Ziméo Vengeance

alors un grand complot contre l’empereur afin de l’assassiner... Acte II Mais Auguste, lassé d’être maître du monde romain, demande conseil à Maxime et Cinna, qu’il adore : doit-il renoncer à l’Empire ? Cinna, redoutant de ne pouvoir assouvir la vengeance d’Émilie et donc de renoncer à l’épouser, le persuade de rester sur le trône. L’empereur remercie les deux hommes de leurs conseils en leur offrant des postes importants, des terres et donne Émilie en mariage à Cinna. Acte III Or Maxime aime Émilie

vue des adversaires de la peine capitale. Tout d'abord ils soulignent que la peine de mort ne répare rien, qu'on ne peut pas compenser un meurtre par un autre, qu'elle ne rend pas la vie aux victimes et qu'elle assouvit tout au plus un désir de vengeance, certes subjectivement compréhensible, mais moralement répréhensible. En outre ils déclarent que chaque individu, donc aussi le criminel le plus ignoble, est unique et irremplaçable. Et comme il est unique et irremplaçable, la société n'a pas le

Le châtiment, qui sanctionne sans prévenir, s'appelle en effet la vengeance. C'est une réponse quasi arithmétique que fait la société à celui qui enfreint sa loi primordiale. Cette réponse est aussi vieille que l'homme, elle s'appelle le talion. Qui m'a fait mal doit avoir mal, qui m'a crevé un oeil doit devenir borgne ; qui a tué enfin doit mourir. Il s'agit d'un sentiment, et particulièrement violent, non d'un principe. Le talion est de l'ordre de la nature et de l'instinct, il n'est pas de l'ordre

responsabilité des juges C. Les dysfonctionnements de la justice. La loi du Talion est l'une des plus anciennes lois existantes. C'est une vengeance qui consiste à faire subir à l'offenseur un dommage identique à celui qu'il a causé. La loi du Talion est souvent symbolisée par "œil pour œil, dent pour dent". Le dessin de Franquin montre bien ce schéma de vengeance. L'homme qui a tué sera tué par un bourreau mais comme le bourreau a tué il sera tué ainsi cette chaîne de meurtre ne s'arrêtera pas. Si

société se venge, que la société punisse », car « se venger est de l’individu, punir est de Dieu ». Il faut que la société « corrige pour améliorer ». De plus Robert Badinter ajoute que « tout le progrès historique de la justice a été de dépasser la vengeance privée » ce qui inclut de refuser la loi du talion. D’autre part, la bande dessinée affirme que personne n’a le droit de tuer quelqu’un d’autre, même la justice : « la loi est formelle : toute personne qui en tuera volontairement une autre aura la

qualifiée de « crime capital ». La sentence est prononcée par l'institution judiciaire à l'issue d'un procès. En l'absence d'un procès, ou dans les cas où celui-ci n'est pas réalisé par une institution reconnue, on parle d'exécution sommaire, d'acte de vengeance ou de justice privée. La peine de mort est diversement considérée selon les époques et les régions géographiques. À l'origine peine très fortement développée à travers le monde, elle a été déconsidérée à l'époque des Lumières. Fortement en recul

pas, et il ne se donne aucun avenir, sa faute passée est toujours là qui l’empêche d’envisager autre chose, par exemple qu’il oublie, passe à autre chose, se pardonne et envisage de s’amender ; on pourrait prendre l’exemple de la rancune ou de la vengeance : dans ce cas-là aussi, on rumine le passé, on veut le réparer, on enrage qu’il se soit produit, on le refait, mais en étant impuissant à le défaire. Il ne construit rien, il ne veut que détruire. Vivre dans le passé ou revivre indéfiniment le

désir de vengeance, est un comportement naturellement humain. Les enfants rancuniers finissent vite par oublier. Les adolescents se contentent de ne pas se parler et de se détester. Mais, ce qui est bien plus grave, c’est lorsque ces derniers commencent à devenir des jeunes adultes, ressentant le besoin de se venger, entraînant conflits entre amis, discordes dans la famille, disputes entre collègues et même, des idéologies meurtrières. Et pourtant, la haine et la soif de vengeance ne fait

de faire justice soi meme car qu’adviendrait-il si chaque victime agissait de la sorte? Prenons un exemple, un parent tue l’agresseur de sa fille. N’est-il pas logique que celui-ci aille en prison? Oui, effectivement il s’agit de vengeance et la vengeance quelqu’en soit la sorte doit être puni! Car il faut tout de même avouer que Madame Lejaret, a executé un acte barbarre surtout en sachant que celle-ci pratique le métier de vétérinaire et que donc elle exerce sur des animaux. Madame

plus forcément le cas. Les incivilités sont la cause de nombreuses conséquences, notamment le fait de ne plus avoir confiance aux autres. On peut aussi dire que les conséquences des incivilités sont d'autres incivilités, en effet, le phénomène de vengeance, ou plutôt se faire justice sois-même est très courant. Donc, plus il y a des incivilités, plus les débordements augmentent et s'installent dans la société comme un phénomène courant. Le danger est donc de plus en plus grand car ces actes deviennent