Yvain

ABDELLATIF AMINA CHARLES DAVID DELVINGT MARC DESTOUESSE PIERRE BAZIN VALERIE VIGNEAU ALAIN PERCHERON MELANIE CARON PASCAL MARCHAND THIERRY PAGES CYRIL MARCHAND THIERRY DIES LAURENT LE GAL BRUNO RENARD GHISLAIN MANSOIS SEBASTIEN SERINET STEPHANE DELANNOY YVAIN MELICINE OLIVIER Téléphone 06.20.90.58.46 06 07 44 18 19 06 30 89 44 68 06.98.43.79.85 06.03.90.74.53 06.74.90.97.54 06.74.90.97.52 06 88 33 13 28 06.81.52.65.00 06.28.90.56.98. 06 08 74 90 60 06.60.91.69.95 06.08.43.80.79 06.12.06.93.96 06.63.90.93

« Melancholia » * Roman : - P. AUSTER, La musique du hasard - H. de BALZAC, La Peau de Chagrin, La Recherche de l’Absolu - R. BARJAVEL, La Nuit des temps, Ravage - T.C. BOYLE, America - B. CENDRARS, L’Or, À l'aventure  - CHRÉTIEN DE TROYES, Yvain le chevalier au lion - F. DOSTOÏEVSKI, Le Joueur - R. EMMERICH, Le jour d’après  - FRISON-ROCHE, Premier de cordée - A. GIDE, Les Caves du Vatican, le livre V (Lafcadio) - W. GOETHE, Faust - A. HUXLEY, Le Meilleur des mondes - Jean de LÉRY,

standardisée de la femme, qui ne tenait pas compte ni de la société, ni des normes, ni même de la réalité objective. Pour ce qui est des romans du Moyen Âge on voit une représentation on peu plus réaliste de la femme : dans ‘Le chevalier au Lion’, Yvain gagne sa femme après avoir tué son mari, donc, elle est un objet qui passe chez lui avec tous les autres possessions du défunt. D’autre part, elle a la possibilité de le rejeter –elle a de l’autorité sur lui- chose qui était impossible pour les femmes

Il s’est surtout inspirer de la légende du roi Arthur. Ce roi réunissait les plus vaillant chevaliers de sont royaumes autour d’une table ronde pour montrer qu’ils étaient tous unie et tous égaux. Les plus célèbres s’appellent Lancelot, Perceval, Yvain. Séance 2 : entrons dans la légende arthurienne L’incipit : les circonstances du récit. La venture la plus noble et le plus exigeante pour le chevalier est la quête du saint graal

n'est pas inutile de rappeler que le manuscrit qui nous a conservé l'œuvre de Renaut de Beaujeu contient également d'autres romans arthuriens, avec lesquels cette dernière entretient des rapports de similitude : on y trouve ainsi l'Âtre Périlleux(10), Yvain, La Charrette, la Vengeance Raguidel, et même quelques branches du Renart. Le choix du copiste – ou du commanditaire du manuscrit – nous indique dans quelles perspectives peut être lu ce roman, entretenant avec ceux qui l'entourent un jeu d'échos et

Bouillon, qui n'est pas le plus ancien, mais constitue une modélisation chrétienne du culte de l'ours. Le dit Godefroi n'a sûrement jamais combattu cet ours, mais ce récit lui permis d'être le chef de la croisade. Puis Roland, Tristan, Lancelot, Yvain et le roi Arthur lui-même. Tous cherchent à s'investir de la force de l'ours pour s'imposer comme chef. Mais la culture celte, scandinave, lapone, européenne est beaucoup plus paienne.. Dans les pratiques cultuelles, les guerriers vainqueurs boivent

littéraire en écrivant des traductions d'Ovide, aujourd'hui perdues, et un roman, Tristan et Yseut, perdu lui aussi. Viennent ensuite d'autres romans : Érec et Énide, Cligès ou la Fausse Morte (vers 1170), Lancelot ou le Chevalier de la charrette, Yvain ou le Chevalier au lion. Perceval ou le Conte du Graal, commencé vers 1180, est resté inachevé. On pense que c'est la mort qui a empêché Chrétien de Troyes de terminer son roman.

des éléments antérieurs à la scène du verger (p.77, la lettre que Tristan fait parvenir au roi est une longue analepse du passé glorieux de Tristan). On a des échos de Tristan, certains évènements se font échos, les 2 pièges, la visite chez Ogrin, Yvain le vrai lépreux. Contrairement à d'autres textes du Moyen-Age, Tristan et Iseult n'utilise pas la méthode de l'éntrelacement (différents éléments narratifs qui ont eu lieu au même moment dans des endroits différents, par des personnes différentes

sort souvent vainqueur et ne fuit pas le combat. Il représente la figure du bien contre celle du mal de manière manichéenne. Le héros chevaleresque par exemple, se doit d'être un modèle de courtoisie au service de l'église et du peuple. Dans le roman Yvain, le chevalier au lion, écrit par Chrétien de Troyes en 1176, le héros séduit la veuve Laudine par ses qualités de combat et accumule les prouesses afin de conserver son honneur. Pour reconquérir sa dame, il multiplie les combats : contre le chevalier

nuances du cœur humain. Il offre une vision manichéenne des personnages, sortes de masques dans lesquels il est difficile de se reconnaître. Il en est ainsi des romans de chevalerie. Dans Le chevalier au lion de Chrétien de Troyes, par exemple, le héros Yvain obéit à un idéal chevaleresque et n’exprime aucune singularité ou sentiment. Parfois, à l'inverse, le personnage de roman est trop complexe. Or, une analyse trop poussée nuit à la clarté. Dans La Princesse de Clèves, le lecteur a parfois du mal à suivre