Yoruba

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autres membres de sa société), dans les sociétés développées, est masqué, car il y a une forte interpénétration (peu de différences physiques régionales entre Français et Allemands, par exemple, alors qu’au Nigéria, encore fortes différences entre Yoruba et Ibo). 6. L’identité Je-Nous fait partie intégrante de l’habitus social d’un individu et est susceptible d’individualisation. Cette identité apporte la réponse à la question de savoir qui on est et ce à la fois à titre de personne sociale et

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symbolique : c’est la « fête du Sed », la fête de rajeunissement du roi, qui était censée renouveler ses forces vitales. D’autres régions d’Afrique partagent cette conception vitaliste de la royauté, et pratiquent de même la mort rituelle du roi (Yoruba, Dagomba, Tchamba, Djoukons, Songhaï, Shillouks, etc.). Cette pratique existait aussi dans l’ancien Méroé, c’est-à-dire en Nubie et en Ouganda-Rwanda. (Diop, 1954, 123-124). Enfin, les étendards et autres attirails royaux (casques, massues, trônes

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purement fiscales. (60):T .HOPSON - Communication verbale. remarquable (61)qui pr6figrui-e eri quelque sorte ce yci so passera uu Casui-.7rc. meroun duns ies ur?nees qui VCJ.~,;;. 3.3.2.1 . Stockfisch : _---u_--- Ce produit (Eanla En yoruba) est fort rare à ILORIN. Sur toute l'&tendue ---e du prodigiaux march6 da cotte ville, l consultant n'u r6ussi b d6couvrir que d3ux march'andes d a stockfisch, qui vendaient d'ailleurs surtout des crevettes sbch6as (ads) provenant d'lJIBU . _ I _

égyptiennes du savoir La crise du Muntu Eveil philosophique africain Du mythe à la religion dans la psychologie analytique de C.G. Jung Sur la "philosophie africaine" La Philosophie Bantu comparée La conception de la personne dans la pensée traditionnelle Yoruba Langage et philosophie Philosophie de l'Afrique noire La pensée africaine La philosophie africaine contemporaine Métaphore et métonymie dans les symboles paremiologiques Un humanisme africain L'europhilosophie face à la pensée du négroafricain African

Européens développèrent des forts sur la côte comme des bases militaires afin d´imposer aux ethnies côtières une menace militaire pour qu'elles leurs fournissent des esclaves. C'est le roi Ghézo qui consolida le royaume en attaquant régulièrement les Yorubas au Nigeria, ce qui lui procurait des esclaves. Son successeur, le roi Glélé, irrita cependant les Français par son attitude belliqueuse et son non conformisme. Par le traité de 1863, il autorisa les Français à s'installer à Cotonou. Mais la présence