épargne Et Investissement Chez Keynes

définition égale à l'investissement. Les produits fabriqués, et vendus, se répartissent en deux grandes catégories : il y a des biens de consommations, destinés à être acquis pour un usage direct, et des biens de production, qui correspondent à un investissement. Quant au revenu issu de la vente de ces produits, il va lui aussi être affecté à deux usages possibles : une partie est consacrée à l'achat de biens de consommation, l'autre qui est épargnée. Par définition, l'achat et la vente des biens de consommation

Politique [1803] et sa « loi des débouchés » Idées libérales (Quesnay, Turgot, Smith) Théorie de la valeur-utilité : « l’utilité [des] choses est le premier fondement de leur valeur » (TEP, Livre 1, chap 1) « Loi des débouchés » Loi résumée par Keynes par la formule suivante : « l’offre crée sa propre demande » (O = D) Toute crise généralisée est impossible → Précurseur des économistes néoclassiques ? Thibault Darcillon (Université Paris 1) Dossier 1 - TEC 2011-2012 4 / 43 Introduction

Goodwin (1967) Le modèle de Grandmont (1985) E/ CYCLES RÉELS Les deux visions du cycle Modèle de cycle réel de base Notes de cours d'Alexis Direr Page 1 dernière mise à jour sep 2003 L'horaire contraint de Hansen (1985) Monnaie et cycle réel chez King et Plosser (1984) Forces et faiblesses F/ LES THÉORIES DES CRISES FINANCIÈRES L'analyse de Fisher (1933) L'analyse de Minsky Greenwald & Stiglitz (1993) G/ THÉMATIQUES Les cycles politiques La politique conjoncturelle II CROISSANCE Intérêt

réduit au strict minimum: défense de la nation et administration de la justice. Cette approche commune n'interdit pas les divergences, leur postérité en est une illustration. Marx se réfère à Ricardo, les néoclassiques à Jean-Baptiste Say et Keynes à Malthus. Ces divergences sont présentes dans tous les thèmes fondateurs de l'école classique,à savoir la théorie de la valeur, la répartition des revenus, l'équilibre et la croissance. La théorie de la valeur d'une marchandise soulève deux questions:

économie moderne. Très schématiquement, l'émission de monnaie est essentiellement le fait de deux types de banques : la banque centrale qui émet la monnaie ayant cours légal et les banques de dépôts qui prêtent la monnaie que leurs clients ont déposée chez elles. Supposons que, initialement, la banque centrale accorde des crédits, par exemple à l'État pour qu'il puisse payer les salaires de ses fonctionnaires. Il ne s'agit là que d'un simple jeu d'écritures mais, pour simplifier l'exposé, nous supposerons

financée ? Introduction Les agents économiques ont des besoins ou des capacités de financement. La France a des besoins de financement, elle est en déficit depuis 1978. Pour un ménage, seul l’achat d’un logement neuf peut être considéré comme un investissement. Un agent est en capacité de financement lorsque ses revenus sont supérieurs à ses dépenses. En 2012, les entreprises non financières (60mds) et les administrations publiques (100mds) sont en besoin de financement. Les ménages sont en capacité

non concurrence) est nécessaire pour l’économie d’un pays notamment parce que les investissements sont lourds. C’est tout d’abord le cas du monopole qu’on dit naturel avec les entreprises publiques qui agissent dans des secteurs clé du développement d’un pays comme le transport, les télécommunications, l’énergie (EDF- SNCF-Telecom)... Ces entreprises agissent dans l’intérêt collectif, malgré les investissements, le prix de vente reste faible et profite aux ménages. Elles concourent aussi au

théories) 2)Les néoclassiques Principalement ,Léon Walras. Ils ont apporté l'outil mathématique, statistiques dans l'économie. 3)John Maynard Keynes (1883-1946) Il va contester les classiques. Keynes raisonne a court terme ,pour lui, le marché seul ne peut se suffir a régler les problèmes posé (lors des crises par exemple). Avec Keynes ,on va passer de l'état gendarme a l'état providence= l'État se doit d'intervenir dans la régulation du marché ,imposer certaines règles et favoriser les

la pensée classique pour qui la monnaie n’a jamais été autre chose qu’un « voile » recouvrant les échanges réels de marchandises, une sorte de traducteur des valeurs marchandes, mais n’ayant pas d’autonomie en soi. Or, comme l’avait bien compris Keynes en son temps et comme l’ont montré les dérèglements monétaires et financiers de ces dernières années, particulièrement en 2008, la monnaie et la finance sont des choses importantes. Loin d’être autonomes, elles agissent sur l’économie réelle et elles

communisme doit supprimer cette exploitation. Troisième courant : le courant keynésien ------------------------------------------------- J.M Keynes (1883-1946) L’œuvre de Keynes peut être analysée comme une volonté de réformer le système capitaliste libéral. En effet les chefs du « laisser faire » lors de la grande crise des années 30 à conduit Keynes à mettre l’accent sur les défaillances de l’économie de marché et à justifier l’intervention de l’Etat. INSUFFISANCE DE MARCHE Alors que les