Ribeiro Salgado et Wim Wenders. 2014 Ce film documentaire nous montre la vie de Salgado , il choisit lui-même ses projets aux quatre coins du Brésil : il travaille toujours en noir et blanc et observe la vie de ceux qui vivent et qui travaillent dans des conditions difficiles : migrants, mineurs, victimes de la famine… On verra ensuite défiler tout le travail du photographe à partir des années 70 : des séries sur

introduction D’où vient cette jouissance du regard qui nous saisit devant l’écran de nos salles de cinéma, à la fois familière et inconnue, comme si l’image projetée exposait une autre image, exaltait une autre présence ? La présence est picturale : Wim Wenders affirme avoir toujours voulu être un peintre et Bresson a confié « J’ai rêvé de mon film se faisant au fur et à mesure sous le regard, comme une toile de peinture éternellement fraîche ». Le cinéma n’est pas une suite d’images, projetées suffisamment