Yōko Ogawa

CHANGE THE WORLD Le thème que je vais aborder est celui de changer le monde. De très nombreuses personnes, depuis toujours cherchent à rendre le monde meilleur. Je vais parler de quelques personnes qui ont essayé et qui continuent à changer le monde, à leur façon chacun. John Lennon dans sa chanson « Imagine » rêve d’un monde en paix. He dreams a world without borders between people. Il invites les gens à le rejoindre et partage une vision optimiste pour le futur. Dans cette chanson, il dénonce

Le musée du silence. Yoko Ogawa → Le résumé : Un jeune muséographe est contacté par une vieille dame souhaitant créer un musée très spécial. Elle a déjà engagé plusieurs professionnels avant lui, mais aucun n’a pu la satisfaire. Le jeune homme se rend donc dans un manoir, près d’un village éloigné de tout, sans connaître le concept du musée. La première fois qu’il rencontre la vieille femme, elle est très désagréable et lui très intimidé par ce personnage qu’il décrit comme flétri par l’âge

enfants (vêtements, nourriture, habitat, sport, loisirs, actes de langage, jeux et jouets, lectures...). La naissance de Akai Tori En 1910 竹久夢二 Takehisa Yumeji (1884-1934) avait déjà fait paraître un recueil de berceuses, et la même année 小川未明Ogawa Mimei (1882-1961), publiait son「赤い船」, akai fune, le bateau rouge, premier recueil de dōwas modernes, pleins de visions oniriques et sentimentales, loin de la pesante morale des écrits pour la jeunesse de Meiji : autant de premiers signes d’un changement

longue ! Flu : Choississez en 5. A.N. : Diderot, Mishima... Tanizaki, Montherlant... et - comme c'est compliqué comme question - Proust. Flu : ... Et parmi les vivants ? A.N. : Eric-Emmanuel Schmidt, Simon Leys, Jacqueline Harpmann, Yoko Ogawa, Kazuo Ishiguro. Flu : Vous reconnaissez-vous des influences ? A.N. : C'est à dire que je suis quelqu'un qui lit très intensément, il est donc fatal que ces lectures soient entrées dans mes composantes. Il faudrait s'entendre sur ce que l'on

L’Asiathèque, Paris, 1992 109 · Yasunari KAWABATA, Récits de la Paume de la main, Albin Michel,Paris 1999 · MISHIMA, Le pavillon d’or, Gallimard, Paris 1961 · Haruki MURAKAMI , romans · Ryu MURAKAMI, Lignes, Philippe Picquier, 2003 · Yoko OGAWA, Parfum de glace, Actes sud, Paris 2002 · Sei SHÔNAGON, Notes de chevet, Traduction et commentaires André Beaujard, Gallimard/Unesco, 1966 · SOSEKI, Petits contes de printemps, Philippe Picquier, 2003 · Banana YOSHIMOTO, Dur Dur, Payot et rivages

à ce point : sorehodo à ce sujet : chinami ni à cette époque : tôji à cette heure : imagoro à chaque pas : ippo goto ni à coeur ouvert : hara wo watte à corps perdu : hisshi ni natte, gamushara ni, môretsu na ikioi de à côté : soba ni, katawara ni, yoko ni à coup sûr : kanarazu, machigainaku à craquer (plein) : bisshiri to Dictionnaire Français−japonais 4 Français−japonais (dictionnaire) à demain : mata ashita à demi éveillé : yumeutsutsu ni, yumeutsutsu de à demi mort : hanshihanshô no à

écrivain", où il recule sans arrêt l’heure de travailler et finit par se soûler.»  Il reconnaît souffrir d’une défaillance de la concentration. Nourri de Balzac, Simenon, Hemingway, Pavese, Gracq, Rilke, Proust, Emmanuel Berl, Pierre Loti, Inka Parei, Yoko Ogawa, il a «le sentiment que les gens de ma génération ont une infirmité par rapport à ceux de la génération précédente : notre pouvoir de concentration s'est affaibli. La génération précédente est parvenue à faire une oeuvre globale, une sorte de cathédrale