Yuga

sont dits divisé en 15 muhurtas qui ont une durée de 48 minutes chacune et il est de même pour les nuits. Le calendrier hindou distingue quatre ères principales, les yugas : la Satya Yuga (« âge de vérité ») correspond à un âge d'or et à la présence des dieux sur Terre, suivent Treta Yuga et Dvapara Yuga. La Kali Yuga (« âge du vice ») commence le premier jour du calendrier hindou (23 janvier -3102 grégorien).Ces ères suivent un système diviser en cycles de soixante années qui se répètent sans être

humain. En Inde, on le nomme Satya Yuga ou Krita yuga, l’Age de Vérité ou l’Age parfait. Nul mauvais sentiment ou intérêt égoïste ne dirige l’homme. Sa vie se fonde sur la spiritualité, toutes ses facultés de clairvoyance et autres facultés psychiques sont pleinement réalisées. L’AGE DE CUIVRE OU D’ARGENT voit l’apparition d’actes intéressés, la droiture de l’homme diminue d’un quart. La spiritualité s’accompagne de rites. Pour les Indiens, il s’agit du Treta Yuga. L’AGE DE BRONZE OU D’AIRAIN n’est

cycles indiens commencent avec l'âge d'or: le satya yuga vers 58 042av J.-C. Puis vient l'âge d'argent, le tetra yuga. Ensuite suit l'âge de bronze, le dvapara yuga. Enfin, l'âge de fer, le kali yuga, qui clôt la fin de l'humanité. Le kali yuga aurait commencé en 3600av. J.-C. et serait sur le point de s'achever. Il nous promet des cataclysmes, une effroyable sécheresse, la chute des politiques. Le texte du Linga Purana précise qu'au terme du kali yuga, "les différentes régions s'opposerons les une aux

prenait fin le 21 décembre 2012… Chez les Hindous 2012 annonce aussi la fin d’un cycle… Cette religion divise l’humanité en quatre âges de 5600 ans et chaque âge se termine par d’énormes bouleversements. L’année 2012 c’est la fin de l’âge du Kali Yuga. Le texte religieux ne repose sur aucune base scientifique et ne peut être validé par la recherche. Tous ce qui est sacré ne se discutes pas et cela est le propre des textes religieux, censés être dicté par le ou les dieux ne peut en aucun cas

se déroulant sur des durées infiniment plus vastes. L'Inde parle des quatre yuga qui se développent et s'accélèrent dans un sens descendant, par suite de l'éloignement graduel du Principe. L'Antiquité grecque parle de la même façon des Ages d'or, d'argent, d'airain et de fer, que l'on retrouvent dans la Bible (Daniel) : la statue du songe de Nabuchodonosor. Cet ensemble aboutit à un éclatement final (la fin du Kali-yuga), dont "nul ne connaît le jour ni l'heure...", mais dont les signes annonciateurs

graduel de la spiritualité primordiale; ces sont ces mêmes périodes que les traditions de l'antiquité occidentale, de leur côté, désignaient comme les âges d'or, d'argent, d'airain et de fer. Nous sommes présentement dans le quatrième âge, le Kali- Yuga ou « âge sombre », et nous y sommes, dit-on, depuis déjà plus de six mille ans, c'est-àdire depuis une époque bien antérieure à toutes celles qui sont connues de l'histoire « classique ». Depuis lors, les vérités qui étaient autrefois accessibles à

éveillé d’une vie parfaite » est tout à fait étrange, mais très pertinent en un sens : ce n’est que le rêve justement… et non pas la vie éveillée et parfaite ! Que l’on puisse confondre le loisir avec l’âge d’Or des mythologies, comme en Inde avec le Sat-yuga, voilà qui est… confondant ! Si nous en restons à l’acception commune de la notion de loisir, c’est-à-dire le loisir passif, les questions se posent : Comment l’apogée de la conscience humaine pourrait-elle se confondre avec les loisirs marchands

de la peur de la destruction. Kâli ne doit pas être confondue avec Kali ("le Terrible"), un démon que l'on rencontre dans le Mahâbharata et qui est la personnification du Kali Yuga, car son nom comporte un sens bien différent. En effet, le Kali Yuga n'est pas l'âge de Kâli, mais l'Age Terrible, le dernier des Ages (Yuga) dans la conception cosmogonique cyclique hindoue. Cette confusion vient surtout de ce que la déesse Kâli est effectivement d'apparence terrible et effrayante. Origine : L'importance

progrès matériel ne l'intéressait pas du tout. Seul le progrès spirituel le concernait et il considérait que notre époque purement matérialiste était caractéristique d'un état que les hindous considèrent comme le dernier âge de l'humanité, le Kali-Yuga, après lequel on repart à zéro, avec un nouvel âge d'or. A près de 6 décennies de sa mort et malgré un changement des mentalités, ainsi qu'une modernisation évidente dans plusieurs domaines, notamment politique, ses réflexions et ses nombreuses remises

désigné de la sorte la Belle Époque ou les années 1960. Raoul Girardet propose une analyse critique de ce mythe dans son ouvrage Mythes et mythologies politiques.[réf. nécessaire] On trouve dans l'hindouisme et les textes védiques, l'évocation du Satya Yuga qui est équivalent à un âge d'or de l'humanité revenant cycliquement.