Xvii Siecle Classes Sociales

histoire des personnages - tableau L’histoire des personnages ( A chaque siècle ses personnages : |Siècle |Type de personnage |Caractéristiques |Exemples | |XVIIe | Le héros précieux |Raffiné, marqué par les modèles |Mle de Scudéry, Clélie | | | |antiques, idéalisé |

écrivain peut-il, par ses œuvres, contribuer à l’amélioration de la société ? Note et observations : Depuis les philosophes de la Grèce antique, la littérature connait des manifestations d’écrivains engagés. Dès le XIXe siècle on connaît en France un important investissement de la part des écrivains dans l’amélioration de la société. Même si l’écrivain dans ses œuvres peut essayer de corriger la société dans laquelle il vit de différentes manières, il se peut qu’il rencontre

LE XVIIIème LES LUMIERES Le siècle des Lumières tire son nom du mouvement intellectuel, culturel et scientifique aux multiples manifestations connues sous le nom de Lumières, et qui essaye de propager le savoir à tous. Ce mouvement est marqué par le rationalisme philosophique et l'exaltation des sciences, ainsi que par la critique de l'ordre social et de la hiérarchie religieuse, principaux éléments de l'idéologie politique qui fut au fondement de la Révolution française. L'expression était déjà

été écrit par Robert Darnton, professeur à l´université de Princeton. Darnton s´intéresse à l´histoire de la culture et est reconnu comme un expert en ce qui concerne la France du dix-huitième siècle. Le grand massacre des chats a été publié pour la première fois en 1984, il permet de découvrir le XVIIIe siècle sous une autre façon. Le titre du livre, Le Grand Massacre des chats, attitudes et croyances dans l'ancienne France, ne concernce qu'un seul chapitre du livre. On peut dire que le titre

et les classiques, le capital correspond à tout ce qui sert à produire. Le néoclassicisme le définit plutôt comme un investissement. Selon les auteurs, le même mot n’a pas le même sens. On peut distinguer 3 grandes Théories : * Classique (Fin XVIIIe – Fin XIXe) : la concurrence et le marché forme le système économique le plus performant. De plus, la richesse se fait par l’accumulation du capital (libéral). * Marxiste (hétérodoxe) : Critique du classique par Marx * Néoclassique : Nouvelle

Introduc)on La  RI  =  l’essor  général  des  méthodes  industrielles  de  P°   associé  au  bouleversement  des  structures  économiques  et   sociales  entre  la  fin  du  18ème  siècle  et  la  1ère  moi*é  du  19è   siècle  en  Europe  Occidentale.       La  RI  :  la  société  tradi*onnelle  précapitaliste  à  la  société   industrielle  modelée  p/

Résumé Dans la seconde moitié du xviiie siècle, la corvée, ces journées de travail collectives gratuites dues à la société par les roturiers pour assurer notamment l’entretien des routes, fait l’objet d’un intense débat concernant sa légitimité. Partant des mots la désignant, cet article explore comment la corvée fut progressivement comprise comme une catégorie de travail, sa signification évoluant alors en lien avec la conceptualisation de ce dernier, notamment sous le rapport du salariat et de

pratique a été longtemps l'apanage de gens fortunés qui pouvaient se permettre de voyager, pour voir des constructions remarquables, des œuvres d'art ou goûter d'autres cuisines. Le tourisme a donné naissance à une véritable industrie lorsque les classes moyennes des pays occidentaux (Europe et d'Amérique du Nord) ont pu commencer à voyager. C'est l'amélioration générale du niveau de vie qui a permis aux gens de se consacrer davantage à leurs loisirs, et notamment au tourisme, sans oublier les progrès

Les repères historiques (XIX° siècle) Instabilité politique et mutations sociales La vie politique : -Le siècle s'ouvre avec l'Empire de Napoléon 1er (1804-1815) ; la défaite de Waterloo permet le retour a la monarchie rétablie sous la Restauration (Louis XVII règne de 1815 à 1824 ; Charles X jusqu'en 1830). -La révolution de 1830 entraîne la chute de Charles X qui avait réduit la liberté d'expression et le droit de vote .Un autre roi lui succède jusqu'en 1848 : Louis Philippe ,

Sans l'Europe, pas de Lumières Pour les hommes éclairés du XVIIIe siècle, voyager et séjourner dans d'autres pays européens, proches et distincts à la fois, est une excellente école pour l'esprit : ils dépassent leurs propres limites par la confrontation. Le regard extérieur et désintéressé peut en effet conduire à un jugement plus lucide que celui du compatriote, facilement égaré par la routine et les circonstances. Des penseurs méprisés, voire persécutés chez eux, jouissent dans les contrées voisines