émile Verhaeren Le Port

peut-on établir entre l'ensemble de ces termes et le mot abîme ? Récapitulez les instruments d'analyse qui vous ont permis de répondre aux questions précédentes (1. et 2.1). Narration et description en poésie et au théâtre Exercice 6. Émile Verhaeren, Toute la Flandre Un village Des murs crépis, de pauvres toits, Tous les métiers à bruit discord Un pont, un chemin de halage, Se sont lassés l'un après l'autre : Et le moulin qui fait sa croix

: « Ma vie a deux versants, avant, après Villiers. D’un côté l’ombre, de l’autre la lumière ». 1888 : S’inscrit à l’Ordre des Avocats. 1889 : Publication de Serres chaudes (poésie). Publication de La Princesse Maleine (théâtre), saluée par Emile Verhaeren et recommandée par Stéphane Mallarmé à Octave Mirbeau. 1890 : Article retentissant de Mirbeau dans Le Figaro sur La Princesse Maleine, qui provoque un engouement des troupes parisiennes pour Maeterlinck. 1891 : Traduit le Livre XII des Béguines

extrait du recueil Etat de Veille, 1943 marqué par cette volonté de résister face à l’ennemi nazi. Le poète se prend pour un veilleur le temps d’un texte. + Structure : Vers libres, de longueurs inégales, sans rimes. • v.1 à19 : la guerre aux portes de Paris • v.20 à 23 : hommage aux camarades Résistants. + Pbmatique : Comment la ville de Paris apparaît-elle dans ce poème de la Résistance ? + Annonce du plan I. La figure du veilleur a) son rôle • Origine médiévale : Au M-Age,

tableaux laïcs, on retrouvera ça en littérature. Il y a encore Van Eyck, Memlinc avec des peintures religieuses. En mettant tous ces lieux communs en écrit, on gagne quelque chose de légitime. Verhaeren avec Maeterlinck sera des éléments importants de cette littérature belge. Les Moines et Les Flamandes de Verhaeren seront des éléments importants, d’un auteur qui n’a pas quitté la périphérie amis il a intériorisé des éléments culturellement valables comme lieux communs et les intègre dans ses œuvres et

philosophie. Il a inventé la démarche expérimentale, la homéostasie, ça qui s’appelle OHERIC. Il va commencer par observer et il a fait une hypothèse, après ça il a fait des résultats, une interprétation de ces résultats et une conclusion. Emile Zola, Le Roman expérimental (1880) → à partir de ce moment, le naturalisme s’étend par toute l’Europe. Alors il y a une séparation dans le temps : • 1830-1860 → réalisme TRANSITION • 1870 →

dans les Lettres et dans la société. La scénographie s’inspire de ces deux espaces qui caractérisent l’univers hugolien. Une forteresse imprenable est le lieu du pouvoir et de l’enfermement. Mais elle est aussi un jeu de trappes, d’escaliers, de portes dérobées, de balcons, de fenêtres par lesquels entre et sort et virevolte un monde de la nuit, grotesque ou macabre. Et ce petit monde tourne sur lui-même jusqu’à exploser ses limites lorsque le « peuple-océan » est évoqué, promesse d’un avenir

de prolonger l’exploration de la période d’invention et de diversification de ces formes (la Renaissance au xvie siècle, le classicisme et le baroque au xviie) par une extrapolation allant jusqu’au xixe (Le Parnasse) et au xxe siècles. Ceci afin de porter une attention particulière aux œuvres (Valéry, Aragon, Bosquet par exemple) qui, en dépit des bouleversements initiés par les romantiques et surtout par les modernes (voir Séquence 3, consacrée au « poème moderne, p. 208 du manuel), ont manifesté

édition des Fleurs du mal » 312 Hugo, « J’aime l’araignée et j’aime l’ortie » 314 Lautréamont, « Le Pou » Le poète, alchimiste du quotidien 316 Verlaine, « Le bruit des cabarets, la fange des trottoirs » 317 Nouveau, « Le Peigne » 319 Verhaeren, « Les Usines » Le poète, alchimiste du verbe 322 Rimbaud, « Alchimie du verbe » 324 Corbière, « Le Crapaud » 325 Apollinaire, « Réponse des Cosaques Zaporogues au Sultan de Constantinople » L’objectif est de montrer comment, à partir

chant divin, qui les âmes rappelle, Ce chaste ris, enchanteur de ma peine, Ce corps, ce tout, bref cette plus qu’humaine Douce beauté si cruellement belle, Ce port humain, cette grâce gentille, Ce vif esprit, et ce doux grave style, Ce haut penser, cet honnête silence, Ce sont les haims, les appâts, et l’amorce, Les

dans les Lettres et dans la société. La scénographie s’inspire de ces deux espaces qui caractérisent l’univers hugolien. Une forteresse imprenable est le lieu du pouvoir et de l’enfermement. Mais elle est aussi un jeu de trappes, d’escaliers, de portes dérobées, de balcons, de fenêtres par lesquels entre et sort et virevolte un monde de la nuit, grotesque ou macabre. Et ce petit monde tourne sur lui-même jusqu’à exploser ses limites lorsque le « peuple-océan » est évoqué, promesse d’un avenir