Ypres

XVième Siècle, Calvin pense que les Hommes sont condamnés à la damnation par la seule volonté de Dieu. Beaucoup d'autres avaient concilié les 2 systèmes en se remettant à l'Evangile (prière, sacrement, fidélité à l'Evangile). Jansénius, évêque de Ypres fait paraître en 1640 "l'Augustinius", qui est un commentaire de St. Augustin, qui avait beaucoup insisté sur la gratuité et l'efficacité de la grâce. Jansénius prétendait revenir à la doctrine de St Augustin, mais on l'accusa d'hérésie par les Jésuites

à mettre un territoire sous sa dépendance. pacifisme : idéologie ou ensemble d'actions qui ont pour objectif de défendre la paix et donc de refuser la guerre. Gaz moutarde (ou ypérite) : gaz de combat testé pour la première fois par l'Allemagne à Ypres (Belgique) en 1917 ; agissant sur la peau, il rend inefficace la protection des masques à gaz. Nettoyeurs de tranchées : unités spécialement armées et entraînées afin de neutraliser les ennemis encore en état de combattre après l'assaut de leur tranchée

(bataille de la Marne en septembre 1914) dès le mois de novembre malgré les tentatives de perçée alliées (Somme 1916) ou allemandes (Verdun 1916). En 1917, les attaques frontales extrêmement meurtrières telles celles du Chemin des Dames (avril -mai) ou Ypres (Juin - juillet) restent sans effet décisif. Le Général Foch, devenu le premier généralissime des armées alliées en Avril 1918, parvient à coordonner la défensive contre les attaques allemandes (seconde bataille de la Marne en juillet) puis dès le

vers la spécialisation de la production et le commerce44 provoquent de mauvaises récoltes qui se traduisent du fait de la pression démographique en famines (qui avaient disparu depuis le xiie siècle) dans le nord de l’Europe en 1314, 1315 et 1316 : Ypres perd 10 % de sa population et Bruges 5 % en131642. La noblesse doit compenser la diminution de ses revenus fonciers et la guerre en est un excellent moyen : par les rançons perçues après capture d’un adversaire, le pillage et l’augmentation des impôts

les grèves se succèdent régulièrement[68]» par la suite. La grève comme moyen de pression est déjà utilisée au Moyen Âge et montre une certaine similitude avec les grèves des syndicats modernes. Les luttes armées des travailleurs qu'on retrouve à Ypres, à Bruges ou à Douai dans la seule année 1280 rappelle fort bien les vagues de contestations des mineurs de France, de la manifestation de Haymarket à Chicago ou même de quelques grèves sous Duplessis au Québec. Le sabotage est aussi constaté lors

même, à savoir que le Canada ne peut pas et ne doit pas lâcher prise[53].  Borden essaie continuellement de gagner la sympathie des Canadiens et leur demande de penser aux soldats qui reviendront après la bataille de Vimy, de Coucelette, de Ypres, etc. Qu’allons-nous leur dire lorsqu’ils nous demandent pourquoi on les a abandonnés. Le gouvernement de Borden affirme aussi que le Canada lutte non seulement pour la Grande-Bretagne ou la France mais pour lui-même. Il défend des principes de

Les droits et devoirs des époux, tome 1, L. Raucent et Y.-H Leleux (ed.), Rép. not., tome V.,1 XIII, Bruxelles, Larcier, 2001, n° 113. [36] Bruxelles, 13 juin 2002, Div. Act., 2003, p. 87, note de I. De Stefani [37] Sur cette notion, voy. : Civ. Ypres, 12 mai 1999, Rev. trim. dr. fam., 2000, p. 107 ; P. De Page, « Incidences de la société d’une personne à responsabilité limitée sur les régimes matrimoniaux et le droit successoral », Op. cit., p. 92. [38] Cass., 25 avril 1985, Rev. not. b., 1986

sociales en milieu urbain. Le refroidissement climatique23 provoque de mauvaises récoltes qui se traduisent, avec la pression démographique, en famines (qui avaient pourtant disparu depuis le xiie siècle) dans le nord de l’Europe en 1314, 1315 et 1316 : Ypres perd 10 % de sa population et Bruges 5 % en 13166. L'essor des villes accroît ce déficit et le ravitaillement doit être assuré par un commerce à plus ou moins longue distance. D'autre part, des consommateurs, au niveau de vie plus élevé grâce à la

et l'entassement de dizaines de milliers de sacs de terre. À l'abri derrière ce rempart, auquel s'ajoute le remblai d'une ligne de chemin de fer, les Belges peuvent tenir les Allemands en respect. Les Britanniques, peu nombreux, se sont installés à Ypres, à l’extrémité sud-ouest de la Belgique, où la ville leur offre un véritable système de défense par l'utilisation des maisons et édifices publics devenus comme autant de forteresses. Ce sont des soldats professionnels qui peuvent tirer le meilleur

population a abouti à un fractionnement des tenures. L'écart s'élargit dans les villes entre les riches et les pauvres entraînant des révoltes du « menu » peuple contre le peuple « gras » entraînant des grèves et des conflits comme à Douai, Paris, Ypres… La fin des Capétiens directs[modifier | modifier le code] La lignée des Capétiens directs se termine par le règne successif de trois fils de Philippe IV qui meurent sans héritier mâle. Lorsque Charles IV le Bel, le dernier fils de Philippe le Bel