Zone euro

Crise de la Grèce, euro et perspectives ArgumentAire Le gouvernement grec a annoncé un plan de rigueur qui prévoit notamment de baisser le déficit public à 8,7% en 2010 avant de le ramener dans les limites du pacte de stabilité, à 2,8% en 2012. A l’issue du conseil européen de jeudi 11 février, les chefs d’Etats et de gouvernements ont annoncés leur volonté de venir en aide à la Grèce. Néanmoins aucun dispositif concret n’a été annoncé. Au cours du weekend, les réticences de certains hommes politiques

marginal Le taux directeur de la Banque centrale européenne (et des autres banques centrales) est le taux de refinancement minimum. C'est le principal outil dont dispose la BCE pour influer sur l'octroi de crédits et moduler l'inflation dans la zone euro. 2) 3) En tant que véritable régulateur du prix du crédit, la hausse ou la baisse de ces taux va avoir des impacts conséquents (notre modèle économique est aujourd'hui basé sur le crédit). Ces impacts vont se transmettre à l'économie

solutions face à la crise grecque : 1) Le plan de sauvetage européen. 2) Les propositions d'Attac face à la crise grecque. * Introduction : Après son entrée dans l’Union Européenne en 1981, et constamment suite à son adhésion dans la zone euro, la Grèce a connu une croissance relativement rapide résultant des plusieurs mesures de stabilité économique véhiculées par les politiques économique de l’organisation. Pour en juger, il faut revenir au départ de la crise. Le gouvernement grec annonçait

monétaire à l'ensemble des marchés financiers. Malgré les doutes subsistant sur l'efficacité des actions prises jusqu'ici, de nouvelles mesures ont été annoncées en septembre et en octobre 2011. Au sein de la zone euro, la recrudescence des tensions sur les marchés interbancaires de la zone euro ont poussé la BCE à renouveler les opérations exceptionnelles de refinancement à long terme et à lancer un second programme d'achats d'obligations sécurisées. Ces annonces font notamment suite à celle de la

contrairement au 3,5% annoncés en 2012. En effet, le FMI affirme qu’il est plus que nécessaire de renouer avec la croissance, d’améliorer la compétitivité, et d’encourager l’emploi dans la zone euro, celle-ci a vu son taux de chômage s’élever à 11,6% en septembre dans les 17 pays de l’Union Monétaire. Pour le FMI, la zone euro reste encore et toujours une menace sur les perspectives de l’économie mondiale. Les défis les plus urgents sont la crise prolongée de l’emploi car comme nous pouvons le constater

freine l'investissement. Le bilan des politiques de désinflation compétitive, notamment en France, est mitigé : inflation éradiquée mais taux de chômage toujours élevé et investissement peu dynamique. C) Les politiques conjoncturelles dans la zone euro : avantages, contraintes, limites. La répartition des compétences entre les Etats membres et l'Union européenne est influencée par le principe de subsidiarité (principe selon lequel le pouvoir supranational n'intervient qu'en complément du pouvoir

La BCE a été instituée en juin 1998, alors que l'euro est entré en vigueur le 1er janvier 1999. Son rôle est de définir la politique monétaire de la zone euro. Avec les banques centrales des différents pays de la zone euro, la BCE compose l'euro système qui fixe le taux d'intérêt directeur qui s'impose à toutes les banques centrales de la zone euro. Le taux directeur conditionne le taux du marché interbancaire et, par conséquent, les taux d'intérêt fixés par les banques pour les crédits accordés

monétaire français comptait 4 agrégats monétaires (de M1 à M4) et 3 agrégats de placement (de P1 à P3). Les nouveaux agrégats monétaires tels que définis par la BCE pour l'ensemble de la zone euro : le secteur des émetteurs de monnaie regroupe l'ensemble des institutions financières monétaires (IFM) résidantes de la zone euro dont les exigibilités vis à vie des agents non financiers présentent un certain degré de liquidité et un caractère monétaire marqué. Pour la France il s'agit de la Banque de France

sommet européen destiné à stabiliser la zone euro, le président français et la chancelière allemande ne se sont pas seulement accordés sur de nouvelles règles en matière de budget, ils ont également appelé à une réforme du traité de Lisbonne. Un coup monté, murmure-t-on à la Commission. La France et l’Allemagne sont tombées d’accord pour assouplir le nouveau et strict régime de sanctions imposé aux pays ne respectant pas les critères budgétaires de la zone euro. Et ce une semaine avant la tenue d’un

internationale La conjoncture économique française La croissance pour 2009 d'après le fond monétaire internationale et la commission européenne serait négative, donc une récession de – 1,8%, c'est-à-dire dans la moyenne des pays de la zone euro. Pour l'instant, le gouvernement a maintenu une hypothèse de croissance positive qui serait comprises entre + 0,2 et + 0,5. Le gouvernement espère un effet du plan de relance de 26 milliards d'€ dont les 3/4 seront dépensés en 2009, d'après le ministère