Yoruba

nourriture et à la boisson, ainsi qu'au vêtement. Ils s'interdisent de demander un salaire. .En Afrique subsaharienne, l'usage du terme a été étendu aux prêtres, chasseurs traditionnels ou sorciers relevant de rites animistes traditionnels, vaudous ou yoruba par exemple, travaillant à guérir leurs patients d'un mal ou aider à toute autre action sociale. Bien qu'abusif car se rapportant à des pratiques peu en rapport avec l'islam, cet usage est néanmoins devenu courant. CONTENU Introduction ....

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(BAMBARA), PEUL, SWAHILI, WOLOF, YORUBA INALCO – INSTITUT NATIONAL DES LANGUES ET CIVILISATIONS ORIENTALES www.inalco.fr 65, rue des Grands Moulins 75013 Paris Tél. : 01 70 23 26 00 scolarite@inalco.fr Mention langues, littératures et civilisations étrangères et régionales (LLCER) Parcours Afrique Océan Indien Langues d’Afrique et de l’Océan Indien proposées : - amharique. - berbère. - haoussa. - malgache. - mandingue (bambara). - peul. - swahili. - wolof. - yoruba. Parcours complet L1, L2, L3. Parcours

qu'un masque est porté. Pensons aux clowns Zuni, une autre tibu indienne, qui se jettent dans les Jambes des danseurs sacrés et les imitent. de façon burlesque afin d'alléger la tension née de la cérémonie; ou à Ayoko, masque de la société Gédélé des Yoruba du Nigeria, qui danse monté sur des échasses et accomplit des acrobaties compliquées que le public applaudit ; de ce type de rites provient également notre théâtre, à l'origine duquel on devine des monômes en l'honneur de Dionysos formés il y a trois

un art martial qui a des origines afro-brésiliennes, la couleur blanche est aussi présente dans la capoeira. Elle est la couleur de “l’abadá”, le pantalon utilisé par les capoeiristes. Le mot abadá est d’orgine africaine, il vient du mot malais yorubá qui veut dire pantalon, ou encore le tissu dans lequel est fait le pantalon. En effet, à l’origine, les esclaves utilisaient le tissu au tour de la taille comme pantalon. Le blanc de l’abadá symbolise la pureté de l’art martial et a aussi des liens

n'existait pas. Une vieille femme dit alors : «Nous voulons la lumière et la mort». Et il en fut ainsi : la mort vint avec soleil, lune et étoiles. Alors, les hommes moururent et montèrent au ciel pour y scintiller. Cosmogonie africaines Chez Les Yoruba (SW Nigeria / SE Bénin), Olorun est le dieu suprême, roi de la voûte céleste. Il envoie Obatala, son fils ainé créer le monde et lui donne le sable céleste et la poule à cinq doigts. Mais Obatala boit et s'endort. Olorun, furieux, confie alors la

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l’optique de la révolution guinéenne et dans le contexte général de la lutte du continent noir contre l’humiliation, infligée par l’Occident. Du Nigérian Wole Soyinka, paraît en 1976 un poème « Shaka » où le personnage zoulou se voit assimilé au mythe yoruba d’Ogun, considéré par le poète comme le héros révolutionnaire par excellence. Il est également important de ne pas oublier deux ouvrages écrits par des blancs de l’Afrique du Sud, bien qu’il faille les mettre à part. Le premier est un long poème