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Pyrénées et la Corse, en passant par Marseille. Il commence, en 1841, des études de droit à Paris. Il est reçu à son examen de première année en 1842. En 1843, Il échoue à son examen de deuxième année. C'est cette année-là qu'il rencontre Maxime du Camp qui deviendra un de ses grands amis. Il commence à rédiger la première version de L'Education sentimentale. L'année suivante, en 1844, alors qu'il est en voyage à Pont l'Evêque, il est victime d'une crise d'épilepsie : " je me suis senti tout à coup

a été peinte en 1944, donc pendant la seconde guerre mondiale, juste avant d’être déporté dans un camp de concentration (Auschwitz). Elle a été peinte durant la troisième phase de cette guerre, la victoire des alliés. Il n’accepte pas de renoncer à peindre librement et d’adopter le style obligatoire en Allemagne pendant le IIIème Reich. . Ce tableau a été réalisé après son premier enfermement en camp (à Saint- Cyprien) en 1940 et son évasion. Cela explique le climat de peur. Il est comme un homme

entrées en vigueur en Italie. Or, Guido est juif. Un jour, Dora rentre à la maison et ne trouve ni son fils, ni son mari. Ils ont été déportés. Par amour pour eux, Dora va monter elle aussi de son plein gré dans le train qui les emmène. A l'intérieur du camp de concentration, Guido fait tout son possible pour éviter à son fils la réalité horrifiante de la prison nazie.

virilité) plaît à Flaubert. Il la réutilisera dans Bouvard, l’associant à Pécuchet, dont le patronyme rappelle le mot latin pecus, animal de ferme.  Mais Flaubert centre son récit sur Emma. Il a trouvé le prénom lors d’un voyage en Orient, avec Maxime Du Camp, en 1849. Un soir, aux confins de la Nubie, au bord du Nil, Flaubert aurait saisi le bras de son ami en disant : « J’ai trouvé ! Je l’appellerai « Emma Bovary » C’est donc Emma la protagoniste du roman, celle à qui il s’identifie. Il annonce, dès le

Flaubert ne cherche pas à se faire connaître à tout prix. Il dit ne pas vouloir exploiter temporellement ses dons, et veut réussir seul, sans gloire ni argent, ni hypocrisie dont il faut faire preuve. En 1852, il écrira à un ami d’enfance, Maxime Du Camp, qu’il ne « vise pas le port mais la haute mer ». Il ira même jusqu’à dire que « les honneurs déshonorent ». Refus de faire servir ce don à une complaisance personnelle : son but n’est pas la littérature individuelle. Il dit ne pas aimer qu’un écrivain

trouve des échos dans ses permières œuvres. En 1844, une première crise nerveuse l’empêche de continuer ses études de droits à Paris. Il rencontre Louise Colet qui devient sa maitresse en 1846 jusqu’en 1854. Apres avoir voyagé en Orient avec Maxime Du Camp, il rentre en 1851 et consacre sa vie à l’écriture. Dès la parution de Madame Bovary en 1857, Flaubert obtient un procès pour « immoralité », dont il sort acquitté et célèbre. Ses dernières œuvres sont des échecs et à cela s’ajoutent des difficultés :

L’art comme témoignage      D​   ​ urant  toute  la  période concentrationnaire, l’art graphique n’a  pas  cessé  d’exister  malgré  la  douleur  physique.  De  nombreuses  oeuvres (croquis, portraits,  peintures, gravures,...) sont crées  dans  les  camps.  D’autres  sont  produites  à  la  suite  des  libérations  et  parfois  plusieurs  années  plus  tard.  L’art  est  utilisé  comme  témoignage de  scènes  quotidiennes dans les  camps, comme  une  forme  d’expression  de  la  souffrance  endurée 

de mourir pour leurs idées. Charlotte Delbo est restée 27 mois à Auschwitz. Elle est revenue et elle a écrit. De l’horreur, de la barbarie, elle en a fait de la poésie, dans ces textes Charlotte Delbo fait l’éloge de ces femmes, de ces camarades de camp Mounette, Viva, Poupette, Marie- Laure, Denise, elle fait l’éloge de leur beauté, de l’amitié, de leur courage, de la solidarité, et de leur soif de vivre. Charlotte Delbo estime qu'elle a survécu en particulier grâce aux poèmes qu'elle passe beaucoup

Anh-Vu Pham-Tang Le génocide rwandais vs. L’Holocauste L'une des principales similitudes entre le génocide rwandais et l'Holocauste c’est que les gens voulaient la pureté raciale dans les deux situations. Dans le génocide rwandais, les Hutus voulaient purifier le pays en se débarrassant des Tutsis qui ont été qualifiés de «vermines». Les Hutus croyaient que les Tutsis étaient des «vermines» parce que tout au long de l'histoire les Tutsis étaient principalement au pouvoir dans la société en plus

fils Giosuè, sont une petite famille juive. Un jour, des soldats du régime nazi viennent les chercher pour les emmener dans un camp de concentration Allemand. Bien que Dora ne soit pas de cette religion, elle refuse de laisser partir son mari et son fils dans le camp de concentration sans elle. Elle se rend donc à la gare pour elle aussi monter dans le train en direction du camp. A partir de ce jour, Guido explique à son fils que ce « séjour » sera un immense jeu dans lequel ils gagneront des points