Y A T Il Des Désirs Inconscients

comme étant le propre de l’homme, donc, la connaissance que l’homme a de lui-même, de ses pensées, de ses sentiments ou encore de ses actes mais aussi du monde qui l’entoure. Elle définit donc ce que l’Homme est : un être capable de penser, de se rendre compte de ses actes et de leurs conséquences. Elle donne à l’homme sa capacité d’analyser, de se juger ainsi que de juger les autres. C’est grâce à cette conscience, à sa capacité à analyser les faits passés et présents, que l’homme appréhende le monde

philosophie des sciences à la métaphysique, Alain donne une vue d'ensemble de ce qu'est la philosophie. Dans cet extrait le philosophe élaborera sa thèse selon laquelle le freudisme ne serait qu’une incompréhension de l’inconscient par le psychanalyste Freud. Alain démontre dans ce texte que l’inconscient peut être expliqué d’une autre manière que celle qu’utilise Freud en traitant les choses du sexe, le rêve, le Moi, mais surtout l’inconscient. Nous serions responsables de notre inconscient malgré le fait

enfermés les pensées refoulées, les désirs inavouables que nous ne pouvons pas atteindre car une résistance nous y oppose. Au sens plus large que la théorie de Freud, l'inconscient est l'ensemble de phénomènes psychiques inaccessibles à la conscience mais qui influe largement sur elle. La morale, elle, est la réflexion sur nos pratiques, nos actes, à savoir s'ils sont bien ou mal. Elle a pour valeur le bien, et donc, on appelle la « morale », les règles prétendant à nous y rapprocher. La question est

l’illusion d’être maîtres de notre comportement. Or, à supposer que l’inconscient existe vraiment, l’homme peut toujours dominer ses pulsions par la raison et la volonté. Un être qui se laisse gouverner par des forces inconscientes n’est pas libre. Ici, se pose un problème conceptuel : l’inconscient gouverne t il le psychisme de l’homme ? Dans un 1er temps, nous montrerons que nous sommes dirigés de façon fataliste par des sentiments inconscients. Puis, dans une 2ème partie nous expliciterons les

certain nombre de phénomènes qui échappent à la conscience. On donne deux sens à l’inconscient. 1. Premier usage du mot : on appelle inconscient les zones inactivées de la conscience. On va appeler inconscientes tout les informations présentes dans mon esprit mais que je n’utilise pas au moment présent, et dont je ne suis pas conscient, sois par ce que je n’en ai pas besoin, plus besoin, ou pas encore besoin. 2. Deuxième usage du mot : on appelle inconscient un espace psychique. Selon Freud, le psychisme

d'origine inconsciente. L'étymologie du désir exprime une confusion: si le désir est une quête tendue vers l'avenir, il exprime aussi la nostalgie: comme si, à travers le désir, nous recherchions un objet passé, perdu ou disparu. Dès lors, désirer, est-ce errer ? Le sujet appelle à définir l'essence du désir. « Errer » peut renvoyer à deux perspectives. D'une part, errer, c'est rechercher un but déterminé et ne pas parvenir à l'atteindre. L'errance désigne un voyage où nous n'arrivons jamais à « bon

des pensées propres à soi-même traduit notre liberté mais d’autre part quels sont les cas où l’inconscient prime sur la conscience. Néanmoins être responsable consiste aussi à reconnaître en « Moi » ce qui échappe à l’emprise de notre volonté. Afin de problématiser le sujet nous devons en définir les termes, « moi » est un personne en tant qu’elle se désigne elle-même et dont la conscience est attentive à ses désirs, vient ensuite le terme de « maître » qui peut être associé à la domination et enfin

sommes les seuls à posséder la capacité à lire dans nos pensées. Mais est-il si évident que nous sommes les mieux placés pour nous comprendre ? Nous sommes, à première vue, tenté de soutenir cette idée. En effet, on associe en général le terme se comprendre à se connaître, et qui mieux que moi peut être le mieux placé pour me connaître ? Puisque je suis le seul à pouvoir accéder à moi, à mon identité, il s’ensuit que seul moi peux accéder à ma mémoire qui reflète mon vécu et donc à la connaissance

étude et science C’est donc l’étude des maladies de psychisme. Normal et pathologique: Comment peut le définir ? PATHOLOGIQUE : maladie. Empêche le développement classique Discontinuité NORMAL : plus difficile à définir. Référence à une question de norme, de conformité, c’est une question de statistique. La psychopathologie travail sur le normal/pathologique. C’est même une question cruciale en psychopathologie. On ne trouve pas de définition simple et définitive

objet, on sait précisément que l’on lit, pense et saisit l’objet. Toutefois, la conscience a-t-elle le monopole sur toutes nos actions ? L’expérience ne nous montre-t-elle pas que l’on peut agir sans l’avoir voulu ? Peut-il y avoir une science de l’inconscient ? On peut alors prendre le contre-pied de cette dernière problématique et raisonner par l’absurde : Ne peut-il pas y avoir connaissance de cet inconscient ? La science, aujourd’hui est une connaissance acquise par une suite de déductions logique