Y A T Il Des Desirs Coupable

------------------------------------------------- Sujet : Faut-il tuer tous les affreux ? Le monde présente une diversité de personnes. On juge selon les caractéristiques de chacun, les grands, les gentils, les bons, les affreux… dans la recherche de la perfection on peut être amenés à penser une société parfaite, saine, sans ces « affreux ». Le problème est le moyen d’atteindre cette société où le bonheur serait facilité, sans ces affreux. La destruction, l’élimination de cette catégorie de personnes, sera peut être burlesque et angoissante

nos actes nécessaires. On ne peut pas se sentir coupable d’être tombé à partir du moment où la chute a commencé, c’est une loi physique qui explique cela, par contre, on peut se sentir coupable, si on survit, de s’être ainsi jeté alors que d’autres alternatives étaient possibles, sans doute. La responsabilité est le signe d’une liberté assumée. 2. a) La délibération qui accompagne nos choix souligne que plusieurs possibilités nous sont offertes, on a le choix et différents motifs nous poussent d’un

question, car s’il on parvenait a démontrer que nous ne sommes pas libre, on pourrait en déduire que nous ne sommes pas responsable de nos actes. Et vu que le principe de la justice est de punir les hommes en fonction des actes commis, il s’avèrerait que la justice soit trompée et faussée. C’est d’ailleurs déjà un problème qu’elle rencontre de nos jours avec certaines personnes ayant des problèmes mentaux ; Où la barrière entre une justice et des sanctions communes a tous et des sanctions plus légères

|1 | « Celui qui renonce à sa liberté et l’échange pour de l’argent agit contre l’humanité. La vie | | |elle-même ne doit être tenue en haute estime que pour autant qu’elle nous permet de vivre comme des | | |hommes, c’est-à-dire non pas en recherchant tous les plaisirs, mais de façon à ne pas déshonorer notre | | |humanité. Nous devons dans notre vie être dignes de notre humanité : tout ce qui nous en rend indignes | |5 |nous rend inca- pables

scène 5 de l’Acte II, Phèdre avoue à son beau-fils Hippolyte les sentiments qu’elle éprouve pour lui. En quoi la déclaration de Phèdre donne-t-elle une vision tragique de la passion amoureuse ? Nous allons étudier ce qui rend l’héroïne coupable d’un amour inceste, puis nous nous intéresseront également au personnage de Phèdre, victime de la fatalité de son amour Nous allons maintenant voir Phèdre, impuissante face à son cruel destin Phèdre est soumise à une passion indomptable, car c’est les

..................................7 A - S e n s d u m o t d é t e r m i n i s m e ............................................................7 B - S p i n o z a : l ' i l l u s i o n d u l i b r e – a r b i t r e ..................................8 III.LA DÉFENSE DU LIBRE – ARBITRE CONTRE LE DÉTERMINISME : K A N T ...............................................................................................................1 1 A - D é g a g e r l a s t r u c t u r e l o g i q u e : .....

l'ardeur. Quoi que Pallas ait fait, il suffit, je l'oublie ; Avec Britannicus je me réconcilie ; Et, quant à cet amour qui nous a séparés, Je vous fais notre arbitre, et vous nous jugerez. Allez donc, et portez cette joie à mon frère. Gardes, qu'on obéisse aux ordres de ma mère. Scène 3 Néron, Burrhus BURRHUS Que cette paix, Seigneur, et ces embrassements Vont offrir à mes yeux des spectacles charmants ! Vous savez si jamais ma voix lui fut contraire, Si de son amitié j'ai voulu

Chagrin d’école de Danièle Pennac- Gallimard-2007. Livre de réflexions, témoignages variés de situations de classe, à partir de son expérience personnelle de cancre parvenu au statut de professeur et d’écrivain. Il s’interroge sur l’école, les enseignants, le système, les élèves et les moyens d’aider les enfants en difficulté. Ton très vivant, emprunt d’humour, de tendresse, d’humanité, de remise en question aussi de soi-même, de sa pratique…Professeur peu conventionnel. J’ai beaucoup apprécié ce

des usages. Pour passer de la faute objective à la culpabilité subjective, il faut que celle-là soit intériorisée, selon un processus dans lequel Jean Nabert a vu « l'un des phénomènes les plus mystérieux de la vie morale » et qui est « la surprise de la conscience, après l'action, non seulement de ne plus être pour soi ce qu'elle était avant l'action, mais de ne plus pouvoir dissocier l'idée de sa propre causalité du souvenir de l'acte singulier qu'elle a accompli ». L'idée d'une telle causalité morale

du texte : « Si en effet nous repoussons le langage et la mythologie chosiste de la psychanalyse nous nous apercevons que la censure, pour appliquer son activité avec discernement, doit connaître ce qu’elle refoule. Si nous renonçons en effet à toutes les métaphores représentant le refoulement comme un choc de forces aveugles, force est bien d’admettre que la censure doit choisir et, pour choisir, se représenter. D’où viendrait, autrement, qu’elle laisse passer les impulsions sexuelles licites