à Mes Petites Amoureuses Rimbaud

Les Formes Poétiques Les poèmes à forme fixes • La ballade - Naissance : fin du Moyen Âge. - XIXe siècle, utilisée par les romantiques. - Forme : répétition du dernier vers de chaque strophe (refrain). • Le rondeau - But : expression de sentiments légers. - Forme : 3 strophes Schémas : 5/3/5 ou 4/2/4 vers Refrain : 1er hémistiche du premier vers (on le voit à la fin des deux strophes suivantes). • Le sonnet - Naissance : XVe siècle, Italie

poésie est-elle vouée, selon vous, à l'expression des sentiments personnels du poète? Introduction Le terme “poesie” vient du mot grec “poiein” qui signifie “creer”, “faire” ou encore “produire”. La poesie est un art du langage qui, depuis ses origines dans l'Antiquite, inspire les hommes malheureux ou amoureux a exprimer leur douleur, deception en evoquant des themes comme l’amour, la mort, la solitude, la nature ou la rêverie. Le Mythe D'Orphee, un des mythes a l'origine de la poesie, dit-on, raconte

Turmelière, près de Liré en Anjou. Il est issu d'une famille noble. Il est orphelin de père et de mère à l’âge de 10 ans et il est placé sous la tutelle de son frère. Il ne recevra pas de vraie éduction jusqu’à ce qu’il parte à Poitiers en 1545 pour entreprendre des études de droit. Là-bas il fréquente un milieu lettré et rencontre Pierre de Ronsard. Ils se retrouvent quelques mois après au collège de Coqueret à Paris, parmi les élèves du grand helléniste Dorat. C’est dans cet établissement que Du Bellay

semble avoir éprouvé le besoin de justifier son attitude en matière amoureuse. Sganarelle sans doute ne s'attendait pas à cela et sa remarque indique et sa surprise face à une telle dépense de paroles et son besoin de désamorcer le sérieux du discours de Dom Juan soudain comparé à un bon élève qui récite sa leçon. D'où la sécheresse de ton du Maître : DOM JUAN. Qu'as-tu à dire là-dessus ? SGANARELLE. Ma foi, j'ai à dire..., je ne sais ; car vous tournez les choses d'une manière, qu'il

suivons son évolution à travers les récits des grands chroniqueurs – les ancêtres de nos reporters modernes – sur les chemins des croisades ou dans les méandres de la politique intérieure. Pendant ce temps, dans le royaume de France qui se construit peu à peu, le théâtre religieux abandonne l'espace clos des abbayes pour devenir profane sur les places et rassembler des foules en fête. Hommes et femmes précisent leurs droits et leurs devoirs mutuels dans la relation amoureuse, grâce aux poèmes que

Théodore de Banville : (1823-1891) Poète, dramaturge et critique français, il était ami de V. Hugo, C. Baudelaire et T. Gautier. Banville unit dans ses œuvres le romantisme et le parnasse et il a publié une vingtaine d’œuvres de poésie entre 1843 et 1891. En 1872 il a publié le célèbre “Petit Traité de poésie française”. « Le printemps » appartient aux Cariatides, recueil de poème salué par Charles Baudelaire. Il décrit le réveil de la vie après la léthargie de l’hiver. On assiste au retour

D’après Soljenitsyne : « Une littérature […] qui n’ose communiquer à la société ses propres souffrances et aspirations, qui n’est pas capable d’apercevoir à temps les dangers sociaux et moraux qui la concernent, ne mérite même pas le nom de littérature ». Soljenitsyne nous dit donc que l’écrivain, et donc le poète, doit s’engager entièrement dans tous ses ouvrages. Jean-Paul Sartre, auteur et philosophe du XXe siècle, pense que la poésie a une autre fonction : « La prose se sert des mots, la poésie sert

maître », Paul Verlaine né à Metz, le 30 mars 1844, commença sa carrière comme employé de bureau. Il fréquenta les milieux littéraires et publia son premier recueil, les Poèmes saturniens, en 1866. Sa rencontre avec Rimbaud, avec lequel il mènera une existence aventureuse, va bouleverser sa vie. Emprisonné pour avoir tiré sur son ami, Paul Verlaine écrit alors des poèmes empreints d’une grande musicalité, qui sont parmi les plus beaux de la poésie française. Il meurt à Paris le 8 janvier 1896. «

Ceci est un petit commentaire de fin de séquence sur la Poésie. Le But étant de choisir un poème que l’on aime et de le décrire brièvement. Paul Verlaine est un poète français du XIXème siècle, né en 1844 et il est mort en 1896 à Paris. A partir de 1862 il fréquente cafés et cercles littéraires et devient membre de la Pléiade. Il est un admirateur des poèmes de Charles Baudelaire et va publier son premier recueil de poésie, Poèmes saturniens en 1886. Dans le poème « mon rêve familier » Verlaine

A une passante La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que