écriture Personnelle Révolte

sentiment de conscience, interrogation sur la cause de leur motivation pour avoir commis ces acte (comme dans la Peste, mort d’un enfant innocent par la peste qui représente la guerre). De nombreux écrivains utilisent la littérature comme moyen de révolte : Céline => Voyage au bout de la nuit, Blaise Cendrars, Genevoix, Giono et d’autres écrivains engagés autant physiquement (St Exupéry, Malraux) que littérairement (Aragon, Camus =>rédacteur en chef du journal clandestin Combat), figures d’une autorité

vite un sentiment de révolte et un désir de fuite. Au collège, il se montre un élève brillant mais indépendant, il s’enfuit pour Paris, mais se fait récupérer par la police. A 17 ans, enfin à Paris, il rencontre Verlaine dont il admire les vers, il est provocant, voyage beaucoup en Europe d’abord puis en Arabie où il devient gérant de comptoir commerciaux et trafiquant d’armes. Atteint d’une tumeur à la jambe, il rentre en France où il meurt. Son œuvre La poésie de la révolte, il écrit dès l’adolescence

Paris. Lorsqu’il mourra en 1885, il aura droit aux funérailles nationales: Il aura été l’idole de la gauche républicaine et l’écrivain populaire par excellence. Son inspiration est lyrique, épique, satirique et dramatique. Son lyrisme est personnel et collectif: Il évoque des souvenir d’enfance, exalte le sentiment de la famille mais il exprime aussi les aspirations au progrès, les élans de pitié, de foi et de colère démocratique qu’il partage avec les autres hommes. Les sentiments religieux

religieuse. Ainsi, son écriture cherche à peindre l'épaisseur du monde, les complications du destin de l'homme, son obscurité. Cette sensibilité baroque est exprimée par la recherche du déséquilibre et de la richesse excessive des formes. Le monde qui se reflète dans cette poésie est ainsi un monde qui a cessé d'être clair et univoque (qui n’a qu’un seul sens) et le style de Sponde rend cette complexité palpable. Le Vocabulaire : v.1 : « m’assaut » = m’assaille v.2 : « Ange révolté » = référence au

nouveau des images nouvelles, induisant la conscience que poésie et absolu doivent devenir synonymes; cette poésie naît moins de l'expérience personnelle du poète et de la spontanéité de son écriture que de ses réflexions actives de créateur soucieux de concevoir une oeuvre nouvelle, révolutionnaire.  À travers ces trois grands thèmes s'est constituée une écriture qui évolue avec une très grande rapidité: l'écriture, vecteur des émotions de l'adolescent devant le monde, cesse d'énoncer celui-ci pour

nouveau des images nouvelles, induisant la conscience que poésie et absolu doivent devenir synonymes; cette poésie naît moins de l'expérience personnelle du poète et de la spontanéité de son écriture que de ses réflexions actives de créateur soucieux de concevoir une oeuvre nouvelle, révolutionnaire. À travers ces trois grands thèmes s'est constituée une écriture qui évolue avec une très grande rapidité: l'écriture, vecteur ds émotions de l'adolescent devant le monde, cesse d'énoncer celui-ci pour mieux

estimera avoir accompli tout ce qui était en son pouvoir : un homme de paradoxes, un exigeant, un insatisfait. Le poème « Bannières de Mai » contribue donc à ouvrir un regard neuf sur ce poète et laisse entrevoir le tournant qu’il prend dans son écriture et la complexité de l’œuvre qu’il livrera à la postérité. Ce poème de mai 1872 est le dixième du recueil « Vers nouveaux » encore appelé « Derniers vers ». C’est le premier des quatre poèmes regroupés sous le titre « Fêtes de la Patience » : il est

l’homme comparé à un bateau. Le thème du souvenir est présenté ensuite par l’invocation au lac car le lac est doué de mémoire et le thème de l’amour est introduit de manière discrète car la femme est absente. Elle n’apparait qu’au travers le pronom personnel « la » (v. (« Où tu la vis s’asseoir ») et l’adjectif possessif « ses » (« Sur ses pieds adorés ») (v.12). Le registre lyrique dans ce 1er mouvement est marqué par : - les questions rhétoriques (v.3 et v.13) - l’apostrophe « Ô lac ! » - l’impératif

Le souvenir d’une errance nocturne Cf thème du voyage, pauvreté, révolte Atmosphère nocturne, conte (référence à l’enfance), solitude et pauvreté matérielle • Emploi de la première personne et des pronoms personnels avec « je » «j’ai » « mon » « m’ » « mes »… • Mise en relief du mouvement en avant du poète avec les verbes de mouvement : « Je m’en allais »/ « J’allais » et le lexique : « course »/ « routes » • Idée de révolte/ solitude avec la présence de ses « poings dans ses poches crevées

la « distance » orientale et le dénuement matériel, ne veut que se repaître du spectacle de l’imposture absolue, avec le souci permanent du mot simple, juste et acéré, dans des phrases concises et limpides, lui conférant, par conséquent, un style personnel d’une indéniable universalité, teintée d’humour et de critique sociale. Pour le dandy solaire et solitaire, « Un écrivain qui ne critique pas, qui n’a pas de sens critique, n’est pas un écrivain, c’est un monsieur qui écrit un monde merveilleux.