Zyklon B

‘’doyen’’ (qui était lui-même déporté) choisit par les gardiens. Le Bâtiment d’accueil : Dans le bâtiment d’accueil on y faisait l’épouillage des vêtements des détenus et des détenus eux même en leur enlevant leurs vêtements désinfectés avec du zyklon B, on leur rasait la tête, leur faisait prendre des douches et recevaient un numéro d’identification (tatoués à Auschwitz).. C’était là le début de leur perte d’identité.. On leur donnait des vêtements rayés et leur donnait un numéro : * Au début

peintures qui nous restituent l’enfer du camp dans sa réalité. Le tableau fait 131X162 cm, c’est une Huile sur toile qui a était peinte en 1960. Le tableau prend un espace plein, sans vide en forme de cercle, en bas à droite un petit tonneau de gaz zyklon B, en haut une lumière artificielle, des cadavres squelettiques, nus, imbriqués les uns dans les autres, des bouches grandes ouvertes, aucun regard de face, au premier plan, des hommes, au deuxième plan, des femmes avec leurs bébés dans les bras, des

collectif | Qu’est ce qui est représenté ? juifs squelettiques tous agglutinés dans une salle. Le conteneur en bas à droite est marqué Zyklon B, on peut voir juste à côté un brassard juif. Ils semblent prier, pleurer, crier. On peut voir la lumière éclairant le personnage central comme si il demandait « pourquoi ». De plus on voit les vagues de fumée du gaz appelé « zyklon B » normalement utilisé pour les animaux. | Quels adjectifs peuvent qualifier la composition de l’œuvre ? froid, sombre et lumineux

comme si les mots manquaient pour décrire les atrocités et l’horreur vécues. IV/ Mettre en relation avec un autre domaine artistique Gazage, l’asphyxie au Zyklon B , David Olère, 1960 Cette peinture de David Olère montre les corps décharnés des déportés, hommes, femmes et enfants, agonisant dans les chambres à gaz, asphyxiés par le Zyklon B qui se répand. Face à l’horreur et à la difficile représentation du génocide, Primo Lévi imagine ce qui se passe dans la tête d’un nazi quand il est face

personnes, filles, garçons, personnes âgées, adultes. Destinées à mourir ! Il dut filmé et photographier des personnes juste avant leur gazage, des jeunes femmes sujettes à des expériences « médicales » atroces et inhumaines, les premiers tests du Zyklon B sur 800 Russes et Polonais. Wilhelm Brasse parlant des jeunes femmes qui allaient se faire stériliser : « "Je savais qu'elles allaient mourir. Mais elles, elles ne le savaient pas. Elles étaient si belles et pleines de vie." -La préservation :

Source : manuel Hachette 3ème, p. 73, 2007. Document 4 : une plage pendant l’été 1936. Caricature de Dubosc. Source : manuel Hachette 3ème, p. 73, 2007.  1 QUESTIONS (8 points) 1. Document 1 : 1 a) Qu’est-ce qu’une ligue ? (1 point) 1 b) Pourquoi cette journée du 6 février 1934 à Paris a-t-elle été un moment historique important pour la gauche en France ? (1 point) 2. Document 2 : Quelles sont les trois forces politiques qui composent le Front populaire dirigé par Léon Blum en 1936

démarrer rapidement notamment grâce à des livres (voir bibliographie). Le travail en dehors du lycée nous a permis d'aller relativement vite, puis de tout mettre en commun pendant les séances. Un plan en quatre parties fut élaboré : l'utilisation du Zyklon B, Les expériences médicales sur l'homme, L'utilisation du nucléaire, et l'exosquelette motorisé. Nous nous sommes répartis les différentes parties, tout en ayant un regard sur les parties des autres, de manière à améliorer, à perfectionner notre travail

policières. Arme chimique n°4 : le zyklon B Introduction : Le Zyklon B est un pesticide à base d'acide cyanhydrique breveté par le chimiste Walter Heerdt et produit par la firme allemande Degesch. Durant la Seconde Guerre mondiale, les nazis l'ont utilisé dans les chambres à gaz des camps d'extermination : les premiers essais ont été effectués dans le bloc 11 d'Auschwitz sur des prisonniers de guerre soviétiques mais la plupart des victimes du Zyklon B ont été les Juifs et Tsiganes d'Europe

les camps de concentration, d’extermination ou mixtes vivaient dans de très mauvaises conditions. Ils souffraient de la famine, du travail forcé. Beaucoup de personnes mourraient dans les camps d’extermination dans les chambres à gaz à cause du “Zyklon B” comme le montre le document 1. Les femmes et les enfants étaient séparés des hommes. Les valides et les invalides ne suivaient pas le même chemin dans les camps. Dans les camps il y avait un manque fort d’hygiène. Le génocide des Juifs pendant

travaillent, les autres sont envoyés aux chambres à gaz et aux fours crématoires. Cette solution des chambres à gaz est le fruit d'expérimentation sur des prisonniers russes pour trouver la manière la plus rapide de tuer, c'est finalement l'option Zyklon B qui est choisi. - Le bilan est lourd, 6 millions de juifs sont exterminés sur près de 9 millions vivant en Europe. - Les juifs ne sont pas les seuls à avoir été victimes de ce système, les tziganes, les slaves parmi lesquels des Russes et des Polonais