Y A T Il Un Devoir De Mémoire

Brigitte DAUDE, responsable du Département audiovisuel de l’Agence Culturelle d’Alsace Compagnie DEGADEZO Fabienne DELUDE, scénographe Antoine DERVAUX , scénographe, directeur technique adjoint, TNS 21 département Arts du spectacle e n s e i g n a n t s Francesco Paolo De Sanctis, doctorant Jean-Marc EDER, comédien et metteur en scène Matthieu Epp, conteur Valérie ETTER , doctorante (arts visuels) Vivian Fritz doctorante en études chorégraphiques Cécile GHERBRANDT, comédienne B. GIRAULT-BEAUREGARDT

L'histoire de ce livre est basée sur un fait réel qui eu lieu aux États-Unis dans les années 1970. Pour faire comprendre les mécanismes du nazismes à ses élèves, Ben Ross, professeur d'histoire, crée un mouvement expérimental au slogan fort : " La Force par la Discipline, la Force par la Communauté, la Force par l'Action." Cette idée lui étant venue d'une séance de cours qui ne c'était pas déroulée comme elle aurait due. En l'espace de quelques jours, l'atmosphère paisible du lycée se transforme

l’esclavage. Professeur à l’institut d’étude politique de Paris depuis 2007 monsieur Pétré-Grenouilleau s’est imposé rapidement comme un spécialiste de l’histoire de l’esclavage avec divers ouvrages traitant du sujet comme l’ouvrage qu’est que l’esclavage ? paru en 2014 aux éditions Gallimard. Cependant c’est véritablement en 2004 qu’il se fait connaitre avec son travail sur les traites négrières les traites négrières essai d’histoire globale aux éditions Gallimard. À noter que Olivier Pétré-Grenouilleau

Mémoire Definitino : Devoir de Mémoire , epuration , Mémoire , négationnnisme , rescialisme , shoah I)La mémoire resistante de la guerre Epuration , 4 fonction , collaborateur , Pétain II)La mémoire confronté a l'histoire a) La revelation d'un passé douloureux Le chagrin et la pitié 1971 film , Robert Pacston “La france de vichy” ouvrage 73 nom+preuve , révélation , négationnisme , paul touvier b)L'eclatement des memoire Mémoir negationniste , du genocide juif de la résistance

Analyse Partie 1-ligne 1 à 4 : l’auteur s’adresse à ses lecteurs Le mot qui désigne les destinataires de cet ouvrage est le pronom personnel « Vous » Parie deux-lignes 5 à 10 : il dépeint les conditions de vie d’un déporté dans un camp de concentration. Il a 24 ans lorsqu’il fait son récit autobiographique. Partie 3-lignes 11 à15 : les conditions de vie des femmes qui subissaient le même sort que les hommes déportés. Partie4-lignes 15 à 20 : ces vers s’adressent aux lecteurs à qui il demande de

habitant-type.  Le but de l’ouvrage est d’offrir à un public large la possibilité de découvrir l’extrême diversité de Paris. Cette ouverture au grand public est permise par un langage peu spécialisé, et une volonté de faire de ce livre une sorte de guide pratique: itinéraires des promenades tracées sur des plans, photographies, etc… Pinçon et Pinçon-Charlot encadrent alors ces visites en laissant la possibilité à chacun de s’adonner, un court instant, à une promenade intelligente tout en s’imprégnant

C’est pour cela que les générations présentes à ces évènements ont décidés de faire le premier pas en faisant des commémorations pour ne pas oublier le passé. Dans le corpus proposé, 3 textes datent des années 90. Le texte de Philippe Renaud et l’image nous parle de la commémoration tandis que l’extrait de l’encyclopaedia Universalis et le texte de Thomas Ferenczi nous parle de la mémoire collective. Les commémorations sont elles dues aux mémoires collectives ? Tout d’abord, nous verrons la nécessité

RNCP (Répertoire National de Certification Professionnelle), un certificat professionnel ou un certificat de compétence (diplômes d’Etablissement) doit produire obligatoirement soit un Rapport d’activité, soit un Rapport de stage qui ne donne pas lieu à une soutenance orale (sauf pour quelques certificats de compétence où il est spécifiquement mentionné que la soutenance est obligatoire). Rapport de stage et Rapport d’activité ne sont pas notés pour les diplômes nationaux et les titres RNCP mais un

souviendrai-je alors de mon triste devoir ? Pourrai-je dire enfin : «Je ne veux plus vous voir ?» Je viens percer un coeur que j'adore, qui m'aime. Et pourquoi le percer ? Qui l'ordonne ? Moi-même.(1000) Car enfin Rome a-t-elle expliqué ses souhaits ? L'entendons-nous crier autour de ce palais ? Vois-je l'Etat penchant au bord du précipice ? Ne le puis-je sauver que par ce sacrifice ? Tout se tait ; et moi seul, trop prompt à me troubler, (1005) J'avance

philosophie, d’autant que toucher aux “universaux1 ” est aussi dangereux que vain. Notre démarche n’est inspiré que par quelques notions originales que nous ont suggéré l’étymologie* ou la comparaison de nos mythologies*2 et ce petit article se réduira à ce très simple éclairage agrémenté de quelques citations ! Étymologie* : “vérité” viendrait seulement du latin véritas mais, c’est faire peu de cas de nos langues celtiques* ou germaniques* qui possédaient forcément un mot proche pour exprimer un concept