Yougoslaves

d'importance aux préoccupations sociales (comme le chômage) et que le FMI insistait trop en revanche sur la stabilisation des monnaies ». Dans son livre The Globalisation of Poverty, Michel Chossudovsky impute au FMI l'éclatement de la fédération yougoslave, qui «est directement relié au programme de restructuration macro-économique imposé au gouvernement de Belgrade par ses créanciers de l'extérieur. Adopté en plusieurs étapes depuis 1980, ce programme a contribué à déclencher l'effondrement de l'économie

six républiques de la défunte République fédérale socialiste de Yougoslavie. Cette guerre opposa différents groupes ethniques ou nations de l’ex-Yougoslavie. Les guerres en Slovénie et en Croatie furent menées au départ afin de conserver l’unité yougoslave, mais elles prirent rapidement un caractère nationaliste. Les visions des nationalistes serbes s’opposant à celles du nationalisme croate personnifiés respectivement par le président Slobodan Milosevic en Serbie et le président Franjo Tudman en

appartenu successivement à de nombreux États, ce n’est qu’à partir du XXème siècle qu’il forme une partie intégrante de la Serbie au sein de la RSFY. Mais le refus des communautés yougoslaves de vivre ensemble a eu des conséquences désastreuses et, comme le souligne à juste titre le professeur Kherad, la tragédie yougoslave illustre bien la vision de René-Jean Dupuy, tenant au fait que « la nation rénanienne est dans la détresse. Nombreuses sont, à travers les États, les communautés qui ne veulent plus

conscription dans les guerres coloniales. En 15 ans, de 1960 à 1975, leur nombre passe de 50 000 à 750 000 ; ils sont alors le groupe le plus nombreux et contribue à maintenir une forte immigration Européenne à laquelle viennent s’ajouter les migrants Yougoslaves. L’essor de l’immigration coloniale et post-coloniale Dès 1947 les Algériens peuvent circuler librement entre l’Algérie et la métropole. Lorsque la guerre d’Algérie commence en 1954 ils sont déjà 200 000. Ce conflit sanglant pèse sur l’avenir

but d’annexer les territoires majoritairement albanais au Kosovo. Situé dans une région instable et secoué par des guerres interethniques, l'histoire de ce pays explique les tensions avec ses voisins. Reconnue sous le nom d'Ancienne République Yougoslave de Macédoine(ARYM) par l'ONU , elle tente de renforcer sa légitimité à l'échelle internationale en essayant notamment d'intégrer l'Union Européenne. Mais depuis 1991 , le nom de « Macédoine » pose problème, il est contesté par les Grecs qui le

millions de jugements sont prononcés -> 1,2 millions de condamnations pour pillage, plus de 360 000 pour meurtres, tortures, outrages et violences physiques Conclusion 1ère étape : résumer le sujet et répondre à la problématique Les exemples yougoslave et rwandais illustrent deux modalités de prise en charge des crimes de masse par la justice. Dans les deux cas, malgré les difficultés rencontrées à les faire comparaître, les principaux criminels de guerre ont été condamnés. Les deux procédures

et Cour Pénale Internationale, Amsterdam pour la capitale et Rotterdam pour la première place économique ; Rhin – Main = 4 millions d’habitants. 80 millions de citadins, la plupart germanophones. Présence de quelques immigrés turcs, italiens et yougoslaves. Au total 155 millions d’habitants =) combien dans les autres mégalopoles ? 60 villes de plus d’un million d’hab. L’urbanisation est ancienne =) héritage de la Rome antique (légions comme à Cologne), commerce au XIIe siècles avec les foires comme

de déploiement préventif des Nations Unies en ex-République yougoslave de Macédoine (FORDEPRENU). Pendant la durée de son mandat, de mars 1995 à février 1999, cette Force multinationale a donc empêché le conflit des Balkans de déborder. Elle a été chargée de surveiller l’évolution de la situation et de signaler tout événement survenu dans les zones frontalières qui pourrait saper la confiance et la stabilité dans l’ex-République yougoslave de Macédoine et en menacer le territoire. Alors que la prévention

Mars-juin. Afrique du Sud.  Abolition des principales lois ségrégationnistes (apartheid). 21 mai. Inde.  Assassinat du Premier ministre indien Rajiv Gandhi (1944-1991). 25 juin. Guerres yougoslaves.  Proclamation d’indépendance de la Slovénie et de la Croatie. Début des guerres yougoslaves qui durent jusqu'en décembre 1995 (accords de Dayton). 31 juillet. Désarmement.  Signature à Moscou du traité START I entre le président des États-Unis George H. Bush (1989-1993) et le président

Commène et périt sur le bûcher. La répression fut efficace : les écrits bogomiles partirent en fumée et rares sont les traités et recueils de sermons qui nous sont parvenus tandis que les quelques inscriptions des nécropoles bogomiles des pays yougoslaves ne nous éclairent guère plus. En revanche, les œuvres polémiques de leurs adversaires ont été conservées, tel ce Traité contre les Bogomiles de Cosmas le Prêtre – publié aujourd'hui en français par deux grands slavisants ; c'est en les décryptant