épargne Et Investissement Chez Keynes

résultat de l'activité économique. Le principal agrégat est le PIB. But : Expliciter les relations entre les grands agrégats et permettre de prédire leur évolution. Ex : Si un agrégat change cela se répercute sur les autres agrégats. C'est Keynes qui en 1936 pose les bases de la macroéconomie. B- Macroéconomie VS Microéconomie Agent économique rationnel : Analyse toutes les possibilité de choix qui lui sont offerte et prend la meilleur . Et il ne se trompe jamais. Point de l'analyse

Formation Brute de Capital Fixe (FBCF) pour la comptabilité nationale, consiste dans l’achat de biens durables utilisés dans le processus de production (machines, bâtiments…) pendant au moins un an, ce qui distingue FBCF (investissement matériel) et consommations intermédiaires (investissement immatériel). A L’investissement matériel L’investissement est l’acquisition par une entreprise de matériels (capital technique ou capital fixe). Lorsqu’une entreprise investit, elle augmente le stock de capital (machines)

sociologiques : l’âge, le sexe, le comportement, le mode de vie ... La loi psychologique fondamentale :(Keynes) C’est le faite d’augmenter la consommation quand le revenu augmente, mais avec un rythme inférieur à l’accroissement du revenu. La fonction d’épargne 1- Définition : c’est la part non consommée du revenu. 2- Les formes de l’épargne : - L’épargne liquide : c’est le faite de placer l’argent chez soi - L’épargne financière : c’est de déposer l’argent à la banque qui entraine une augmentation

production : seuls 68% des capacités de production sont utilisées en moyenne au niveau mondial depuis 1970. Conséquences : licenciement. phase 2 = phase de croissance molle : hausse du chômage, très forte incertitude salariale. Les salariés vont épargner par précaution. 1) Construction des indicateurs de croissance. 1er indicateur : la production. La production c'est un ensemble d'activités socialement organisées en vue de produire des biens et des services. La production en valeur correspond

keynésienne 2.1. La demande de monnaie pour motif de transaction 2.2. La demande de monnaie pour motif de précaution 2.3. La demande de monnaie pour motif de spéculation 3. La demande de monnaie chez les monétaristes 4. La Théorie quantitative de la monnaie (TQM) 5. La demande de monnaie chez las monétaristes : Reformulation de la TQM. Titre 3. La création monétaire et l’offre de monnaie 1. Offre et demande de la monnaie 1.1. Calcul de l’offre de la monnaie 1.2. La demande de la monnaie

la concurrence va permettre de ne pas s’écarter durablement du prix naturel. Smith : théorie de la valeur travail commandé : la valeur d’une marchandise dépend de la quantité de travail que cette marchandise peut acheter ou commander. Exemple : chez un peuple de chasseurs, s’il faut 2 fois plus de temps pour tuer un castor qu’un daim, 1 castor vaudra 2 daims. Ricardo : théorie de la valeur travail incorporé : la valeur d’une marchandise est fonction non seulement du travail immédiatement appliqué

peut considérer John Maynard Keynes comme le fondateur d'une des constructions intellectuelles les plus importantes de notre siècle. La pensée keynésienne est basée sur le fait de considérer que la demande effective (c'est-à-dire le niveau de consommation et le niveau d'investissement) détermine le niveau de production donc le niveau de l'emploi. Les stratégies politiques de relances keynésiennes se fondent également sur l'importance du rôle de l'état dans l'économie. Keynes ne croit pas à l'autorégulation

1. Keynes et les classiques   A - La critique de la théorie classique Le chômage involontaire est possible - Deux types de chômage chez les classiques : le chômage frictionnel & le chômage volontaire - Le chômage pour Keynes résulte d'une insuffisance de la demande globale. L'inflation n'apparaît qu'en période de plein emploi lorsqu'il y a plein utilisation des facteurs de production et qu'en conséquence l'offre est inélastique. L'offre ne crée pas sa propre demande.   B - La réponse de Keynes

capital et hausse de la richesse des nations a. Le rôle crucial de l’épargne Rôle important de l’épargne chez les classiques car ( investissement Salariés perçoivent revenus juste assez suffisant pour survivre ( pas d’épargne Seule classe à épargner = capitalistes Et ces capitalistes investissent automatiquement toute leur épargne, naturellement Pour Smith : Epargne ( accumulation du K ( extension de la division du travail b. La notion de « capital » pour les classiques

et un taux de profit uniformes. Les prix de marchés coïncident rarement avec les prix naturels car les taux varient. Cependant, ils s’en approchent et oscillent auprès de ceux-ci car les écarts se corrigent grâce à la ‘gravitation des prix’. Chez les classiques les variations sont d’une amplitude assez étroite. L’économie de marché est soumise à des perturbations incessantes (ex : la demande se déplace selon la mode, selon les changements de revenus) ; il est donc normal que les prix de marché