Zone urbaine sensible

se définit morphologiquement : communes qui jouxtent une ville centre en continuum morphologique urbain. Donc, quand on parle de banlieue autours de Rennes, c'est Cesson-Sévigné, Bruz commence à être en continuum, Saint Grégoire, Chantepie, Saint Jacques. Vezin va progressivement devenir une banlieue. [ Couronne périurbaine, commune périurbaine : 45% de la pop active va travailler dans le pôle urbain (ville centre + banlieue), comprenant 5 000 emplois minimum. Pas de notion de continuité du bâti

l’auteur présente sa thèse sur la « dérive des cités sensibles » en France. L’originalité de son analyse, qui lui a valu de faire controverse auprès de la communauté de chercheurs en sciences sociales, consiste dans la prise en compte de la dimension culturelle présente dans les quartiers ségrégés des grandes villes de l’hexagone. Les facteurs socio-économiques traditionnellement présents dans les analyses concernant la « crise des cités sensibles », et qui font consensus, tels la montée du chômage

combinent cultures de rente (arachide coton) et cultures vivrières de subsistance (mil, sorgho, maïs), tout en possédant quelques animaux, en élevage extensif et, dans de plus rares cas, intensif associés aux cultures. L’horticulture se développe dans la zone des Niayes (le long du littoral) et dans les terres irriguées le long du fleuve Sénégal où la culture du riz s’est également fortement développée. Une situation morose La production agricole est dans une situation de morosité, avec une stagnation

bioDIVERSITÉ URBAINE Requalification durable d’une artère commerciale à l’entrée de Lévis TP3 Essai (projet) Soumis en vue de l’obtention du grade de M.Arch Martin L’Hébreux École d’architecture Université Laval Automne 2009 et Hiver 2010 « La ville est composée de plein, mais que c’est par le vide qu’elle se régénère » Francis Bacon (2005) i Résumé Cet essai (projet) propose de réaménager une artère commerciale, un royaume du gris et dur, et de la transformer en un lieu plus

situation principalement en dehors de la zone tempérée. La majorité de ces espaces et surtout les plus peuplés se composent de milieux tropicaux qu’ignorent l’hiver caractérisée par l’absence du froid hivernal et par l’existence des forets humides. Certains sont froids avec un hiver marqué comme Saint Pierre et Miquelon. Dans l’ensemble, il s’agit de territoires moins transformés par l’Homme avec une biodiversité moins forte mais particulièrement fragile, très sensible à l’érosion torrentielle sur les pentes

Bernard-Marie Koltès, Dans la solitude des champs de coton. Spontanément : Quai-Ouest : zone urbaine désertique : le milieu, la violence, l’esthétique du vide. Personne mais plein de gens sont là. Le soir, la nuit, les hangars. La nuit tous les chats sont gris. Or, avec cette similitude d’atmosphère entre les deux pièces et leur proximité temporelle, on est en droit de se demander dans quelle mesure La solitude… n’est pas une sorte de suite, ou d’intermède, ou d’intervalle quelconque EN LIEN avec

sont la pente avec le tourisme dans les stations de sport d’hiver. Elles se concentrent notamment dans le massif de la Vanoise avec par exemple La Plagne et Courchevel. Les stations intégrées dans les Alpes-du-Nord se sont développées sur un modèle urbain avec des bâtiments de grande hauteur ayant des grandes capacités d’accueil. La massif de la Vanoise est un massif accessible et beaucoup plus élevé ce qui assure des enneigements plus longs et donc favorisant de développement économique. L’économie

récente : les ZFD seront-elles victimes de nouvelles inégalités territoriales ? 8 Exercice 2 I. Sore, une zone de campagne isolée…………………………...………………………………10 A. Une commune isolée hors influence des pôles………………………………………………..10 B. Bassin de vie rural…………………………………………………………………………….11 C. Un environnement fragile et vulnérable………………………………………………………12 II. Ribérac, une zone rurale recomposée par la périurbanisation………………………….….…12 A. Ribérac, petit pôle………………………………………………………………….…………

peut dire que la majorité des français vivent en ville, ce sont donc des urbains. Mais la population française bouge et donc cette carte peut évoluer. La répartition de la population peut changer en fonction de trois facteurs : les mouvements de population (comme les migrations), le développement de l’urbanisation et la métropolisation. Ces trois mouvements amènent des changements spatiaux dans deux territoires devenus sensibles : les villes qu’il faut aménager et réaménager face à l’afflux de population

l'ère électronique, de les rendre à des usages qui ne soient pas ceux de l'industrie culturelle ? A ce problème, devenu sociétal, Gustavo Giovannoni, une des figures majeures de l'urbanisme italien, apporte une réponse positive qui associe tradition urbaine et techniques de pointe. Réponse qui exige de repenser à la fois les rapports de l'urbanisme avec l'architecture et la formation des architectes. Réponse d'un grand anticipateur qui s'adresse aujourd'hui aux praticiens autant qu'à leurs partenaires