Zone Monétaire Optimale

En effet, il y a un indicateur d’offre, le taux de croissance de la masse monétaire en circulation. Depuis la fin des 70’s, les pays sont beaucoup plus sensibles à l’inflation qu’ils ne l’étaient auparavant. Les périodes d’inflation[4] post 1945 jusqu’à 1970, ont été fréquentes avec des taux très élevés (au Royaume-Uni, les taux d’inflation s’élevait à 26%). C’est pourquoi le taux de la masse de croissance monétaire est surveillé régulièrement. Il y a deux grandes demandes, la consommation et

détenteurs de ressources. Ces derniers fournissent les « in puts » destinés à produire un quelconque ensemble de biens commandés par les forces du marché. Pour l’usage de leurs ressources, les détenteurs reçoivent en retour un revenu, le revenu monétaire leur permet à leur tour, de jouer un rôle de consommateur. Les entrepreneurs organisent la production et en dernière analyse déterminent l’offre de biens et services dans les marchés. Ils sont par la suite récompensés par un revenu obtenu sous forme

de la zone de libre échange : il est destiné à supprimer des barrières commerciales entre les états de l’ensemble régional. - l’union douanière : à ce niveau, les états de la zone de libre échange fixent un tarif extérieur commun. - les marchés communs : ils permettent en plus la libre circulation des facteurs de production, que ce soit le capital ou la main d’œuvre - les unions économiques et monétaires : ces unions visent à harmoniser les politiques économiques, budgétaires et monétaires et par

la banque d’Angleterre/la banque de France, ou au XXème siècle, la FED/la BCE), les grandes controverses sur le rôle de la monnaie dans l’économie et le rôle joué, selon les circonstances, par ces institutions, soit directement via la politique monétaire, soit indirectement via la régulation ( voire le contrôle statutaire) des activités des banques commerciales ou des banques d’investissement. Mais plus encore que les questions de statut ( le plus ou moins grand degré d’indépendance vis-à vis du

européenne 148 | |58. |L’intégration européenne |148 | |59. |Le Système monétaire européen |152 | |60. |La politique agricole commune |154 | |

L’analyse de Solow 81 2) Le progrès technique, un facteur tombé du ciel 82 3) Paul Romer, ou la théorie de la croissance endogène 83 4) L’Etat au secours des innovateurs 84 V - LES POLITIQUES ECONOMIQUES (TD4-TD5) 86 A) La politique monétaire 88 B) La politique budgétaire 89 C) Politique de relance 90 D) Politique libérale et interventionniste 92 VI- LA MONNAIE ET L’INFLATION (TD6) 102 A) La monnaie 103 La monnaie : Fonctions, formes, création et mesure 103 « La

terme des actifs, virtuels généralement, et pour lesquels ils se sont mis d'accord au préalable sur le prix d'une des caractéristiques de risque. Qu'est-ce qui relie tous ces marchés entre eux ? La variable est le taux d'intérêt. La politique monétaire peut donc agir sur les taux d'intérêt Les intervenants sur ces marchés : Montant minimum à investir. • Intermédiaires : entreprises d'investissement. Elles font la connexion entre acheteurs et vendeurs. • Marchés organisés : autorité du marché

mercantiliste comme réflexion sur la richesse Au XVIe siècle, la hausse des prix, liée à l'augmentation des quantités d'or en circulation, fait problème. Pour enrayer cette hausse, il fallait savoir à quoi elle était due. Les premières ébauches de théorie monétaire voient alors le jour (Bodin, Malestroit). À la fin du XVIIe siècle, Gregory King se demande quelle relation existe entre l'augmentation des quantités de blé récolté et la chute de son cours. Son interrogation préfigure une loi. Surtout commence

puissante dynamique de libéralisation. Les principes fondateurs du GATT sont en partie inspirés des thèses libre−échangistes, reconnaissant les gains mutuels à tirer du développement du commerce international, qui devrait permettre une répartition optimale des ressources, apporter une contribution indispensable à la croissance et engendrer de nombreuses créations d'emploi. Cependant, et contrairement à ce qui est souvent affirmé, le GATT ne s'est pas appuyé uniquement sur ces thèses libérales pures

· Besoins d’estime :    reconnaissance par le manager, mise en place de dispositifs managériaux du type « employé du mois » etc. Besoins d'accomplissement de soi : sort le salarié de sa zone de confort, le pousse à se dépasser. Les trois derniers rôles de l’entreprise dépassent totalement la vision originelle d’une entreprise… B) La motivation des salariés Théorie bifactorielle d’Herzberg (1959) : la motivation dépend