épargne Et Investissement Chez Keynes

monétaire et financier ), qui résultent du jeu de l'offre et de la demande, expliquerait le fonctionnement macroéconomique du circuit. De l'équilibre sur chacun des marchés découlerait la régulation globale de l'économie. * L'économiste anglais J.M Keynes et les tenants de ses théories estiment au contraire que les phénomènes macroéconomiques ne résultent pas des comportements individuels mais que le circuit fonctionne globalement suivant l'importance des flux réels et monétaires qui l'alimentent.

Pour les néoclassiques : le taux d’intérêt est la rémunération de l’abstinence : celui qui prête renonce à une consommation immédiate pour épargner. Le taux d’intérêt devient le « prix du temps », la « récompense de l’attente ». Le taux d’intérêt relève d’un choix, d’un comportement, d’une vision de l’avenir, ce n’est pas un simple calcul. Pour Keynes : le taux d’intérêt est la récompense de la renonciation à la liquidité. « Il mesure la répugnance des détenteurs de monnaie à aliéner leur droit

rareté. Comment la répartition sera-t-elle effectué entre les différents agents économiques? Il doit y avoir conciliation entre l'efficacité économique et la justice sociale. LES COURANTS DE LA PENSÉE ÉCONOMIQUE La réflexion économique apparaît chez les philosophes grecs (Aristote et Platon) qui étudie la gestion domestique puis celle de la cité. Au moyen age c'est la morale chrétienne qui inspire la pensée économique. Entre le 16ème et 18ème siècle, les mercantilistes rendent la réflexion économique

privation de loisirs engendrée par la nécessité de travailler pour se procurer ce bien).  « L’économique est la mécanique de l’utilité ». L'approche est macro-économique : Les keynésiens étudient les grandeurs globales (Consommation, Investissement, Revenu, Épargne) ces variables sont reliées entre elles. Cette approche a d’ailleurs donné naissance à la comptabilité nationale en économie de marché dés 1947, et 1952 en France (Il y a des modèles dès 1920 en URSS : G.Feldman). Le marché est le

déséquilibre sectoriel dans une des branches mais la flexibilité des prix permet la régulation ainsi la réallocation des ressources du secteur en excédent vers un secteur en insuffisance de facteurs de production. • Cette idée ce retrouve également chez les néo-classiques avec la théorie de l’équilibre général de Walras où l’économie est ramenée automatiquement vers un point d’équilibre sur les trois marchés interdépendants que sont les marchés du travail, des biens et de la monnaie. * Classiques

avons besoin de l'éducation et des biens d'équipement. Chez les classiques, il ne peut pas y avoir de déficit budgétaire, l'État ne peut dépenser que ce qu'il a gagné. Les néoclassiques apportent des concepts nouveaux à l'individualisme. Les effets externes : lorsque l'action d'un agent à des efforts positifs ou négatifs chez les autres agents. • les effets externes : lorsque l'action d'un agent à des effets positifs ou négatifs chez les autres agents. • biens collectifs individualistes

classique et introduisent la notion de marge, c’est la théorie marginaliste, selon eux l’homme est rationnelle est son calcul lui permet toujours d’atteindre l’équilibre. 3- Le courant keynésien John Maynard Keynes (1883-1946), Joan Robinson (1903-1983), Nicolas Kaldor (1908-1986). Keynes est connu pour avoir dit « à long terme on sera tous mort » donc vaut mieux étudier le moment présent, et à court terme les prix sont fixes. Il reprend la théorie smithienne et va essayer de la critiquer et il

mais il nous site pas l’exemple de la manufacture d’épingle il a une vision peu différente de celui de Smith, le travail c’est Marx est aussi important que chez Smith .Marx est en plein révolution industrielle donc lui le travail est fondamental. Chez Marx l’entreprise est lié à un individu on ne parle plus de la manufacture en général. Chez Marx derrière l’entreprise il y a quelqu'un C’est le capitaliste (il y a une personne privée derrière l’entreprise, sa particularité est qu’il est propriété

culturelles et économiques Evolutions techniques Le système évolue en fonction des technologies. Ces dernières vont permettre d’améliorer l’efficacité, la productivité des entreprises, ce qui permet de créer plus de revenus, de développer les investissements et de moderniser l’économie.  Premiers signes de la Révolution industrielle (d’abord en Angleterre, puis en France en 1820 / 1830) Par exemple en agriculture, le développement des engrais et des machines, dans le textile la modernisation des

pièces de monnaie et monnaie scripturale. Les actifs financiers: actions, obligations, contrats d’assurance, ... Les actifs réels: biens immobiliers, terrains, bijoux, ... 5.1. 3. 2. La monnaie est l'actif le plus liquide du patrimoine : Selon J.M. KEYNES : " La monnaie est un actif liquide à liquidité parfaite et à rendement nul". La liquidité d'un actif représente une qualité: La disponibilité pour le règlement (pour le paiement). La monnaie fait l'objet d'une demande spécifique pour sa liquidité