Zone urbaine sensible

l’environnement est partiellement devenu un droit supplétif dès lors qu’il y a lieu de protéger le patrimoine historique ou esthétique, ainsi que le patrimoine environnemental naturel. De même, lorsqu’il y a lieu d’aménager l’espace à un niveau macro urbain, le droit de l’urbanisme devient un instrument de réalisation de l’aménagement du territoire. Or, le droit de l’environnement d’une part, le droit de l’aménagement du territoire d’autre part ne peuvent pas être considérés comme appartenant au bloc

par des agents d’exécution : les sergents royaux. Il n’existe toutefois pas de véritable organisation policière centralisée. Le développement des villes et la poussée démographique contribuent à l’apparition d’une délinquance plus spécifiquement urbaine : mendicité, vagabondage, prostitution, escroqueries, rixes, etc. La répression de ces nouvelles formes de criminalité ne fait pas l’objet d’une politique clairement définie et d’une réflexion concertée. Le pouvoir, sous la pression des événements

PUBLICITE ET PREENSEIGNES EN BREF LA LOI EN FRANCE SUR LA PUBLICITÉ La publicité extérieure (affichage) est interdite HORS AGGLOMÉRATION partout en France. Elle ne peut être réintroduite que par l’institution à titre exceptionnel d’une ZPA (Zone de Publicité Autorisée) dans les lieux d’activités (centres commerciaux par exemple) suffisamment étendus et denses, nécessitant l’organisation de la publicité implantée de fait. LES PRÉENSEIGNES DÉROGATOIRES Certaines activités ont

- Dans ses 3 premiers chapitres, l’auteur déconstruit le discours catastrophe tenu par bon nombre d’auteurs sur ces thématiques. --> "Le discours catastrophe" : En effet, Mucchelini montre que le discours tenu sur les violences urbaines désignent souvent les comportements de jeunes issus des banlieues, d’origine souvent étrangère, qui se caractériseraient par la mise en place d’une délinquance juvénile classique mais aussi par de nouvelles formes d’irrespect, « d’incivilité »

____________________________________________________________ Potentialités et obstacles à la constitution d'une région urbaine _____________________________________________________ CHABBI Morched, " - Le cas du Grand Tunis", 40th ISoCaRP Congress 2004 Potentialités et obstacles à la constitution d'une région urbaine Le cas du Grand Tunis Introduction Le Grand Tunis représente en 2004 une agglomération de 2,1 millions d'habitants, qui a connu et connaît d'importantes transformations.

littoral, évolution climatique et naturalité du dommage ● Risques et catastrophes dans les pays riverains de la Méditerranée ● Les inondations d'origine climatique et hydrogéologique Juin 2004: ● La fragmentation sociale et urbaine en débat ● Fragmentation urbaine et développement de l'auto-enfermement résidentiel dans le monde ● Les "cités sécurisées" des territoires périphériques de l'arrondissement d'Eyüp (Istanbul) ou les mirages de la distinction ● Géographie et modalités de la fermeture

disparités et inégalités territoriales. Aujourd’hui notre société urbaine, à la fois plus concentrée géographiquement et beaucoup plus nombreuse, a pris conscience de la nécessité́ de gérer les milieux dont elle a hérité et sur lesquels son impact est plus fort que jamais. Aggravés par l’artificialisation des milieux, les dégradations et les risques ont provoqué une prise de conscience, par notre société urbaine plus concentrée géographiquement et beaucoup plus nombreuse, de la nécessité

se saisir plus opérationnellement que par le passé, de leur politique locale de l’habitat par le biais des programmes locaux de l’habitat et de la délégation de l'aide à la pierre. La production est soumise aux notions de mixité et de solidarité urbaine, la loi SRU prévoit l’obligation de 20% de logements sociaux (dans les communes de plus de 3 500 habitants des agglomérations de plus de 50 000 habitants). Les communes ne respectant pas cette obligation sont amendables et contraintes de mettre en

(logements construits pour les cadres), mais quartiers enclavés par bien reliés au centre. A partir des années 70, la mixité social a fini par se dissoudre, les catégories moyennes se sont dirigés vers le périurbain ; Spirale du grand ensemble au quartier sensible : -A l’origine, une certaine diversité sociale (classes populaire/ moyenne) -Années 70-80, départ des ménages, les plus aisés, développement du chômage -Concentration des difficultés : populations précaires, fort part d’étrangers, jeunes au chômage

en novembre 2008). Les jeunes accompagnés par les missions locales. En 2010, les 14 missions locales du département ont accompagné 37 736 jeunes, soit +3,8% par rapport à l’année 2009. Parmi ces jeunes, 12 283 (33%) sont issus des Zones Urbaines Sensibles (ZUS). Le chômage des jeunes touche principalement les niveaux de formation V et infra V qui représentent la moitié (51%) des jeunes inscrits à Pôle emploi. Le lieu de résidence est un facteur supplémentaire de discrimination quant à l’accès