Zéphyr

sommes. Enfin Tardieu lui donne à sa pièce un registre comique. Le « comique de mots » et de « répétition » en sont la preuve même : « arrêt et reprise de la musique» ; « l'homme de confiance et de méfiance » mais encore « Z... Zède comme Zèbre, comme Zéphyr... » de plus une didascalie « (Il rit bêtement) » . Ainsi Molière pour éveiller et maintenir l'intérêt des spectateurs optent pour un homme ridicule qui hurle sans arrêt pour un rien ce qui a pour but de nous faire rire mais de nous inquiété pour

L’ODYSEE 7 (HOMERE) Il navigua sur la mer, 17 jours. Le 18ème jour, les montagnes du pays des Phéaciens apparurent. Mais Poséidon qui l’aperçut de loin fit se rassembler les nuages, se déchaîner les souffles de tous les vents. L’Euros, le Notos, le Zéphyr et le Boros s’abattirent en même temps et soulevèrent la mer. Une vague s’abattit sur Ulysse qui tomba dans l’eau loin du radeau. Le radeau se cassa et Ulysse se retrouva sous l’eau. Il n’arrivait pas à remonter à cause de ses vêtements qui l’entrainaient

Notos s'apaise un léger vent portant incite les marins à prendre la mer. A peine le mouillage relevé, un furieux Zéphyr se met à souffler en tempête, et le tonnerre et l'ouragan envoyés par Zeus détruit le bateau. Tout l'équipage périt dans le naufrage. Le soleil est ainsi vengé et continue à briller sur le monde des vivants. Seul Ulysse vivant est accroché à une épave lorsque le Zéphyr s'apaise. mais l'épreuve n'est pas finie... le Notos revient et le renvoie sur sa frêle épave dans la bouche de

muets ! Grottes ! Forêt obscure ! Vous, que le temps épargne ou qu’il peut rajeunir, Garder de cette nuit, gardez, belle nature, Au moins le souvenir » Dans les deux derniers paragraphes on reprend le bruit qui fait le lac à cause du vent, le zéphyr. Il y a une allitération et une synesthésie, un mélange de sons ; « Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés ». Et pour finir avec l’analyse de la structure, au dernier paragraphe on voit une personnification du vent ; « Que le vent

500 espèces de plantes dans ce jardin -le personnage de Flore jeune fille, à droite en robe blanche, devient l'allégorie de Florence -ce sont des fleurs qui sortent de la bouche de Flore, qui se trouve être la nymphe des fleurs des Grecs, lorsque Zéphyr, dieu du vent, lui souffle dessus, causant un trouble visible dans l'expression du visage, trouble qui va lui révéler s a féminité -Chloris devient Flore déesse des fleurs et fleurit la nature -Florence a cette fois acquis une maturité éclatante

l'utopie au travers de lieux parfait et paradisiaque. Si l'on en croit Fénelon, le lieu utopique est appelé "La Bétique" car dans sa description, il regroupe toute les caractéristiques d'un monde idéal: "fertile", "serein", "délices", "heureux hymen", "zéphyrs rafraîchissant", "ciel doux". Il complète sa description avec l'importante faune et flore qui recouvre ce pays merveilleux: "les chemins y sont bordés de lauriers, de grenadiers, de jasmins et d'autres arbres toujours verts et toujours fleuris" et

précédent. J'ai apprécié ses métaphores personnifiant la nuit lui donnant ainsi le rôle d'une mère. Nuit de printemps Le ciel est pur, la lune est sans nuage :  Déjà la nuit au calice des fleurs  Verse la perle et l'ambre de ses pleurs ;  Aucun zéphyr n'agite le feuillage.  Sous un berceau, tranquillement assis,  Où le lilas flotte et pend sur ma tête,  Je sens couler mes pensers rafraîchis  Dans les parfums que la nature apprête.  Des bois dont l'ombre, en ces prés blanchissants,  Avec lenteur

nous dépayser en décrivant les abords de l'île de calypso comme les délices de l'âge d'or ainsi que les principes des habitants de l'île. A travers ces paroles pour décrire le paysage, Fénélon dit: «L'ardeur de l'été y est toujours tempérée par des zéphyrs rafraichissants, qui viennent adoucir l'air vers le milieu du jour.» et concernant les habitants il dit: «mais les habitants , simples et heureux dans leur simplicité, ne daignent pas seulement compter l'or et l'argent parmi leur richesses: ils n'estiment

climatiques liées à ce pays. Il nous décrit les hivers comme « tièdes » et les étés « tempérés ». L’absence de fortes saisons est expliquée par l’abscence «[d’] aquilons », vents du nord et le fait que « l’ardeur de l’été est toujours tempérée par des zéphyrs rafraïchissants ». On sait aussi que « toute l’année n’est qu’un heureux hymen du printemps et de l’automne ». Les allusions à la nature sont nombreuses, cette nature méditerranéenne est composée de « lauriers, de grenadiers, de jasmins et d’autres

la nature peut conserver une trace intacte du bonheur.  La nature est très présente dans l’ensemble du poème. Nous la retrouvons sous la forme de l’élément liquide avec l’image du lac mais également à travers l’évocation du "vent" vers 11 ou du "Zéphyr" vers 57 qui représente l’air ou des "roches profondes" qui représente la terre. Les "rochers", "grottes", "rocs" permettent quant à elle une image minérale de la nature, là où les "sapins", "coteaux", "forêts" et le "roseau" dressent une image végétale