école Néo Classique Sloan

Initiation à la microéconomie Chap I : Théorie de la consommation et Demande c) Avec les classiques, le paradoxe de l’eau et du diamant n’est toujours pas levé. Pour les néoclassique ce n’est pas l’utilité totale d’un bien qu’il faut prendre en compte. A mesure que la quantité consommée augmente, l’intensité du besoin que l’on ressent risque de diminuer, donc chaque unité du bien apporte une satisfaction moindre. (ex : eau) 1.1.2) La distinction entre utilité totale et marginale comme

situation envisagée. Ce concept a été forgé par Herbert A. Simon et a ouvert la voie à la recherche au moyen de modèles informatiques et à l'intelligence artificielle. Thèse de Simon Simon va développer à partir des hypothèses des courants néo-classiques une construction éthologique du processus de décision dans l’entreprise et focalise ce processus sur l’acteur et non plus sur l’hypothèse de la main invisible de la concurrence. Il propose deux "déblocages" de la conception de l’entreprise comme

le marché a cependant besoin d'institutions. Le marché est un mécanisme régulateur et autonome. Autrement dit, le marché se régularise lui-même, il se suffit à lui-même, et peut prendre "ses propres décisions". Pour les classiques et les néoclassiques, il est issu de la nature humaine de l'homo economicus, c'est-à-dire un individu rationnel et égoïste, comme le rappelle Adam Smith dans La richesse des nations, l'individu recherche selon Smith "seulement son intérêt personnel"

mais n’a connu le succès qu’à partir des années 60, car cela impliquait une rupture de paradigme avec l’analyse néo-classique, donc renouvellement important de la théorie économique, pour 2 raisons : c’est la 1ère fois que l’on a une véritable explication du rôle de la firme, une explication au fait qu’il existe des firmes dans l’économie, ce que l’on n’avait pas dans la théorie néo-classique jusque là. 2ème apport : une explication à la taille des firmes, on sait pourquoi dans certains cas la firme

où se confrontent une offre et une demande pour aboutir à des échanges (achats et ventes) caractérisés par des prix de marché. Il existe un marché pour chaque type de bien et chaque marché donne lieu à l'émergence d'un prix. Dans la théorie néo-classique, le marché est une institution efficiente dans l'allocation des ressources. F. Perroux (1903 – 1987), pour sa part, lie le marché à l'entreprise: ? L'entreprise et le marché sont réciproquement liés. Pas d'entreprise sans marché. Pas de marché

Économie du développement : Chapitre 1 1-Les faits relatifs du développement La différence entre les pays développés et les pays pauvre ne dépend pas du stock de capital que chaque pays possède. Malgré plusieurs essais les échecs des différents pays font qu’on remarque qu’il n’y a pas de recette magique pour le développement. L’absence des ressources est un symptôme du sous-développement de certains pays et non la cause. Le développement est un processus de changement organisationnel.

d‘investissement La théorie néoclassique met au centre de sa conception l'antériorité et la primauté de l'épargne. C'est l'investissement qui est censé s'ajuster forcément à l'épargne par l'intermédiaire des variations du taux d'intérêt. Ainsi, pour les néo-classiques, l'épargne est toujours une vertu. Pour Keynes, au contraire, c'est l'investissement qui joue un rôle crucial sur l'épargne. Quelles sont donc les relations entre l'épargne et les dépenses d'investissement? Il convient dans un premier temps de

ou général. 2) La place de la théorie de l’équilibre général dans l’histoire de la pensée économique. La théorie de l’équilibre général de L. Walras s’inscrit dans la pensée néoclassique : École néoclassique École anglaise : S. Jevons École autrichienne : C. Menger F. von Wieser E. von Böhm-Bawerk École de Lausanne : L. Walras W. Pareto Léon Walras a écrit trois œuvres majeures, qui forment un ensemble parce qu’elles se complètent ; chacune porte sur un aspect particulier de l’économie :

théorie du commerce international et celle de la croissance endogène. Section 1: présentation théorique des courants de la croissance: Nous présenterons divers courants qui expliquent la croissance économique, notamment, les théories classique, néoclassique et les nouvelles théories (théories endogènes), en se basant sur leurs fondements théoriques ainsi que leurs apports majeurs. I-1-1: Les théories traditionnelles de la croissance économique: Avant de présenter les différentes

les sociétés doivent s’organiser et faire des choix (cela explique, en partie, pourquoi l’économie est autant mobilisée par la problématique du développement soutenable). On peut par ailleurs retrouver dans l’histoire de la pensée économique « classique », bien avant que la question du développement soutenable (et en particulier les questions environnementales) ne deviennent un enjeu politique majeur, un certains nombre de réflexions partielles, d’éléments d’analyse économique autour de cette thématique