Wonderbra

présentoir du modèle. Ces mises en scène s’apparentent aux mises en scène dites « objectives » car la sobriété, la simplicité et donc l’efficacité du produit priment avant la sophistication ou l’esthétisme des publicités. Cependant, la publicité Wonderbra s’appuie sur le côté ludique et amusant en mettant en scène un mannequin aguicheur et au regard complice avec celui qui la regardera. C’est une mise en scène « valorisante » pour la femme car même si on ne s’attarde pas sur le produit, la publicité

transférer le plaisir ressenti par le message sur l’image du produit pour le rendre attractif. Ces vieilles ficelles de la rhétorique des passions érotiques font toujours recettes dans la publicité commerciale ou la presse à sensation – Aubade, Dim, Wonderbra, etc. Opposition entre rationalité (logos) et émotion (pathos) – il n’y aurait là que manipulation. ANNEXE : « les émotions de A à Z »  p.42-45 La rhétorique classique dresse aussi une différenciation des publics qui peuvent être caractérisés

au moyen d’un QR code présent sur une affiche, il est possible d’être redirigé rapidement sur un site internet de marque. Certaines applications mobiles permettent également de décoder une image. L’exemple de la nouvelle application de la marque Wonderbra, qui va permettre en plaçant son téléphone en face d’une affiche publicitaire, de déshabiller le mannequin et ainsi voir ses sous-vêtements. Nous entrons dans une époque où la complémentarité et la mixité des supports de communication sont à leur

personnalisation absolue de l'entreprise pose bien sûr un problème lorsque l'entreprise change de mains. Aussi, des marques plus anonymes ont été choisies : l'Hirondelle pour des bicyclettes, Naf-Naf pour des vêtements, Banania pour des boissons chocolatées, Wonderbra pour des sousvêtements féminins. Petit à petit, la fantaisie a gagné les créateurs de marques, qui ont proposé des noms arbitraires : Kodak, Plip, Carambar, Xantia, Wanadoo, Amarys, voire des slogans : Aussi bon cru que cuit, qui l'eut cru ?, La

Qu'étaient-elles l'une pour l'autre ? Brune, à l'allure provocante, Kate était plus sexy que véritablement belle. Des talons plutôt hauts pour un bord de plage, une minijupe et les seins au balcon. Elle n'avait pas beaucoup de poitrine, mais saint Wonderbra était passé par là, et l'effet obtenu était satisfaisant. D'ailleurs, à la table voisine, le surfeur adolescent ne quittait plus des yeux son décolleté. Elle parlait en souriant, travaillant l'attitude hyper cool de la fille bien dans sa peau, bien

sexuelles Souffler dans l'oreille du partenaire: 15 Souffler dans ses propres oreilles: 2512 Déception (après avoir vu le partenaire déshabillé) : - 95 - Votre partenaire vous excite plus avec ses vêtements sur elle: 10 Votre partenaire porte des wonderbras: 15 Votre partenaire s'avère être d'un autre sexe que celui auquel vous vous attendiez: 100 Vous vous en foutez: 0,25 Votre partenaire porte des chaussettes montantes: 50 La première fois : Vous fouillez un peu partout: 4 Vous essayez désespérément

fonctionne pas auprès des grands groupes de l’Hexagone », dit celui qui, avant de rejoindre Sun en novembre, a conseillélegroupeminierlorsdelacession du fabricant d’emballage Albéa au fonds américain. Propriétaire des français DBApparel (DIM, Playtex, Wonderbra, etc.), et Manoir Industries, Sun a mené 30 acquisitions dans le monde depuis 2010, dont 27 en Europe, en y dédiant les deux tiers de ses capitaux, mais une seule dans l’Hexagone : celle d’Albéa. Une reprise qui a pourtant porté ses fruits. Depuis

publicitaires. 1 Pour employer une métaphore  : il faut qu’il y ait un terrain de football pour qu’il ait un match, mais le terrain de football ne connaît ni le football, ni le nom des équipes, ni le résultat du match. 2 Notamment par le recours au Wonderbra. 3 C’est pourquoi l’homme est le projet de la femme amoureuse, pas sa nostalgie. Malgré le respect dû à la mémoire de cette vieille tante d’Aragon, «  la femme est l’avenir de l’homme  » est de ce point de vue l’aphorisme le moins fondé qui soit

slalomant entre les bottes et les chapeaux. Le plus touchant était de voir Morgane lutter, en string et soutien-gorge (c’était sa tenue de réception la plus pudique), contre la marée de vêtements. Les joues rouges, les seins ballottant dans son Wonderbra, elle sautillait de meuble en meuble, ramassait ici et là un gant, une ceinture, un verre usagé. La pauvre semblait affligée par le désordre environnant, et pourtant incapable d’aller contre les forces étranges qui en régissaient le cours. Essoufflée